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Le pompage de fosse septique est une tâche essentielle pour assurer le bon fonctionnement de votre système d’assainissement. Cet article explore pourquoi le pompage de fosse septique est si important pour votre maison et votre environnement. Découvrez les raisons pour lesquelles il est crucial de planifier régulièrement cette opération.

La prévention des obstructions et des débordements

La fosse septique accumule les déchets solides et liquides provenant des installations sanitaires d’une propriété. Sans pompage régulier, ces déchets s’accumulent et peuvent obstruer les canalisations ou remplir la fosse jusqu’à déborder. Ces débordements peuvent causer des dommages coûteux à la propriété et entraîner des problèmes d’hygiène et de santé publique. En vidant régulièrement la fosse, vous évitez ces problèmes et assurez une évacuation efficace des eaux usées.

Le pompage de fosse septique permet de protéger la qualité de l’eau

Le pompage de fosse septique contribue à la protection de la qualité de l’eau. Lorsque la fosse est pleine, les contaminants peuvent s’infiltrer dans le sol et contaminer les sources d’eau souterraine, les puits et les cours d’eau à proximité. Cela peut poser des risques pour la santé publique et l’environnement. En vidant régulièrement la fosse septique, vous évitez la contamination de l’eau et préservez la qualité de l’environnement.

Préservation de la durée de vie de votre système septique

Le pompage régulier de votre fosse septique prolonge la durée de vie de votre système. Lorsque la fosse est surchargée, les bactéries bénéfiques qui décomposent les déchets ne peuvent pas fonctionner efficacement. Cela peut entraîner une accumulation excessive de matières solides, entraînant des dommages au système septique dans son ensemble. En vidant régulièrement la fosse, vous maintenez un équilibre sain et prolongez la durée de vie de votre système

Pomper sa fosse septique pour économiser de l’argent à long terme

Le pompage régulier de votre fosse septique peut vous faire économiser de l’argent à long terme. Lorsque vous négligez l’entretien de votre système septique, vous risquez des problèmes coûteux tels que des réparations majeures ou un remplacement complet du système. En investissant dans le pompage régulier de votre fosse, vous évitez ces coûts supplémentaires et prolongez la durée de vie de votre système de manière rentable.

En somme, le pompage de fosse septique est essentiel pour maintenir un système d’assainissement performant et protéger votre environnement. En prévenant les obstructions, en protégeant la qualité de l’eau, en préservant la durée de vie de votre système et en économisant de l’argent à long terme, le pompage régulier de votre fosse septique est une tâche incontournable. Planifiez des entretiens réguliers avec des professionnels qualifiés pour assurer un fonctionnement optimal de votre système d’assainissement et préserver la santé de votre maison et de votre environnement. 

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L’assainissement est un aspect crucial de la santé publique qui vise à prévenir les maladies et à améliorer la qualité de vie des populations. Il fait référence à l’ensemble des mesures prises pour garantir un environnement sain, en assurant la gestion appropriée des déchets, la fourniture d’eau potable et l’hygiène personnelle. Cet article explore l’importance de l’assainissement dans la santé publique et met en évidence les avantages considérables qu’il procure.

Un assainissement adéquat pour prévenir les maladies hydriques

Un assainissement adéquat joue un rôle essentiel dans la prévention des maladies hydriques. L’accès à de l’eau potable propre et sûre est une nécessité fondamentale pour maintenir la santé et prévenir les maladies. Des systèmes d’approvisionnement en eau potable appropriés, combinés à des installations sanitaires adéquates, réduisent considérablement les risques de contracter des maladies telles que le choléra, la dysenterie et la typhoïde, qui sont souvent transmises par une eau contaminée.

La réduction de la mortalité infantile

Un assainissement répondant aux normes en vigueur a un impact significatif sur la réduction de la mortalité infantile. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plus de 800 000 enfants meurent chaque année en raison de maladies diarrhéiques, principalement causées par une eau contaminée et un assainissement inadéquat. Des installations sanitaires sûres et une hygiène personnelle appropriée peuvent réduire de manière significative le risque de diarrhée chez les nourrissons et les jeunes enfants, contribuant ainsi à sauver des vies précieuses.

Un assainissement approprié permet d’éviter la  propagation des maladies infectieuses

L’assainissement joue un rôle crucial dans la prévention de la propagation des maladies infectieuses. Des systèmes d’évacuation des eaux usées adéquats et la gestion appropriée des déchets réduisent le risque de contamination de l’environnement et de propagation de maladies telles que le paludisme, la dengue et la fièvre Ebola. En éliminant les lieux de reproduction des moustiques et en minimisant les risques de contact avec des déchets infectieux, l’assainissement protège la santé publique et sauve des vies.

L’assainissement contribue à l’amélioration de la qualité de vie

L’assainissement contribue à l’amélioration de la qualité de vie des populations. Un environnement propre et sain favorise le bien-être général et le développement socio-économique. Il réduit les absences scolaires en raison de maladies évitables, permettant aux enfants de recevoir une éducation de qualité. De plus, l’accès à des installations sanitaires adéquates permet aux femmes et aux filles de préserver leur dignité et leur sécurité, en évitant les risques liés à la recherche de lieux d’aisance non sécurisés.

installation dans système d’assainissement(ouvre un nouvel onglet)

En définitive, l’importance de l’assainissement dans la santé publique ne peut être sous-estimée. Des installations sanitaires adéquates, combinées à une gestion appropriée des déchets et à un accès à de l’eau potable propre, sont essentielles pour prévenir les maladies, réduire la mortalité infantile et maternelle, prévenir la propagation des maladies infectieuses et améliorer la qualité de vie des populations. Investir dans l’assainissement est une nécessité pour garantir un avenir sain et prospère pour tous.

Pour l’installation dans système d’assainissement de qualité, faites appel aux experts SARP. Disponibles partout en France, ils réalisent tous les travaux d’installation et de remplacement d’assainissement.

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Les problèmes causés par une canalisation ou autres désordres dans les réseaux d’assainissement peuvent engendrer des travaux importants, des coûts évitables et non prévus. De plus, ces événements représentent des désagréments pour les résidents et nuisent à leur confort. Voici les solutions qui s’offrent aux présidents et gestionnaires de copropriété.

Responsabiliser les locataires et les occupants, c’est moins de canalisations bouchées

Réduire les débouchages n’est pas une mission aisée, encore moins lorsque le bouchage en question n’est pas de votre responsabilité. Les locataires et occupants sont responsables de la bonne santé des canalisations et tuyaux branchés à leurs différents équipements. Le rôle joué par le gestionnaire et le président des copropriétaires doit se faire en amont, via de la sensibilisation et de la communication, auprès des parties prenantes. Pour ce faire, différentes possibilités s’offrent à vous : 

En effet, la plupart des engorgements de canalisations sont dûs aux éléments qui y sont évacués, comme par exemple des cheveux, des restes alimentaires, ou encore des matières graisseuses, voire des objets incongrus ( serpillères, couches, lingettes, résidus alimentaires solides, etc….) Un rappel fréquent serait un bon moyen de pousser les occupants à changer leurs habitudes et ainsi éviter de potentiels débouchages.

Anticiper pour moins déboucher 

Il vous est également possible de contacter des professionnels de l’assainissement afin de réaliser des entretiens préventifs et réguliers des ouvrages d’assainissement et des canalisations dont vous êtes le responsable. Une démarche qui vous permettra également de réaliser un plan pluriannuel de travaux*

Les débouchages ne sont pas exclusivement causés par une sur-présence de débris dans les canalisations, mais peuvent également être causés par une obstruction déjà présente à l’intérieur de la tuyauterie, de différentes natures, qui peut donc accumuler les débris passant par cette canalisation. Il est donc utile de vérifier fréquemment l’état des canalisations, via des campagnes d’inspection télévisée de la tuyauterie, pour détecter de potentielles anomalies. Investir dans un entretien régulier est l’une des façons les plus sûres et efficaces d’éviter de lourds désagréments causés par des bouchons ; améliorer la qualité de service et contribuer au confort des occupants.

Vous pouvez également préconiser l’installation de grilles et de filtres au niveau des bouches d’évacuation présentes dans les logements. Ces dispositifs sont utilisés pour retenir les débris responsables de la plupart des bouchons. Il sera possible pour vos locataires de jeter ces débris à la poubelle, plutôt que de les laisser passer dans les canalisations. Il est important de rappeler à toutes les personnes ayant installé ce dispositif de le nettoyer régulièrement afin d’en assurer leur efficacité.

*Un plan pluriannuel de travaux…Pourquoi faire ? => Découvrez la maintenance patrimoniale Zen’immo 

Produit de débouchage : une bonne solution ?

L’utilisation de produits chimiques n’est pas recommandée pour conserver vos canalisations dans un bon état. C’est pour cela que vous devez réaliser de la prévention auprès de vos occupants. En effet, certains produits de débouchage sont corrosifs pour la tuyauterie, en plus d’avoir un impact négatif sur l’environnement

Pour pallier l’utilisation de ces produits, vous pouvez renseigner vos occupants.  sur les alternatives possibles. Encore une fois, transmettez ces informations par mail ou courrier afin de toucher un maximum de résidents. 

Ces alternatives sont créées à partir de produits plus écologiques et naturels, comme le vinaigre blanc, qui fait office de débouchant. Elles permettent également une économie d’eau non négligeable. 
Vous l’aurez compris, il est important pour un gestionnaire et un président de copropriété de prendre soin des canalisations et plus généralement des réseaux d’assainissement des immeubles ou résidences.

Étant donné que vous n’êtes pas le principal responsable de ces dernières, deux choix complémentaires s’offrent à vous. Le premier est de sensibiliser vos locataires sur l’entretien de leur tuyauterie, en leur montrant comment prévenir les potentiels bouchons. Le second est de contacter des professionnels de l’assainissement, afin de contrôler régulièrement l’état général des canalisations et donc de détecter des obstructions, des fuites ou d’autres désagréments.

Pourquoi ai-je des odeurs dans ma résidence ?

 

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Lorsque l’on évoque la qualité de service dans l’habitat collectif privé, les facteurs qui viennent rapidement à l’esprit sont souvent liés au confort des propriétaires et des résidents / aux services de proximité/aux transports ou encore à l’agencement des espaces communs. Pourtant, ce qui n’est pas forcément visible aux yeux de tous ne doit pas être négligé.

Les canalisations sont généralement des éléments oubliés, à l’instar de leurs entretiens. La maintenance régulière des canalisations des bâtiments de l’habitat collectif privé représente un réel investissement financier, mais vous permettra de réaliser de belles économies sur le long terme (tout en assurant la tranquillité des propriétaires et des occupants).

Entretien canalisations : mieux vaut prévenir que guérir 

En premier lieu, il est important de noter que le manque d’entretien peut avoir des conséquences très coûteuses. Prenons l’exemple d’un débouchage : au fil du temps, un bouchon peut se former dans les canalisations à cause de l’accumulation de matières graisseuses solidifiées, de savons, de corps solides, de cheveux ou encore de calcaire. Rapidement, cela peut provoquer un sinistre important dans votre bâtiment, voire des dégâts des eaux au sein du domicile des occupants.

Certains travaux de débouchage de canalisations sont très onéreux lorsqu’ils arrivent trop tard. Surveiller et entretenir régulièrement l’état des canalisations, dans le cadre d’un plan pluriannuel de travaux (PPT) par exemple, permettra un fonctionnement optimal de réseaux de canalisations.

En tant que gestionnaire ou président d’une copropriété, vous devez également vous assurer de la pérennité du bon fonctionnement. C’est aussi ce que les propriétaires et les résidents des immeubles privés sont en droit d’attendre.

Afin d’optimiser la durée de vie des canalisations, il vous faudra :

Cette démarche de maintenance immobilière permet non seulement d’augmenter la durée de vie des canalisations, mais aussi d’éviter de payer de nouvelles factures, imprévues, qui se traduisent parfois en hausse des charges pour les résidents.

Quels risques en cas de mauvais entretien ?

Entretenir ses canalisations est également indispensable d’un point de vue hygiène et santé. Négliger des fuites de canalisations et l’assainissement de manière générale, c’est également prendre le risque d’exposer vos occupants à des maladies liées à l’eau. 

Cela représente également une menace pour l’environnement. Des conduits endommagés sont menacés par l’apparition de fuites. Ces dernières entraînent non seulement un gaspillage d’eau considérable, mais aussi une menace directe pour l’environnement. L’eau issue d’une fuite atteint aussi bien la faune que la flore. Si cette eau est contaminée, la transmission de bactéries et de maladies ne peut pas être évitée. 

Si l’une de vos canalisations est bouchée, de nombreux nuisibles peuvent être attirés et des odeurs nauséabondes, extrêmement désagréables pour les habitants peuvent s’évacuer des canalisations. Les rats, les cafards ou encore les blattes font partie des animaux et insectes pouvant contaminer l’eau, représentant une menace pour la santé et le confort des occupants.

Avantages de la maintenance patrimoniale pour les copropriétés 

Pour conclure, il est important pour un propriétaire d’immeubles d’entretenir ses canalisations pour ces différentes raisons : 

De plus, une démarche complète de maintenance immobilière permettra de prolonger la vie de vos ouvrages d’assainissement en les conservant en conditions opérationnelles. Vous offrirez ainsi aux propriétaires et résidents une qualité de service optimale et pourrez vous concentrer sur d’autres tâches liées à votre fonction. 

Quid des colonnes verticales de votre bâtiment ? Saviez-vous qu’il était possible de les réhabiliter sans les remplacer ? On vous en dit plus sur la réhabilitation de colonnes sans tranchées.

Si vous souhaitez réaliser l’inspection, le curage ou bien le débouchage de vos canalisations, contactez nos équipes SARP.

Comment réduire les débouchages sur ma résidence ?

 

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La préservation et la gestion efficace du patrimoine immobilier sont des défis majeurs pour les bailleurs sociaux. En plus de la mise en œuvre des plans de rénovation énergétique, les bailleurs doivent faire face aux problématiques courantes telles que les fuites, les dégâts des eaux et l’entretien des canalisations.

Ils devront également mettre en œuvre un plan stratégique de patrimoine. Ce plan a pour objectif la durabilité du patrimoine, la gestion des risques, ou encore le prolongement de la vie des bâtiments et ouvrages. Il vise à offrir une qualité de service aux occupants, limiter l’impact de hausse des charges pour les locataires mais aussi à s’inscrire dans une démarche de responsabilité sociale des entreprises (RSE) en favorisant la transition écologique.

Les défis techniques des bailleurs sociaux en 2024

Régulièrement, les bailleurs sociaux sont confrontés à des problèmes de la vie courante tels que les fuites ou les dégâts des eaux chez l’habitant. Pour assurer le bon fonctionnement de leur patrimoine immobilier, ils doivent mettre en place des mesures préventives et réactives. 

Les différentes actions à mettre en place pour ce faire : 

Ces actions permettent de protéger les bâtiments, de garantir le confort des résidents et de réduire les coûts liés aux réparations. Il convient également de faire les bons choix en termes de solutions techniques à apporter. Pour ce faire, les bailleurs ont la possibilité de faire appel à des spécialistes de la maintenance patrimoniale, rompus à ce type de problématiques.

Le plan stratégique de patrimoine : optimiser la gestion et l’utilisation des actifs patrimoniaux

Pour assurer une gestion optimale de leur patrimoine, les bailleurs sociaux élaborent un plan stratégique de patrimoine. Ce dernier comprend traditionnellement trois grands volets : 

Ce plan définit les objectifs à atteindre en termes de qualité de service et de réduction des charges pour les locataires. Il comprend également des actions telles que l’amélioration de l’efficacité énergétique, la modernisation des équipements, la mise en place de contrats de maintenance performants et la formation des équipes techniques. Un PSP permet en outre aux décideurs d’arbitrer en toute connaissance de cause et d’optimiser l’allocation des ressources de l’organisme au cours des 10 prochaines années. Les bailleurs se retrouvent ainsi dotés d’une vision globale sur l’évolution des ouvrages d’assainissement et plus particulièrement des colonnes et réseaux horizontaux.

La qualité de service : au coeur des préoccupations des bailleurs

La qualité de service, au coeur de la gestion locative, présente différents objectifs : 

Depuis 2003, le Mouvement HLM considère la qualité de service comme un enjeu stratégique. La plupart des organismes HLM se mobilisent aujourd’hui sur cet enjeu et des progrès significatifs ont été réalisés ces dernières années en termes d’écoute des locataires et de suivi de leur satisfaction.

La qualité de service est un élément essentiel de la Convention d’utilité sociale (CUS), qui définit la politique de l’organisme en matière de qualité du service rendu aux locataires. La CUS est un contrat établi entre l’État et l’organisme HLM.

La responsabilité sociale des entreprises (RSE) et la transition écologique 

Les bailleurs sociaux sont de plus en plus engagés dans une démarche de responsabilité sociale des entreprises. La prise en considération des enjeux environnementaux ne cesse de croître ces dernières années. 

Dans le cadre de leur plan stratégique de patrimoine, les bailleurs s’efforcent de réaliser des économies d’eau, de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’encourager la transition écologique. Cela peut notamment se traduire par : 

Ces actions, sur le long terme, contribuent à la préservation de l’environnement et à la diminution des charges locatives.


La gestion du patrimoine immobilier des bailleurs sociaux présente des défis techniques importants. Le nombre croissant de fuites et de dégâts des eaux amenant à des interventions curatives sur les canalisations plus fréquentes. Afin de garantir une qualité de service aux occupants tout en réduisant les charges pour les locataires, les bailleurs sociaux ont tout intérêt à se faire accompagner dans la conception de leur PSP par des experts de la maintenance patrimoniale.

De plus, en intégrant une démarche de responsabilité sociale des entreprises et en favorisant la transition écologique, ils contribuent à préserver l’environnement et à répondre aux enjeux sociétaux actuels. Les bailleurs sociaux jouent ainsi un rôle essentiel dans la construction d’un avenir durable et inclusif pour tous.

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L’installation d’assainissement est un élément essentiel dans le secteur immobilier, que ce soit pour les habitations individuelles ou les projets collectifs. Assurer un système d’assainissement conforme aux normes en vigueur est non seulement une obligation légale, mais c’est aussi crucial pour la préservation de l’environnement et la santé publique. Dans cet article, nous allons explorer les étapes essentielles pour la mise en place d’un système d’assainissement conforme.

Effectuer un diagnostic initial avant l’installation d’un système d’assainissement

Le processus d’installation d’assainissement commence par un diagnostic initial. Il est essentiel de déterminer quel type d’assainissement est nécessaire en fonction du lieu, de la destination (habitation, logement collectif, etc.), et des normes d’assainissement en vigueur dans la commune.

Faire le choix du type d’assainissement en fonction des spécificités du projet 

Il existe plusieurs types d’assainissement, notamment l’assainissement collectif et l’assainissement individuel. Le choix du type dépendra des spécificités du projet. Les systèmes d’assainissement collectif sont conçus pour desservir plusieurs habitations, tandis que l’assainissement individuel est destiné aux installations uniques.

Le début des travaux d’installation du système d’assainissement

Une fois le type d’assainissement déterminé, les travaux d’installation sont entrepris. Ils consistent en la mise en place des dispositifs tels que les fosses septiques, les stations d’épuration, ou tout autre système nécessaire pour le traitement des eaux usées. Les travaux doivent être réalisés par des professionnels expérimentés pour garantir la conformité aux normes. 

Réhabilitation et Mise en Conformité

Dans certains cas, il peut être nécessaire de rénover ou de réhabiliter un système d’assainissement existant pour le mettre en conformité avec les normes actuelles. Cette étape est cruciale pour éviter les risques environnementaux et sanitaires.

Installation d’assainissement : mission de contrôle du SPANC

Le Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC) joue un rôle essentiel dans le contrôle d’assainissement. Il effectue des vérifications pour s’assurer que le système est conforme et fonctionne correctement. En cas de non-conformité, des recommandations sont généralement fournies pour les travaux d’entretien ou de mise aux normes

Coûts d’Installation d’un système d’assainissement

Les coûts d’installation d’un système d’assainissement varient en fonction du type de système, de la taille de l’installation, de la localisation, et des spécifications techniques. 

Installation d’assainissement : risques liés à l’environnement et à la santé publique 

Un système d’assainissement défaillant peut entraîner des risques environnementaux majeurs, tels que la contamination des eaux souterraines. Il peut également poser des risques pour la santé publique en cas de non-conformité. Assurer un fonctionnement adéquat du système d’assainissement est donc crucial pour préserver l’environnement et la santé des habitants.

Installation d’assainissement : une étape indispensable dans l’immobilier 

l’installation d’assainissement est une étape complexe mais indispensable dans le domaine de l’immobilier. Elle nécessite une planification minutieuse, la conformité aux normes en vigueur, et l’implication de professionnels qualifiés pour garantir un fonctionnement efficace et respectueux de l’environnement. Les propriétaires et les acquéreurs doivent être conscients des coûts et des obligations légales liées à cette installation pour assurer la durabilité de leur projet immobilier. 

résumé des étapes d’installation d’un système d’assainissement : de la mise en place à l’entretien

L’installation d’un système d’assainissement est une étape cruciale lors de la construction ou de la rénovation d’une habitation. Elle répond à des normes et des réglementations spécifiques visant à garantir la protection de l’environnement et la santé publique. Découvrons ensemble les différentes étapes à suivre pour mettre en place et entretenir un système d’assainissement non collectif (ANC) dans les constructions neuves ou en rénovation.

Selon l’arrêté du 7 mars 2012, le Code de la santé publique impose la mise en place d’un système d’assainissement individuel pour les habitations non raccordées au réseau public. Cette réglementation vise à éviter la pollution des sols et des eaux souterraines, ainsi que la propagation de maladies liées à une mauvaise gestion des eaux usées.

La première étape consiste à réaliser une étude de sol afin de déterminer le type de système d’assainissement adapté à votre terrain. Cette étude permet de prendre en compte les contraintes environnementales et de choisir la solution la plus efficace. Une fois l’étude réalisée et le choix vérifié, vous pouvez procéder à la mise en place du système d’assainissement conformément aux normes en vigueur.

La signature d’un contrat de travaux avec un professionnel agréé est essentielle pour garantir la conformité de l’installation. Le vendeur doit fournir une attestation de conformité à la réglementation en vigueur et s’assurer que le système d’assainissement respecte les normes techniques et environnementales.

Une fois l’installation terminée, il est indispensable d’entretenir régulièrement le système d’assainissement. En effet, une mauvaise gestion peut entraîner des dysfonctionnements, des odeurs désagréables et des risques sanitaires. Selon la loi, les propriétaires doivent effectuer une vidange tous les quatre ans minimum, et plus fréquemment si nécessaire. Cette opération doit être réalisée par un professionnel agréé, qui émettra un certificat de vidange attestant de la conformité de l’opération.

L’installation d’un système d’assainissement : une opportunité de rénovation à taux zéro

La rénovation d’un système d’assainissement est une occasion idéale pour bénéficier de certaines aides financières et incitations gouvernementales. En effet, dans le cadre de la transition écologique, de nombreuses régions proposent des subventions et des prêts à taux zéro pour encourager les propriétaires à mettre en conformité leur installation d’assainissement.

La loi permet ainsi aux propriétaires de financer leurs travaux de rénovation par le biais de prêts à taux zéro, facilitant ainsi l’accès à des systèmes d’assainissement plus performants et respectueux de l’environnement. Ces dispositifs incitatifs visent à encourager les rénovations tout en favorisant l’adoption de solutions plus durables.

En parallèle, une redevance pour pollution de l’eau est généralement mise en place afin de financer les systèmes de traitement des eaux usées. Son montant est fixé en fonction de la consommation d’eau et de la superficie des habitations. Il est donc essentiel de se renseigner auprès des autorités locales pour connaître les modalités et les taux appliqués dans votre région.

En conclusion, l’installation d’un système d’assainissement est un processus qui demande une planification rigoureuse et le respect des réglementations en vigueur. Toutefois, cela représente également une opportunité de rénovation à taux zéro, pour permettre aux propriétaires de bénéficier d’aides financières pour rendre leur installation plus respectueuse de l’environnement. Il est donc primordial de se renseigner sur les dispositifs disponibles et de faire appel à des professionnels qualifiés pour garantir une installation conforme et un entretien régulier de votre système d’assainissement.

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L’assainissement est un enjeu vital pour la préservation de l’environnement et de la santé publique. Les projets d’assainissement obligatoire visent à garantir une gestion adéquate des eaux usées, qu’elles proviennent de foyers individuels ou de collectivités. Parmi les diverses facettes de l’assainissement, l’assainissement non collectif (ANC) ou individuel occupe une place de plus en plus importante. Dans cet article, nous explorerons les différents aspects d’un projet d’assainissement, de la conception à la réalisation, en mettant l’accent sur l’assainissement non collectif. 

Les bases d’un projet d’assainissement

Un projet d’assainissement est un plan structuré visant à assurer le traitement efficace des eaux usées. L’assainissement peut être collectif, desservant un grand nombre d’usagers, ou non collectif, s’adressant aux installations individuelles. Pour les zones éloignées des réseaux d’assainissement, l’assainissement non collectif devient la solution incontournable.

Qu’est ce qu’un projet d’assainissement non collectif ? (ANC)

L’assainissement non collectif, également connu sous le nom d’assainissement individuel ou autonome, est un système qui permet à chaque habitation de traiter ses propres eaux usées. Il est souvent utilisé dans les zones rurales ou isolées, où la mise en place d’un réseau d’assainissement collectif est difficile ou coûteuse.

Les différentes étapes d’un projet d’assainissement

Un projet d’assainissement obligatoire, qu’il soit collectif ou non, suit généralement les étapes suivantes :

Les systèmes d’assainissement collectif et non collectif 

Le choix entre un assainissement collectif ou non collectif dépend de plusieurs facteurs, notamment la densité de population, la distance par rapport au réseau d’assainissement collectif existant, et les caractéristiques du terrain. Les solutions d’assainissement individuel ou autonome sont de plus en plus populaires en raison de leur flexibilité et de leur faible impact sur l’environnement.

Les systèmes d’assainissement individuels ou autonomes varient en fonction de la technologie employée. Parmi les solutions courantes, on trouve les filières classiques, les stations d’épuration individuelles, et les dispositifs plus modernes comme les toilettes sèches. Le choix dépendra des besoins spécifiques de chaque projet.

Projet d’assainissement : les subventions et aides financières

Assainissement non collectif : aujourd’hui, de nombreuses collectivités territoriales vous proposent des aides financières pour faciliter l’accès à l’assainissement individuel. Chaque type d’aide a ses propres critères d’éligibilité et conditions d’attribution. Il est possible de bénéficier de plusieurs aides pour financer l’installation ou la réhabilitation d’un système d’assainissement individuel. Par exemple, le bénéfice d’une TVA à taux réduit peut être cumulé avec celui d’un éco-prêt à taux zéro.

Toutefois, il est également possible que certaines aides ne soient pas cumulables entre elles, c’est-à-dire que si vous bénéficiez d’une aide pour financer l’installation de votre système d’assainissement individuel, vous ne pourrez pas bénéficier d’une autre aide pour le même projet.

Assainissement collectif : L’Agence Nationale de l’Habitat octroie desaides financières de 20 % ou 35 % correspondant au montant total des travaux. Il n’y a pas de démarches spécifiques pour obtenir cette aide. Néanmoins, vous devez respecter les conditions suivantes :

Que ce soit pour le système d’assainissement individuel ou collectif, nous  vous recommandons de bien vous renseigner sur chaque aide avant d’en faire la demande. Cela permettra de maximiser vos chances de recevoir une aide pour financer votre projet d’assainissement.

Un bon système d’assainissement permet d’assurer un assainissement de qualité

Les projets d’assainissement jouent un rôle essentiel pour assurer la qualité des eaux, la santé publique et la protection de l’environnement. Que ce soit par le biais d’un assainissement collectif ou non collectif, l’installation, la réalisation et l’entretien des systèmes d’assainissement sont cruciaux pour garantir un assainissement efficace. Le choix du type d’assainissement dépendra des besoins spécifiques de chaque communauté, mais l’objectif final demeure le même : assurer un assainissement de qualité pour tous, quel que soit le cadre.

Pour mener à bien un projet d’assainissement, il est recommandé de faire appel à des experts en la matière, de suivre les normes d’assainissement en vigueur, et de veiller à un entretien régulier pour assurer le bon fonctionnement des installations. La protection de notre environnement et de notre santé en dépendent.

La réalisation de la collecte des eaux usées dans les réseaux d’assainissement

La collecte des eaux usées dans les réseaux d’assainissement collectif est réalisée à l’aide de canalisations souterraines. Ces réseaux sont conçus pour transporter les eaux usées vers une station d’épuration où elles seront traitées avant d’être rejetées dans le milieu naturel. Les communes doivent veiller à l’entretien et à la modernisation de ces infrastructures afin d’assurer un service d’assainissement de qualité à leurs habitants.

Le choix entre l’assainissement individuel et collectif dépend de nombreux facteurs, tels que la densité de population, la disponibilité des réseaux d’assainissement collectif, les contraintes environnementales et financières. Les communes doivent prendre en compte ces considérations lors de l’élaboration de leur plan d’assainissement, afin de garantir une gestion efficace des eaux usées sur leur territoire.

Ce qu’il faut retenir de l’assainissement collectif et individuel 

L’assainissement individuel, également appelé assainissement non collectif, est un système dans lequel chaque habitation est responsable de son propre traitement des eaux usées. Ce type d’assainissement est généralement utilisé dans les zones rurales ou les zones peu densément peuplées. Les habitants doivent choisir la méthode d’assainissement individuel qui convient le mieux à leur situation, en prenant en compte différents facteurs tels que la taille du terrain, la nature du sol et les contraintes topographiques.

Il existe plusieurs techniques d’assainissement individuel, parmi lesquelles on retrouve les fosses septiques, les micro-stations d’épuration, les filtres à sable ou encore les toilettes sèches. Chaque méthode présente ses propres avantages et inconvénients, et il est essentiel de faire appel à un Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC) pour obtenir des conseils professionnels et réaliser les contrôles réglementaires.

Dans le cas de l’assainissement collectif, également appelé assainissement urbain, les habitations sont raccordées à un réseau d’assainissement géré par une commune ou un syndicat intercommunal. Ce système est plus adapté aux zones densément peuplées, où la collecte et le traitement des eaux usées sont effectués de manière centralisée. Les communes ont un rôle crucial dans la mise en place et la gestion de ce service public d’assainissement collectif.

En conclusion, l’assainissement individuel et collectif sont deux approches différentes pour traiter les eaux usées. Choisir le bon système d’assainissement est essentiel pour préserver notre environnement et notre santé. Les communes ont un rôle central dans la mise en place et la gestion de ces services publics d’assainissement, en veillant à la collecte et au traitement adéquat des eaux usées. Il est nécessaire de prendre en compte les spécificités du sol, les techniques disponibles et le temps nécessaire pour mettre en place un système d’assainissement efficace.

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La redevance d’assainissement est une taxe liée à l’évacuation et au traitement des eaux usées. Elle varie en fonction de la consommation d’eau et du type d’assainissement, collectif ou non collectif. Son montant est calculé pour couvrir les frais des services rendus et peut être majoré en cas de non-conformité. Cette redevance est essentielle pour la modernisation des réseaux d’assainissement et la protection de l’environnement.

Le Principe de la redevance d’assainissement

La redevance d’assainissement repose sur le principe du « pollueur-payeur ». C’est-à-dire que chaque usager contribue financièrement à hauteur de la pollution qu’il génère via ses eaux usées. Cette redevance est fixée par la commune ou l’établissement public de coopération intercommunale (EPCI) et se divise en deux parties :

Pour l’assainissement non collectif, la redevance peut également comprendre une part destinée à couvrir les charges de contrôle et d’entretien des installations si le SPANC assure ces services.

Différence entre assainissement collectif et individuel

L’assainissement collectif et l’assainissement individuel sont deux méthodes distinctes de gestion des eaux usées :

Les travaux liés à l’assainissement et leur coût

Les travaux liés à l’assainissement sont variés et dépendent du type d’assainissement. Pour un assainissement collectif, les travaux d’extension du réseau en domaine public sont généralement à la charge du propriétaire. Le coût de pose est compris entre 200 et 400 € le mètre linéaire, avec un total de 4 000 à 8 000 € pour l’achat des matériels et leur pose. En sus, il faudra s’acquitter de la taxe de raccordement et de la redevance d’assainissement.

Concernant l’assainissement non collectif, le coût des travaux peut varier, notamment en fonction du type d’installation choisi. Il faut compter entre 5 000 et 12 000 € pour l’installation d’un système d’assainissement individuel qui permettra d’évacuer les eaux usées. Il est à noter que le montant de la redevance est fixé de façon à couvrir entièrement le coût d’exploitation du SPANC.

Comment est calculé le montant de la redevance ?

La redevance d’assainissement est déterminée sur la base de deux éléments principaux : une part fixe et une part variable :

Il est à noter que lorsque la consommation d’eau est calculée de façon forfaitaire, la redevance d’assainissement peut également être calculée forfaitairement.

Dans le cas de l’assainissement non collectif, le montant de la redevance est fixé de façon à couvrir entièrement le coût d’exploitation du SPANC. Elle distingue les frais afférents au contrôle de ceux afférents à l’entretien pour que l’usager ne soit redevable que de la part qui le concerne réellement.

Raccordement au réseau d’évacuation des eaux usées

Le raccordement au réseau d’évacuation des eaux usées est une étape cruciale pour l’assainissement. Il s’opère en deux temps : la partie publique, gérée par l’opérateur en charge de l’assainissement, et la partie privée, coordonnée par l’entreprise choisie par le propriétaire. Pour assurer une bonne évacuation, une pente minimale de 1% est préconisée pour les conduites de raccordement selon le DTU 60.11.

Le raccordement au réseau public d’assainissement collectif implique la mise en place d’un branchement d’assainissement reliant la limite de votre propriété jusqu’au collecteur public. Ce branchement assure l’évacuation des eaux usées.

De plus, la commune peut se charger du raccordement aux réseaux publics de collecte, à la demande du propriétaire, dans un délai de 2 ans à compter de la mise en œuvre du service d’assainissement.

La facture d’assainissement : qui doit payer et quand ?

Toutefois, dans le cas de la location, c’est le locataire qui s’acquitte de cette redevance, soit par le biais des charges locatives, soit directement s’il est lui-même l’abonné.

Cela s’applique aussi bien à l’assainissement collectif qu’à l’assainissement individuel. Pour ce dernier, si l’installation a plus de huit ans, la redevance pour le diagnostic de bon fonctionnement et d’entretien est facturée à l’occupant.

En pratique, le paiement de la facture d’assainissement a souvent lieu en même temps que le règlement de la facture d’eau. Le moment précis du paiement peut cependant varier selon les situations. Par exemple, pour une maison neuve non raccordée au réseau, le paiement doit avoir lieu lors du raccordement effectif.

Les propriétaires non raccordés au réseau mais qui peuvent l’être doivent également s’acquitter de la taxe d’assainissement. Enfin, le montant de cette redevance est fixé par la commune ou l’EPCI et peut comporter une part fixe et une part variable en fonction de la consommation d’eau.

Le rôle du SPANC dans l’assainissement non collectif

Le SPANC joue un rôle crucial dans l’assainissement non collectif, assurant le contrôle et le bon fonctionnement des installations. Il contrôle la conception, le fonctionnement et la conformité des systèmes d’assainissement non collectif existants et à venir. Son champ d’action comprend notamment le contrôle des fosses septiques et leur mise aux normes.

Le SPANC est aussi là pour conseiller les usagers et donner des directives en matière d’assainissement. Il est en mesure de vérifier si toutes les eaux usées sortant de la maison sont bien reliées à la fosse et de mesurer le niveau des boues dans la fosse.

De plus, il est important de souligner que le SPANC est financé par une redevance d’assainissement non collectif payée par les usagers. Cette redevance est fixée de façon à couvrir entièrement le coût d’exploitation du service et ne dépend pas de la consommation d’eau.

La taxe d’assainissement et la fosse septique

La taxe d’assainissement est une charge importante à considérer lorsqu’on possède une fosse septique. Elle est destinée à couvrir les frais du SPANC qui contrôle le bon fonctionnement et la conformité de l’installation d’assainissement non collectif.

En cas de non-paiement de cette taxe, des pénalités peuvent être appliquées. Ainsi, après un délai de trois mois suivant les activités réalisées par le SPANC et quinze jours de mise en demeure, une majoration de 25% de la redevance peut être appliquée.

Il est à noter qu’un contrôle régulier de la fosse septique est obligatoire. Ce contrôle permet de vérifier le bon fonctionnement de l’installation et de s’assurer du respect des normes sanitaires.

Ainsi, toute personne équipée d’un système d’assainissement non collectif doit s’acquitter de cette taxe d’assainissement.

Faire une simulation du prix de la redevance d’assainissement

Pour estimer le coût de la redevance d’assainissement, plusieurs éléments doivent être pris en compte. En général, la redevance se compose d’une partie fixe et une partie variable qui dépend du volume d’eau consommée.

Il existe des simulateurs en ligne qui permettent d’estimer le montant de votre facture d’eau et d’assainissement. Cela peut être une première étape pour avoir une idée du coût.

Notez que le tarif de la redevance peut varier en fonction de votre commune ou de l’EPCI. Par exemple, pour l’assainissement collectif, la redevance peut atteindre 2,11€ par m3 d’eau potable.

Si vous êtes en assainissement non collectif, le coût de la redevance peut également varier en fonction des services rendus par le SPANC, à savoir le contrôle et éventuellement l’entretien de l’installation.

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Conseils

Les travaux de mise aux normes sont une étape cruciale pour tout bailleur et locataire, que ce soit dans le cadre d’un bail commercial, d’un bail d’habitation ou tout autre type de bail. La conformité aux normes légales en vigueur est une responsabilité partagée entre le bailleur et le locataire, et ce, dans le but de garantir la sécurité et le bien-être des occupants du local.

Les Normes et la Sécurité : Un Point Clé

La mise aux normes des locaux est essentielle pour assurer la sécurité des lieux. Les normes peuvent varier en fonction de la destination du local (habitation, commerce, etc.) et des activités qui s’y déroulent. Le Code de la construction et de l’habitation ainsi que d’autres réglementations spécifiques peuvent imposer des règles strictes concernant la sécurité, l’accessibilité et l’efficacité énergétique.

Les différentes obligations à respecter par les bailleurs

Le bailleur a l’obligation de mettre à disposition un local conforme aux normes en vigueur au moment de la signature du bail. Cela signifie que les travaux de mise en conformité ou de mise aux normes doivent être effectués avant de louer le bien. Le bailleur doit supporter les coûts de ces travaux, sauf si des clauses contraires ont été prévues dans le bail, mais cela doit se faire dans le respect des règles et de la réglementation en vigueur.

Le bailleur est également responsable des réparations nécessaires pour maintenir le local en bon état et conforme aux normes tout au long de la durée du bail.

Travaux de mise aux normes : les obligations de locataire

Le locataire est tenu de maintenir le local en bon état et de veiller à son utilisation conforme à sa destination. Il doit signaler au bailleur tout défaut ou problème concernant la conformité aux normes. Si le bailleur n’effectue pas les travaux de mise aux normes nécessaires, le locataire peut faire appel à la justice pour garantir sa sécurité et son bien-être dans les lieux loués.

Travaux de mise aux normes : la clause spécifique dans le bail et réglementation

Il est courant d’inclure des clauses spécifiques dans le bail, détaillant les obligations du bailleur et du locataire en ce qui concerne les travaux de mise aux normes. Ces clauses peuvent spécifier quelles parties supportent les coûts, les délais pour effectuer les travaux, et les modalités de contrôle de la conformité.

La réglementation évolue au fil du temps, et de nouvelles normes peuvent être introduites. Le bailleur a l’obligation de se tenir informé des dernières dispositions légales et de s’assurer que le local est toujours conforme. Les locataires, de leur côté, doivent également respecter les nouvelles règles qui entrent en vigueur pendant la durée de leur bail.

Travaux de mise aux normes : les responsabilités du bailleur et du locataire

Les travaux de mise aux normes sont une responsabilité partagée entre le bailleur et le locataire. Ils visent à assurer la sécurité, l’accessibilité et la conformité aux normes légales en vigueur. Les clauses spécifiques dans le bail peuvent définir les droits et les obligations de chaque partie, mais en fin de compte, le respect de la réglementation et la sécurité des lieux sont essentiels pour toutes les parties concernées. La coopération entre le bailleur et le locataire est primordiale pour garantir des lieux conformes et sûrs.

Travaux de mise aux normes : une étape cruciale dans la location d’un bien immobilier

Les travaux de mise aux normes sont une étape cruciale dans la location d’un bien immobilier. Ils visent à garantir la sécurité et le confort des occupants, en conformité avec les réglementations en vigueur. Ces travaux peuvent concerner aussi bien les installations électriques, les systèmes de chauffage, que les dispositifs de sécurité incendie.

La charge de réaliser ces travaux incombe généralement au bailleur, c’est-à-dire au propriétaire du bien loué. En effet, il est tenu de délivrer un logement décent qui respecte les normes en vigueur. Cependant, il peut être convenu dans le contrat de bail que certains travaux soient à la charge du locataire, notamment s’ils sont liés à des installations dites « d’amélioration » ou « d’embellissement » du logement.

Le preneur, quant à lui, doit veiller à ce que les travaux d’installation ou de mise aux normes soient réalisés dans les règles de l’art. Il doit également s’assurer que les installations restent en bon état de fonctionnement tout au long de la durée du bail. En cas de défaillance, le locataire est tenu de signaler rapidement les problèmes au bailleur afin qu’il puisse prendre les mesures nécessaires.

La mise aux normes comporte donc des obligations tant pour le bailleur que pour le locataire. Le bailleur doit s’assurer que le logement est conforme aux normes de sécurité et de salubrité. Il doit également veiller à l’entretien des installations collectives telles que les ascenseurs, les systèmes de ventilation, ou les parties communes.

De son côté, le locataire doit utiliser les installations conformément à leur destination et ne pas les dégrader. Il doit également permettre l’accès au logement lors des travaux de mise aux normes effectués par le bailleur. En cas de non-respect de ces obligations, le locataire peut se voir contraint de prendre en charge les frais de remise en état ou de mise aux normes.

Travaux de mise aux normes : que dit la loi ?

Il convient de préciser que la loi encadre les obligations du bailleur et du locataire. En effet, la législation impose au bailleur de fournir un logement décent, c’est-à-dire répondant à certaines conditions de confort et de sécurité. De plus, la loi prévoit que les travaux de mise aux normes soient effectués par le bailleur, sauf accord contraire entre les parties.

La Cour de cassation a également précisé que les travaux de mise aux normes sont obligatoires pour le bailleur. Elle a affirmé que le bailleur ne peut pas se soustraire à ces travaux en invoquant une clause du contrat de bail qui lui transférerait cette responsabilité. Ainsi, le bailleur ne peut pas se décharger de son obligation de mise aux normes assainissement sur le locataire.

En conclusion, les travaux de mise aux normes sont une obligation légale incombant au bailleur afin de garantir un logement décent et sécurisé. Le locataire a quant à lui la responsabilité d’utiliser les installations conformément à leur destination et de signaler tout problème au bailleur. La législation encadre ces obligations et la Cour de cassation a confirmé le caractère obligatoire des travaux de mise aux normes pour le bailleur. Il est donc essentiel de respecter ces obligations pour assurer un environnement sain et sécurisé dans le cadre de la location immobilière.

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Aborder la question du traitement des eaux usées revient à se pencher sur un enjeu majeur de notre époque. Qu’elles soient domestiques ou industrielles, ces eaux nécessitent une épuration rigoureuse avant leur rejet en milieu naturel. Des procédés biologiques aux technologies les plus avancées, découvrons ensemble les différentes étapes de ce processus essentiel pour une gestion durable de l’eau.

La nécessité du traitement des eaux usées

L’importance du traitement des eaux usées réside principalement dans la protection de la santé humaine et de l’environnement. En effet, les eaux usées, qu’elles proviennent de nos habitations, des industries ou des exploitations agricoles, sont chargées en matières organiques, en nutriments (notamment azote et phosphore) et en micro-organismes pathogènes qui peuvent être nuisibles pour l’homme et l’écosystème aquatique.

D’une part, le traitement des eaux usées permet de réduire la pollution des eaux de surface et souterraines, préservant ainsi la qualité de nos ressources en eau douce. Ce processus est d’autant plus crucial que l’eau douce reste une ressource limitée et précieuse.

D’autre part, le traitement des eaux usées joue un rôle clé dans la prévention des maladies liées à l’eau, en éliminant les bactéries et autres agents pathogènes qu’elles peuvent contenir. C’est un aspect crucial pour le maintien de la santé publique et la sécurité alimentaire.

Enfin, il est à noter que les eaux usées, une fois traitées, peuvent être réutilisées pour divers usages, tels que l’irrigation agricole, la recharge des aquifères ou encore certaines applications industrielles. Cette réutilisation contribue à une gestion plus durable de l’eau, en limitant les prélèvements sur les ressources naturelles.

Comprendre les différents types d’eaux usées

Eaux usées domestiques et ménagères

Les eaux usées domestiques et ménagères sont principalement constituées d’eaux vannes (provenant des WC) et d’eaux grises (issues de la cuisine, du lave-linge, des salles de bains). Elles sont chargées en matières organiques, en nutriments et peuvent contenir des micro-organismes pathogènes.

Le traitement de ces eaux domestiques est nécessaire pour protéger les milieux naturels, préserver la santé publique et permettre leur réutilisation possible.

Eaux usées industrielles

Les eaux usées industrielles proviennent des processus de production industriels et peuvent contenir une variété de contaminants, tels que des produits chimiques, des métaux lourds et des substances organiques. Le traitement de ces eaux est un défi majeur, car elles sont souvent plus polluées et diversifiées que les eaux usées domestiques.

Plusieurs technologies sont utilisées pour le traitement des eaux usées industrielles :

Le choix de la technologie dépend des caractéristiques spécifiques des eaux usées à traiter et de leur destination finale. Certaines industries peuvent également opter pour la technologie « zéro rejet liquide », qui vise à réutiliser le maximum d’eau possible dans le processus de production.

Comment se fait la collecte des eaux usées ?

La collecte des eaux usées est organisée majoritairement par les services publics locaux. Le plus souvent, les eaux usées domestiques sont collectées via un réseau d’égouts et acheminées vers des stations d’épuration pour y être traitées.

On distingue deux grands types de collecte :

Les étapes du traitement des eaux usées

Le prétraitement : séparation des déchets insolubles

Le prétraitement est la première étape cruciale du traitement des eaux usées. Il a pour objectif de séparer et éliminer les déchets insolubles. Ces déchets, généralement volumineux et lourds, peuvent causer des dommages aux équipements de traitement en aval s’ils ne sont pas correctement retirés.

Méthodes de prétraitement

Ce processus de séparation physique est fondamental pour sécuriser et protéger les équipements installés en aval.

Traitement primaire : élimination des matières en suspension

Le traitement primaire des eaux usées vise à éliminer les matières en suspension, c’est-à-dire les substances solides qui flottent dans l’eau.

Ces techniques classiques éliminent 50 à 60 % des matières en suspension. Cependant, des méthodes avancées sont de plus en plus utilisées. Par exemple, l’utilisation de floculant bio-organique permet d’agglomérer les particules en suspension pour faciliter leur élimination. Enfin, il est à noter que les matières en suspension peuvent être d’origine minérale ou organique, et leur élimination est essentielle pour obtenir une eau épurée.

Traitement secondaire : élimination de la pollution organique

L’élimination de la pollution organique, étape clé du traitement secondaire, repose principalement sur des procédés biologiques. Des bactéries spécifiques se nourrissent des déchets organiques présents dans l’eau et les transforment en gaz carbonique. L’efficacité de ce processus dépend d’une bonne circulation d’oxygène dans le milieu, nécessaire à la respiration des bactéries.

Les techniques physico-chimiques, comme l’oxydation grâce à l’ozone, sont également utilisées pour éliminer certaines matières organiques. Par ailleurs, la mise en œuvre de procédés membranaires permet de combiner les avantages des méthodes biologiques et physiques.

Des systèmes alternatifs, comme les systèmes de lagunages naturels, sont aussi employés pour épurer la pollution organique et affiner le traitement avant le rejet de l’eau dans le milieu naturel.

Enfin, de nouveaux matériaux sont continuellement étudiés pour améliorer l’élimination des polluants organiques, notamment dans le cadre du traitement tertiaire des eaux usées.

Traitement tertiaire : élimination des nutriments résiduels

Le traitement tertiaire des eaux usées a pour but d’éliminer les nutriments résiduels, comme le phosphore et l’azote, qui n’ont pas été éliminés durant les traitements primaires et secondaires. Ces nutriments peuvent être nuisibles pour l’environnement s’ils sont rejetés en trop grande quantité.

Les méthodes couramment utilisées pour cette étape de traitement comprennent l’utilisation de clarifloculateurs et de techniques chimiques et physiques.

Dans certains cas, un traitement plus approfondi peut être nécessaire pour respecter les normes strictes de rejet, ou si une plus grande qualité d’effluent est requise pour des raisons environnementales ou de réutilisation des eaux usées.

Il est à noter que l’exigence d’un traitement tertiaire est progressivement étendue, notamment pour les grandes agglomérations. Certaines législations peuvent également imposer un traitement tertiaire pour les petites agglomérations situées dans des zones sensibles.

Le parcours des eaux usée : de la collecte à l’épuration

Collecte des eaux usées en ville et en milieu rural

La collecte des eaux usées est la première étape du processus d’assainissement et varie en fonction du milieu, urbain ou rural.

En milieu urbain, la collecte est généralement assurée par un système de canalisations, connu sous le nom de « tout-à-l’égout ». Ce réseau collecte les eaux usées domestiques et les conduit vers les stations d’épuration. Il est géré par les collectivités locales et couvre la majorité des habitations en ville.

En milieu rural, où le réseau de collecte des eaux usées peut être inexistant ou impraticable sur le plan technique, l’assainissement autonome est la solution la plus adaptée. Il s’agit d’un système individuel qui traite les eaux usées directement sur place, généralement par le biais d’une fosse septique ou d’une installation similaire.

Chaque système présente des avantages et des défis spécifiques en termes de gestion, de coût et d’impact environnemental.

Transport des eaux usées vers la station d’épuration

Le transport des eaux usées vers la station d’épuration est une étape cruciale du processus d’assainissement. Il s’effectue généralement par l’intermédiaire de canalisations souterraines, appelées égouts ou collecteurs. Ces derniers sont connectés à chaque habitation et permettent d’acheminer les eaux usées vers la station d’épuration.

En fonction de la topographie du terrain, des postes de relevage peuvent être nécessaires pour pomper les eaux usées vers des points plus élevés. Ces installations sont équipées de pompes et de dispositifs de contrôle automatisés pour assurer un flux constant et éviter les débordements.

Dans certaines zones rurales ou en l’absence d’un réseau d’égouts, des systèmes de transport alternatifs peuvent être utilisés. Cela peut inclure le transport par camion ou l’utilisation de systèmes d’assainissement non collectif.

Les défis actuels du traitement des eaux usées

Les défis actuels du traitement des eaux usées en France sont multiples.

Premièrement, la réutilisation des eaux usées est encore peu développée. Moins de 1% des volumes d’eaux usées sont actuellement réutilisés en France, un chiffre bien inférieur à ceux de certains pays voisins comme l’Italie ou l’Espagne.

Deuxièmement, le pays fait face à des pressions environnementales croissantes, comme l’augmentation des sécheresses dues au changement climatique, qui obligent à repenser la gestion des ressources en eau.

Troisièmement, la qualité de l’assainissement quotidien est un enjeu majeur. Malgré la conduite de projets pilotes innovants, la France reste à la traîne pour l’assainissement de tous les jours, comme le souligne le fait que l’Europe ait attaqué la France pour rejet d’eaux usées insuffisamment traitées.

Enfin, les dépenses consacrées à l’eau représentent un poids financier important pour les différents acteurs, et leur gestion est un défi à part entière.

Ces défis nécessitent des solutions innovantes et durables, adaptées aux spécificités du contexte français.

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Conseils

Qu’est-ce qu’un avaloir, qu’est ce qu’une grille de réception d’eaux pluviales ?

Les eaux pluviales sont toujours collectées de manière séparées des eaux usées. C’est tout simplement parce qu’il s’agit de capter les eaux de pluie là où elles arrivent, c’est-à-dire de partout.

Quand il pleut, les eaux pluviales dans les rues vont suivre le profil de la route et suivre la pente. Généralement, ce sont des caniveaux qui vont guider les eaux pluviales.

On trouve ainsi dans les rues des villes des avaloirs, situés généralement dans des points bas des caniveaux, où l’eau s’accumule par simple gravitation.

Les avaloirs sont des ouvrages enterrés posés au niveau des trottoirs, dont la seule ouverture est au niveau du caniveau. Ils peuvent être munis ou non d’une grille afin de limiter l’afflux d’encombrants divers (bouteilles plastiques, …). Il s’agit d’une simple fosse de récupération reliée à l’évacuation d’eaux pluviales de la ville.

Les avaloirs sont donc chargés de récupérer toutes les eaux pluviales s’écoulant le long des trottoirs dans les caniveaux. Les eaux pluviales ainsi collectées sont donc par ce biais amenées dans le réseau d’égout de la ville.

De la même manière, on peut trouver des grilles de récupération d’eaux pluviales, disposées dans le sol : en longueur sur les pas de portes par exemple, ou en grille carré sur la chaussée d’autre part.

Les grilles ont pour rôle d’éviter l’accumulation d’eau dans des endroits où l’écoulement des eaux pluviales ne se fait pas naturellement vers un exutoire proche. Les grilles d’évacuation pluviale sont donc généralement disposées dans des points bas variés, et peuvent être de dimensions très variables (carré de 40x40cm, rectangle de 20x200cm, etc). Il s’agit généralement de regards décanteurs ou de petits caniveaux reliés à l’évacuation des eaux pluviales. On trouve aussi ce type de grille aussi dans les pistes de lavage.

Pourquoi effectuer un nettoyage d’avaloirs et de grilles de récupération d’eaux pluviales ?

Par l’essence même de ces ouvrages, situés en extérieur et récupérant tous les écoulements dans les rues, ils vont s’encrasser rapidement.

En effet, dans les rues, les eaux de pluviales s’écoulant dans les avaloirs vont charrier tous les déchets sur le sol : feuilles mortes, boue, sable, bouteilles plastiques, branches, etc …

En conséquence, un manque d’entretien de ces ouvrages va mener à un bouchon. En cas de forte pluie, l’avaloir ou la grille ne pourra plus accueillir les eaux pluviales, et on risque d’avoir une inondation localement qui pourra gêner fortement la circulation ou rentrer dans un bâtiment par exemple.

Les bons réflexes à avoir

Vous souhaitez faire le nettoyage de grilles et/ou avaloirs ?

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Conseils

Le diagnostic d’assainissement est une étape incontournable dans le processus de vente immobilière, que ce soit pour un logement individuel ou un bien collectif. Il permet d’évaluer l’état de l’installation d’assainissement, de s’assurer de sa conformité aux normes en vigueur, et de prévenir d’éventuels risques pour la santé publique et l’environnement. Dans cet article, nous explorerons l’importance du diagnostic d’assainissement dans le cadre de la vente immobilière.

Diagnostic d’assainissement : une obligation légale

Le diagnostic d’assainissement est une obligation légale en France, imposée par le Code de l’Environnement. Il concerne tous les logements situés dans une commune dotée d’un système collectif de traitement des eaux usées. L’objectif est de vérifier que le système d’assainissement est en bon état de fonctionnement et respecte la réglementation en vigueur.

La responsabilité du vendeur dans le diagnostic d’assainissement 

Le vendeur d’un bien immobilier est tenu de fournir un rapport de diagnostic d’assainissement à l’acquéreur. Ce rapport doit être établi par un professionnel certifié, tel qu’un diagnostiqueur immobilier. Il doit être remis à l’acquéreur au plus tard à la signature de l’acte de vente. L’acquéreur peut ainsi prendre connaissance de l’état de l’installation d’assainissement avant de finaliser la transaction.

Diagnostic d’assainissement : que concerne-t-il ?

Le diagnostic d’assainissement concerne principalement la collecte, le traitement, et l’évacuation des eaux usées en provenance du logement. Il vérifie que les eaux usées sont correctement raccordées au réseau d’assainissement collectif, le cas échéant. Il s’assure également de la conformité de la fosse septique ou du dispositif d’assainissement individuel : 

Le diagnostic d’assainissement : un élément essentiel dans la vente immobilière

Le diagnostic d’assainissement est un élément essentiel dans le cadre de la vente immobilière. Il assure la conformité de l’installation d’assainissement et contribue à la prévention des risques sanitaires et environnementaux. Tant les vendeurs que les acquéreurs doivent être conscients de l’importance de ce diagnostic pour une transaction immobilière en toute légalité.

Ce qu’il faut retenir du diagnostic d’assainissement et de vente immobilière

Lors de la vente immobilière, il est obligatoire de réaliser un diagnostic d’assainissement. Ce contrôle permet de vérifier le bon fonctionnement du système d’évacuation des eaux usées de la maison. Il est réalisé par le Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC), qui est en charge de contrôler les installations individuelles. L’acheteur doit obtenir les documents prouvant que la maison est en conformité avec la loi en matière d’assainissement. Si des travaux sont nécessaires pour mettre aux normes l’assainissement de l’habitation, c’est à l’acheteur d’en assumer les frais. 

Pour obtenir le diagnostic d’assainissement, il est nécessaire de se rendre à la mairie de la commune où se trouve la maison. C’est là que l’acheteur doit remplir une demande pour obtenir le contrôle du SPANC. Ce diagnostic est indispensable si vous souhaitez vendre votre maison, car il permet de garantir à l’acheteur que l’assainissement est conforme et ne pose pas de problème. En effet, si l’égout de la maison n’est pas aux normes, cela peut engendrer des problèmes d’odeurs, de pollution ou de dysfonctionnement du système d’évacuation des eaux usées. Il est donc essentiel de réaliser ce diagnostic pour assurer la tranquillité d’esprit de l’acheteur.

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Conseils

En effet, un bouchon, une charogne ou une canalisation tout simplement mal entretenue peut générer ce type de désagréments. Cependant, des odeurs désagréables peuvent aussi provenir d’une mauvaise ventilation ou encore d’un taux d’humidité trop élevé. Dans cet article, retrouvez différents conseils de SARP vous permettant d’éviter l’apparition de ces odeurs.

Problème d’odeur dans votre copropriété : les canalisations en cause

Si vous faites face à des odeurs inhabituelles au sein de votre résidence, votre premier réflexe doit être de vérifier l’état de vos canalisations. Souvent, les gestionnaires d’immeubles d’habitat collectif font appel à des professionnels qui effectueront un diagnostic des canalisations, à l’aide d’une caméra.

Dans la plupart des cas, un bouchon peut être la cause principale de ces odeurs. Au fil du temps, l’accumulation de déchets organiques, comme des poils, des cheveux, des restes de nourriture ou encore des matières graisseuses, favorise la formation de bouchons. Cet engorgement peut dégager des odeurs nauséabondes qui, en remontant le conduit, s’échappent par les éviers ou par les douches des propriétaires et occupants. 

Dans cette situation, il est fortement recommandé de faire appel à un professionnel de l’assainissement. Afin de déterminer la meilleure méthode pour remédier durablement à cette problématique, il faudra procéder à un diagnostic (passage caméra et test à la fumée). Ce diagnostic permettra de faire un état des lieux de vos canalisations, et de proposer les meilleures solutions de débouchage ou bien de curage. 

De fortes odeurs peuvent également provenir de la carcasse d’un animal nuisible, comme par exemple celle d’un rat ou d’une souris présente dans les canalisations. Il est nécessaire de se débarrasser de la présence de ces carcasses car, en plus des mauvaises odeurs, elles peuvent attirer d’autres nuisibles, comme des prédateurs ou des insectes et ainsi favoriser le développement de bactéries. 

Comment se débarrasser des odeurs dans votre résidence ?

Il est recommandé d’effectuer un contrôle ainsi qu’un entretien régulier de vos canalisations afin d’éviter ce type de gênes qui peuvent s’avérer très désagréables, surtout à long terme, pour le confort des occupants. C’est dans cette optique que ZEN’IMMO, l’offre de maintenance immobilière des copropriétés proposée par SARP, permet notamment : 

Ce type de démarche vous permet également une meilleure connaissance de votre patrimoine. ZEN’IMMO participe à l’élaboration de votre diagnostic technique global (DTG) et participe à la réflexion de vos plans pluriannuels de travaux (PPT). Les bâtiments étant vieillissants*, leurs ouvrages d’assainissement ont tendance à se fragiliser et à perdre en efficacité. La maintenance patrimoniale offre ainsi une solution progressive et optimisée pour votre patrimoine et une garantie décennale pour les colonnes réhabilitées. 

*60% des bâtiments de l’habitat collectif ont plus de 40 ans.

Mauvaise odeur dans la résidence : un problème d’aération ? 

Une aération défectueuse ou insuffisante peut aussi être responsable de la présence d’odeurs. Si l’air frais ne circule pas correctement, les odeurs s’accumulent rapidement, principalement dans les lieux clos comme les placards et les cuisines, dans lesquels beaucoup d’odeurs apparaissent. Si vous constatez que ces odeurs désagréables sont causées par une aération trop faible, vérifiez l’état de vos systèmes de ventilation. Il vous est possible d’installer des purificateurs d’air qui permettent de conserver une qualité d’air saine à l’intérieur de vos bâtiments. Ceci permettra d’éliminer les mauvaises odeurs, en les évacuant et en les remplaçant par de l’air frais provenant de l’extérieur. 

Les purificateurs d’air permettent également la réduction du taux d’humidité et donc de la présence de moisissures dans un lieu clos. L’humidité apparaît dans des lieux mal isolés et se développe davantage en cas de fuite d’eau, c’est pour cela qu’il est important de les traiter rapidement. 

Les moisissures doivent être éliminées au plus vite par un professionnel.

En éliminant ces dernières et l’humidité qui est en cause, vous supprimez les mauvaises odeurs par la même occasion. 

Dans le cas où il convient de réaliser des travaux de maintenance ou de réhabilitation de la ventilation mécanique contrôlée, veillez à ce qu’ils soient effectués conformément à la DTU 68/3 (normes règlementaires de la construction), ou encore aux recommandations Promevent (guide de recommandations).

Pour finir, des odeurs dérangeantes en intérieur peuvent tout simplement venir de… l’extérieur. En effet, la présence de restaurants aux alentours ou de locaux à poubelles mal entretenus peuvent avoir un impact sur la qualité de l’air intérieur. Il faudra alors investiguer et mener des actions auprès des propriétaires des bâtiments voisins, afin de chercher la cause de ces odeurs et de les éliminer. 

L’entretien des canalisations d’eaux usées dans les

copropriétés : comment ça marche ?

 

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Conseils

Comme toutes les énergies fossiles, le fioul est aujourd’hui délaissé au profit des énergies renouvelables, ou encore du gaz pour le chauffage. Si vous changez de mode de chauffage, vous devez savoir qu’il est totalement interdit d’abandonner un réservoir à fioul sans faire appel à un spécialiste.

Que faire d’une ancienne cuve à fioul ?

Lorsqu’on choisit d’opter pour un nouveau système de chauffage, on pense d’abord à la chaudière. Mais on oublie souvent de considérer les équipements de stockage du carburant, surtout lorsqu’ils sont enterrés. Pourtant, en cas d’inutilisation d’une cuve à fioul, la législation sur le stockage des produits pétroliers oblige le propriétaire à la neutraliser, l’enlever ou la recycler.

La vidange et le dégazage de la cuve est obligatoire avant toute neutralisation pour en extraire les matières dangereuses et polluantes : boues, effluents liquides et résidus gazeux.

Faut-il combler ou enlever une cuve à fioul ?

Tout dépend de son emplacement : une cuve enterrée n’est généralement pas traitée de la même manière qu’un réservoir de carburant situé à l’extérieur ou dans un bâtiment.

Le traitement d’une cuve à fioul enterrée

Si votre cuve à fioul est enterrée, vous pouvez choisir de l’enlever ou de la combler. Selon son emplacement, l’enlèvement peut nécessiter des travaux d’excavation pour extraire la cuve du sol. L’entreprise ayant réalisé les travaux de pompage, dégazage, l’acheminera alors vers un centre de traitement spécialisé pour sa destruction.
Si vous ne voyez pas d’utilité à utiliser l’espace de stockage de votre cuve, le plus simple est de neutraliser la cuve en la comblant avec un matériau solide et inerte pour empêcher la formation de gaz dangereux. Celle-ci pourra être neutralisée à l’aide de perlite.

Le traitement d’une cuve à fioul non enterrée

Si votre cuve à fioul est installée en surface ou en intérieur, vous avez sans doute intérêt à prévoir son enlèvement pour récupérer de la place. Ce sont le plus souvent des réservoirs à fioul en métal ou en plastique. Pour faciliter le transport de la cuve en vue de son élimination dans un centre de traitement des déchets, on procède généralement par découpe sur place.

La Prime Rénov : l’aide de l’état pour la transition énergétique

Autrefois sous le nom de CITE, l’aide de l’état accordée aux français dans le cadre de la transition énergétique est aujourd’hui dénommée “MaPrimeRénov”. Dispensée sous forme de prime, cette aide permet aux ménages les plus modestes de réaliser des travaux d’enlèvement de cuve à fioul afin de s’équiper d’un système de chauffage plus respectueux de l’environnement. Cette prime peut atteindre 1200€ pour une dépose de cuve à fioul réalisée par un professionnel. Conditions d’éligibilité : www.maprimerenov.gouv.fr

Transformer une cuve à fioul en récupérateur d’eau de pluie

La transformation de votre ancienne cuve à fioul en réservoir d’eau de pluie est une alternative intéressante à la neutralisation et l’enlèvement, en particulier si la cuve est en métal. Comme dans les autres cas, il faut commencer par vidanger, dégazer et nettoyer la cuve à fioul pour la dégraisser.

Une inspection visuelle des parois permet ensuite de détecter d’éventuelles fissures et percements à combler sur les parois. Si la cuve est en bon état, il suffit d’appliquer une peinture époxy à l’intérieur pour protéger le métal contre la corrosion. L’application préalable d’un revêtement polyester pourra être préconisée si la cuve est percée ou fissurée.

Reste ensuite à apporter quelques modifications pour transformer la cuve en récupérateur d’eau de pluie :

Quel que soit votre choix, vous devez faire appel à un professionnel qui pourra vous garantir une intervention dans les règles. Pour obtenir des conseils sur la solution la plus adaptée à votre situation, contactez-nous.

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Conseils

Que vous habitiez en ville ou à la campagne, vous avez peut-être déjà été confronté dans votre habitation aux dégâts provoqués par un rongeur. Considérés comme des animaux nuisibles, les rats, souris et mulots peuvent, causer de gros dommages dans une maison ou un immeuble. Outre le fait de s’attaquer à vos réserves alimentaires, les rats et souris peuvent aussi grignoter des câbles électriques, cloisons et faux plafonds, durites de voiture… Ils sont par ailleurs vecteurs de maladies et peuvent infester votre logement. Vous devez donc agir au plus vite pour les éliminer avant qu’ils ne prolifèrent dangereusement. Mais quels sont les moyens à votre disposition pour dératiser votre maison ou votre appartement ? Qui peut intervenir dans une maison individuelle ou un immeuble collectif ? Rappels sur la nouvelle réglementation concernant les biocides et techniques d’éradication des rongeurs utilisées par les professionnels pour une dératisation efficace

La dératisation traditionnelle par rodenticides pour un traitement ponctuel

Pour éliminer les rongeurs dans un appartement ou une maison, la solution de premier recours fut pendant longtemps d’utiliser des produits rodenticides, nommés familièrement « mort aux rats ». Ce sont des substances chimiques toxiques qui ont pour effet d’empoisonner les rongeurs lors de leur ingestion.

Problème : ces produits utilisés comme appâts peuvent représenter un danger pour les autres espèces animales, et à la longue, ne plus être efficaces sur les nuisibles présentant une résistance à ces anticoagulants.

Leur usage est aujourd’hui réservé aux professionnels de la dératisation formés, qui doivent les utiliser avec parcimonie comme moyen d’éradication dans les habitations. En tant qu’organisme certifié biocide, SARP s’engage dans ce cadre à :

La dératisation mécanique et connectée : une véritable alternative

Pour une protection efficace de votre patrimoine, SARP Centre-Est propose comme alternative aux rodenticides une solution de dératisation mécanique et connectée. Cette innovation offre un double avantage par rapport à la méthode de dératisation traditionnelle. Elle respecte les consignes de la réglementation européenne sur la limitation des produits biocides et permet de venir rapidement à bout d’une infestation de rongeurs.

Avant toute intervention, un diagnostic établi à partir de boîtiers connectés et de caméras infrarouges permet de localiser les zones infestées et de mesurer le taux d’infestation des nuisibles. Un plan d’action pour les éradiquer vous sera ensuite proposé.

Deux systèmes de pièges mécaniques existent pour une installation :

Avec ces dispositifs connectés, les rongeurs sont neutralisés par une décharge électrique ou par l’action d’une lance mécanique sans utilisation de produit chimique.

Selon le type de piège, l’envoi  d’une alerte à l’opérateur sera réalisé automatiquement pour déclencher une collecte des rats capturés lorsque le niveau est atteint.

Un système de comptage permet d’évaluer les résultats obtenus et d’adapter la campagne de dératisation en temps réel. Pendant et après le traitement des zones infestées, un suivi est réalisé sur les zones traitées afin de limiter les zones de refuges et éviter toute nouvelle présence de rongeurs.

Dératisation intérieure et extérieure de vos locaux professionnels

Les professionnels de l’hôtellerie-restauration ainsi que de l’immobilier sont trop souvent confrontés à des problématiques de rats ou souris. De même, les supermarchés ou les usines agroalimentaires nécessitant une hygiène irréprochable, attirent les rongeurs en grand nombre. Ces nuisibles pouvant fortement importuner vos clients ou occupants ainsi que dégrader votre patrimoine et vos installations, il est nécessaire de traiter le problème à la source. Nos solutions de dératisation mécanique et connectée permettent de les éradiquer efficacement.

Après une infestation, vous pourrez également être amené à désinfecter votre maison ou vos locaux d’entreprise. Sachez que SARP Centre-Est réalise tous les services 3D : dératisation, désinsectisation et désinfection.

Pour en savoir plus sur nos solutions techniques de dératisation ou obtenir un devis sur-mesure en vue d’une élimination de nuisibles dans votre habitat, contactez-nous. Nos équipes interviendront depuis l’une de nos différentes agences situées en France.

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Conseils

Nos experts vous conseillent et vous proposent un service de débarrassage clé en main pour vos encombrants dans toute la France.

Quelles sont les solutions pour vider une maison après une succession

Que vous soyez un particulier ou un professionnel (notaire, agence immobilière…), plusieurs solutions peuvent vous permettre de vider rapidement un logement après une succession. Quelle que soit l’option privilégiée, la loi vous oblige à établir un inventaire si la succession fait suite à un décès, y compris lorsque le bien n’est pas mis en vente. C’est seulement après avoir réalisé cet inventaire, et géré les questions légales de succession et testament, que vous allez pouvoir débarrasser les meubles, objets et effets personnels du défunt (ou de la personne qui a légué ses biens).

Faire appel à une entreprise spécialisée dans le débarras d’objets encombrants

Confier votre projet à un professionnel est la solution la plus conseillée pour réussir à vider votre maison dans des conditions optimales en termes de sécurité, efficacité et respect des réglementations en vigueur.

Service de débarras à domicile clés en mains

SARP possède une agence spécialisée dans l’enlèvement d’encombrants. Groupe VITA, leur service dédié, dispose d’une équipe compétente qui prend en charge tous types de biens présents dans votre maison, grenier, cave, appartement ou entrepôt, que vous soyez un particulier ou un professionnel :

Location de bennes pour encombrants

Pour faciliter le débarras de votre maison, SARP, via le Groupe VITA, vous propose également un service de location de bennes DIB et de bennes à gravats – location courte ou longue durée. La benne est livrée à domicile, puis est récupérée par nos professionnels lorsque vous avez terminé de déposer vos encombrants. Notre agence se charge alors d’assurer le traitement et la valorisation de vos objets selon la réglementation en vigueur, dans une démarche écoresponsable.

Avec le Groupe Vita, vous avez le choix entre plusieurs tailles et formats de bennes. Notre offre vous permet de trouver des solutions de stockage adaptées précisément au volume de vos déchets à évacuer.

Bon à savoir : si vous n’avez pas l’espace nécessaire pour mettre la benne dans votre jardin, vous pouvez la déposer sur la voirie. Il faudra toutefois faire une demande préalable auprès de la mairie pour obtenir un permis de stationnement.

Traitement des encombrants dans une filière d’économie circulaire

Les encombrants collectés par nos professionnels sont transférés vers le centre de traitement des déchets Iloé. Acteur majeur de l’économie sociale et solidaire, Iloé a notamment pour objectifs de traiter les encombrants des bâtiments sociaux en favorisant leur réemploi et en soutenant l’insertion professionnelle.

Pourquoi privilégier nos services pour vider votre maison ?

SARP vous garantit une intervention rapide et sécurisée 7 jours sur 7 avec un équipement professionnel adapté et des techniciens expérimentés respectant l’ensemble des procédures de sécurité. Avec SARP, vous pouvez déléguer entièrement et en toute facilité le débarras de votre maison, et bénéficier d’un service optimal de remise en état (nettoyage, rénovation, réhabilitation) qui vous permettra de vendre ou de louer rapidement le bien immobilier après la succession. Contactez à tout moment nos experts pour vous faire aider dans votre projet !

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Conseils

SARP est votre prestataire de confiance pour l’enlèvement de nid guêpes et la destruction de nids de frelon et de nids de frelons asiatiques. Nous intervenons 7j/7 dans les plus brefs délais.

Enlèvement de nid de guêpes et de nid de frelons asiatique : comment s’y prendre ?

Les frelons asiatiques et les guêpes sont des nuisibles dangereux pour les occupants d’un logement, d’un immeuble, d’un entrepôt industriel, d’un commerce ou encore d’un hôtel. Très agressifs, ils attaquent ceux qui s’approchent de trop près de leur nid.

Pour les éliminer, les opérateurs certifiés Biocide de SARP parviennent à décrocher leur nid et garantissent une élimination optimale des guêpes et des frelons, tout en veillant à la sécurité des personnes et au respect de l’environnement

Retirer un nid de frelon asiatique grâce à un matériel professionnel

L’enlèvement de nid de guêpes et la destruction de nids de frelons requiert l’utilisation de matériels professionnels que les techniciens de nos agences SARP maîtrisent parfaitement.

Grâce à notre expertise en élimination de nuisibles et en désinsectisation ainsi qu’à notre équipement spécialisé, nous intervenons en toutes conditions y compris pour des opérations en hauteur. Contactez-nous pour obtenir une intervention en urgence.

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Conseils

QUELLES SONT LES DIFFÉRENCES D’ENTRETIEN ENTRE FOSSE TOUTES EAUX ET MICRO-STATION D’ÉPURATION ?

La fosse toutes eaux et la micro-station d’épuration sont toutes deux des systèmes d’assainissement individuel non raccordés au tout-à-l’égout. Malgré cette similitude, elles ne doivent pas être entretenues de la même façon :

Plusieurs autres critères distinguent une fosse septique d’une micro-station d’épuration :

Comment entretenir votre système d’assainissement individuel ?

L’entretien de votre micro-station d’épuration

Comme mentionné plus haut, une micro-station doit être entretenue plus régulièrement qu’une fosse toutes eaux. L’entretien s’effectue en deux grandes étapes.

Vérification régulière de l’installation

Ces vérifications, qui doivent être réalisées mensuellement, peuvent être effectuées par vous-même sans l’aide d’un professionnel. Il s’agit de vérifier chaque mois le bon état de fonctionnement de l’ouvrage :

En cas de dysfonctionnements ou d’anomalies, vous devez impérativement faire appel à un professionnel comme SARP Centre Est qui interviendra rapidement et empêchera une éventuelle pollution des sols. L’intervention de nos experts vous permettra également d’éviter les désagréments liés à un mauvais fonctionnement de l’installation (reflux des eaux usées dans votre habitation, propagation de mauvaises odeurs, défaillances techniques…).

Entretien annuel de la micro-station

Vous devez chaque année procéder à la révision et à la maintenance de votre station d’épuration. Ces opérations doivent être confiées à un professionnel comme SARP qui disposera de toutes les compétences techniques pour entretenir votre équipement.

Lors de l’entretien annuel de votre micro-station, nos experts contrôleront notamment la circulation et la hauteur des boues, les matériels électroniques, les ventilations et l’exutoire. Ils pourront également procéder, si besoin, à la vidange de l’équipement.

L’entretien de votre fosse toutes eaux

Une fosse toutes eaux doit aussi être contrôlée et vidangée pour fonctionner dans les meilleures conditions. Un bon entretien de la fosse passe par plusieurs démarches :

Ces interventions doivent être effectuées par des professionnels qualifiés. Les experts agréés SARP Centre Est sont spécialisés dans la vidange et l’entretien des systèmes d’assainissement collectifs/individuels. En plus de vidanger votre équipement selon un procédé technique de qualité (pompage des eaux usées), ils vérifieront, nettoieront et remettront en parfait état de fonctionnement vos installations.

Contactez dès maintenant SARP pour l’entretien de votre fosse toutes eaux ou de votre micro-station d’épuration !

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Conseils

Qu’elles affectent un réseau d’eau ou d’assainissement, les dégradations survenant sur une canalisation enterrée peuvent avoir de graves conséquences pour son propriétaire ou gestionnaire. Pertes financières, pollution, obligation de remise en état… à titre préventif ou en cas de doute, il convient donc de pouvoir détecter toute fuite d’eau au plus vite afin de réparer le réseau dans les meilleurs délais. Parallèlement aux tests à l’eau et tests à l’air, l’inspection par caméra fait aujourd’hui partie des solutions les plus intéressantes pour sonder des canalisations souterraines. Comment fonctionne cette technologie, et quels sont les avantages d’une inspection télévisée ? Focus sur une nouvelle méthode de diagnostic des réseaux qui s’avère particulièrement adaptée pour repérer une fuite sur une canalisation enterrée.

L’inspection télévisée : solution pour détecter une fuite d’eau sur une canalisation enterrée

Enfouis sous terre, les réseaux d’assainissement sont souvent difficiles à entretenir. Avec l’inspection vidéo, il est néanmoins possible aujourd’hui de diagnostiquer plus facilement l’état des canalisations enterrées. Ce qui intéresse à la fois les professionnels et les particuliers.

Un outil de connaissance et de gestion des réseaux publics

Si vous êtes gestionnaire d’un réseau d’eau ou d’assainissement constitué de canalisations enterrées, vous savez qu’il est important de les vérifier régulièrement pour détecter au plus vite d’éventuels problèmes d’étanchéité ou de raccordement. Parce que des fuites sur les canalisations peuvent avoir de lourdes conséquences financières et environnementales pour votre entreprise ou votre collectivité.

En effet, un réseau d’alimentation en eau peut vite coûter cher à cause des fuites. De la même manière, un réseau d’assainissement comportant des brèches peut représenter une menace de pollution préjudiciable pour l’environnement. Il est donc très important de pouvoir vérifier régulièrement le bon état structurel des canalisations. En cas de nouvelles installations, l’inspection vidéo permet également de valider la bonne réalisation des réseaux, en conformité avec les normes en vigueur.

Le Drone Predire : l’outil de pré-diagnostic des réseaux d’assainissement : Solution développée 100% par SARP, le Drone Predire avance en toute autonomie dans les canalisation de DN 200 à 500 sur de longues distances. Il permet de cibler efficacement les zones présentant des défauts et nécessitant une inspection par caméra plus approfondie.

Le diagnostic du réseau d’assainissement : un atout pour vendre un bien immobilier

A la vente d’un bien immobilier, le diagnostic du réseau d’assainissement est conseillé pour vous désengager de toute responsabilité et garantir la conformité du raccordement. L’organisme agréé devra vous fournir un diagnostic complet des branchements de canalisations. L’inspection par caméra par des professionnels permet de réaliser le contrôle de conformité mettant en avant les éventuelles anomalies répertoriées selon la norme NF EN 13508-2. Le rapport d’inspection est ensuite remis aux acheteurs potentiels du bien, au même titre que les diagnostics électricité et amiante, ceci afin de les informer de l’état des équipements de l’habitation.

Qu’est-ce qu’une inspection vidéo sur des canalisations souterraines ?

L’inspection télévisée se présente comme une solution très pratique puisqu’elle permet d’inspecter un réseau de canalisations enterrées sans creuser de tranchées. Adaptée à la taille de la canalisation et à une utilisation waterproof, la caméra vidéo est pilotée à l’intérieur du réseau par l’opérateur pour y déceler d’éventuels défauts.

Cette inspection vidéo permet :

Toutes les observations sont ensuite répertoriées dans un rapport d’inspection avec photos et description des anomalies. Des préconisations de travaux sont généralement fournies dans le rapport en complément des constats. Le gestionnaire peut alors prévoir toutes les opérations de maintenance utiles et mettre en place les actions correctives nécessaires à la bonne gestion du réseau.

Vous voulez en savoir plus sur notre solution d’inspection vidéo des canalisations enterrées à destination des particuliers et des professionnels ? Contactez-nous pour obtenir des informations complémentaires ou fixer un rendez-vous pour une intervention. Les équipes de SARP sont à votre disposition pour réaliser une inspection vidéo en France.

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Conseils

Tous savoir sur la neutralisation de cuve fioul

La neutralisation de votre cuve à fioul, de même que son dégazage, est nécessaire lorsque vous ne l’utilisez plus pour alimenter votre chauffage. Cette opération permet d’éviter :

De plus, si vous projetez de vendre votre bien immobilier, votre cuve à fioul doit obligatoirement être neutralisée si elle venait à ne plus être utilisée par les futurs acquéreurs. Ces derniers pourraient alors choisir d’en faire un récupérateur d’eau de pluie fonctionnel.

LES ÉTAPES DE NEUTRALISATION DE VOTRE CUVE À FIOUL

Les opérateurs et techniciens agréés de SARP réalisent un état des lieux complet avant l’intervention : emplacement de la cuve, volume à neutraliser et à dégazer, accessibilité des lieux…

Suite à cette première phase, la neutralisation totale de votre cuve à fioul se déroule en plusieurs étapes :

L’entretien d’une cuve à fioul : une opération essentielle

Régulièrement, il est important de procéder à l’entretien et au nettoyage de votre cuve à fioul. Évacuer les résidus boueux qui se forment en fond de cuve permet d’éviter des problèmes tels que:

Les différentes étapes du nettoyage d’une cuve à fioul

Les opérateurs certifiés des agences SARP interviennent en plusieurs étapes pour nettoyer votre cuve à fioul :

Suite à l’entretien, nous vous délivrons un Bordereau de Suivi Des Déchets (BSD) attestant que les résidus boueux de la cuve à fioul ont bien été pris en charge par un centre de traitement des déchets agréés.

Contactez-nous pour un devis sur-mesure !

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Conseils

Vous souhaitez vous débarrasser de votre cuve à fioul ? SARP vous présente les différentes solutions légales pour changer votre cuve et vous propose une intervention rapide quelle que soit l’option privilégiée (neutralisation, enlèvement, recyclage…).

Quelles sont les aides pour remplacer une cuve à fioul en 2021

L’Etat français a mis en place plusieurs dispositifs pour aider les particuliers à financer le remplacement de leur cuve à fioul au profit d’un mode de chauffage plus responsable :

Quelles sont les solutions légales pour se débarrasser de sa cuve à fioul ?

L’abandon de votre cuve à fioul

L’abandon d’une cuve à fioul au profit d’un système de chauffage plus écologique est réglementé en France. Si vous choisissez cette option, vous serez dans l’obligation de réaliser plusieurs opérations (encadrées par l’arrêté du 24 juillet 2004) qui permettront d’extraire toutes les matières dangereuses et polluantes de l’équipement :

A savoir, deux procédés sont autorisés par la loi pour neutraliser l’équipement :

Ces opérations doivent impérativement être réalisées par un expert agréé comme SARP. Le professionnel sera en mesure d’appliquer un protocole sécuritaire strict et, si besoin, de transporter la cuve vers un centre agréé spécialisé dans le traitement des déchets. À la fin des travaux, il vous remettra un certificat d’abandon et un bordereau de suivi des déchets.

Des professionnels formés pour changer votre cuve à fioul

Vous l’aurez compris, les experts SARP Centre Est répondent à tous vos besoins, que vous souhaitiez faire enlever votre équipement ou le neutraliser. Ils vous proposent également un service de nettoyage et d’entretien de votre cuve à fioul.

Pour réaliser ces différentes opérations, nos professionnels ont été formés spécifiquement aux risques que peuvent représenter ces interventions pour votre habitat et les personnes présentes lors de la mise en œuvre (incendie, émanation de gaz, brûlures…). Ils appliquent durant toute l’intervention des procédures strictes de sécurité et emploient du matériel et des équipements spécialement adaptés à ce type de travaux – le transport des matières est notamment effectué par véhicule ADR.

Pourquoi nous confier votre cuve à fioul ?

De nombreuses raisons peuvent vous inciter à nous confier votre cuve à fioul :

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Conseils

WC bouchés : quelles sont les causes ?

Qui n’a jamais eu un problème de toilettes bouchées ? Relativement fréquent, l’obstruction du système d’évacuation des WC peut avoir différentes causes :

WC bouchés : quelles sont les solutions ?

En cas d’évacuation difficile des eaux usées de vos WC, plusieurs solutions peuvent être envisagées pour tenter de remédier au problème :

Dans quel cas utiliser des solutions artisanales ?

Ces solutions artisanales ne doivent être privilégiées que pour déboucher les petits bouchons. En cas de problèmes plus importants, elles ne seront pas en mesure d’y remédier, ou ne seront efficaces que sur le très court terme. Ces solutions ne seront d’ailleurs efficaces que si vous avez pu identifier les raisons pour lesquelles vos toilettes sont bouchées.

Concernant les produits de débouchage vendus dans le commerce, il est indispensable de les utiliser uniquement en derniers recours, et de ne pas en abuser. Leur formule corrosive peut à terme endommager les canalisations de vos WC et s’avère particulièrement nocive pour l’environnement.

Quelle solution privilégier pour le débouchage de ses WC ?

Excepté en cas de petit bouchon causé par un objet ou du papier qui stagne dans la cuvette des toilettes, il est toujours recommandé de faire appel à une entreprise spécialisée dans le curage des canalisations des équipements sanitaires.

En effet, seul un expert possède le savoir-faire et le matériel professionnel nécessaires pour identifier la cause du problème, le régler efficacement et mettre en place des solutions capables de durer sur le long terme.

SARP, votre spécialiste du débouchage des canalisations

Notre entreprise SARP Centre-Est possède une expertise unique dans le débouchage des canalisations. Pouvant intervenir en urgence ou sur rendez-vous, nos équipes débouchent les canalisations de vos WC de manière optimale quelle que soit la cause de l’obstruction.

Pour ce faire, nos opérateurs commencent par effectuer un diagnostic. Ce diagnostic s’effectue à l’aide d’une caméra étanche qui permet non seulement de déterminer la localisation précise du bouchon, mais aussi de savoir à quoi il est dû. Une fois le diagnostic réalisé, il est bien plus facile pour nos experts de savoir pour quelle manière de débouchage opter.

Leurs deux options principales sont l’utilisation d’hydrocurage, qui est l’utilisation de jets haute-pression. Ces jets sont projetés dans la canalisation et détruisent l’obstruction rapidement.

Les professionnels du débouchage peuvent également avoir recours au furet mécanique.

Leur large gamme de véhicules hydrocureurs permet d’intervenir dans tous types de bâtiments : immeuble, maison, parking, centre commercial, usine…

Les agents SARP, experts en entretien de canalisations et fosses septiques, répondent aux exigences des particuliers et des professionnels dans les meilleurs délais. Nous pouvons intervenir 7j/7 et 24h/24 pour déboucher les canalisations de vos WC et équipements sanitaires (éviers, lavabos…) à domicile ou sur site professionnel en France.

Contactez-nous à tout moment pour une intervention en urgence ou pour prendre rendez-vous avec les équipes de l’agence la plus proche de chez vous !

En somme, les causes d’un bouchage de WC peuvent être nombreuses. La plupart du temps, il s’agit d’une inattention, comme par exemple un objet tombé dans les toilettes ou bien des produits hygiéniques. Si le bouchon est de petite taille, et peu résistant, il est facile de s’en débarrasser à l’aide d’une ventouse bien d’un mélange de produits .

Évidemment, si le bouchon résiste ou s’il est situé trop loin dans la canalisation, il est nécessaire de contacter des professionnels du débouchage, comme SARP, qui sauront réaliser un diagnostic précis et déterminer une solution optimale.

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Mais comment expliquer ces glouglous alors que l’eau s’écoule bien ? D’autant que le siphon et la bonde sont parfaitement propres ? Et surtout, que faire si vous percevez ce type de bruits anormaux dans les canalisations ? Explications et conseils pour éviter d’avoir à gérer une intervention de débouchage en urgence.

Pourquoi vos canalisations font-elles du bruits ?

Depuis quelque temps, un glougloutement s’échappe de votre lavabo ou votre évier lorsque vous ouvrez la bonde. Pire, il s’en échappe parfois de mauvaises odeurs. Interpellé par ces signes avant-coureurs, vous avez nettoyé la bonde et le siphon. Mais les gargouillis persistent… Que faut-il faire ?

Assurément, vous avez eu le bon réflexe en vérifiant vos évacuations. En cas de mauvais écoulements, vous devez toujours commencer par vérifier que les évacuations de vos équipements sont propres et non obstruées par des cheveux ou des objets bloqués en travers.

Si le glouglou persiste, c’est sans doute à cause d’un bouchon en train de se former dans la canalisation, probablement après le siphon.

En s’évacuant, l’eau arrive en effet sur un goulot d’étranglement et s’accumule progressivement au-dessus du bouchon. En s’écoulant lentement à travers le passage disponible, elle provoque une dépression de l’air bloqué entre le bouchon et le siphon.

L’air situé en dessous du bouchon est alors aspiré par la dépression et finit par remonter sous forme de bulles traversant l’eau accumulée, d’où le glouglou. Lorsque l’eau du siphon est absorbée par la dépression d’air, on obtient au contraire une remontée de mauvaises odeurs.

Si vous reconnaissez ces symptômes, il faut agir avant que la canalisation ne soit complètement obstruée. Si vous laissez le problème s’aggraver, vous risquez d’être obligé de prévoir une intervention en urgence pour déboucher la canalisation complètement obstruée.

Comment déboucher une canalisation qui glougloute

Une seule solution pour régler la situation : supprimer le bouchon. Le problème est que vous ne savez pas où se trouve l’obstruction de la canalisation. Le blocage peut être chez vous, tout comme chez un voisin si vous habitez dans un immeuble, ou encore au niveau des égouts.

Il est possible de s’occuper soi-même de l’élimination d’un bouchon dans vos canalisations. Plusieurs options s’offrent à vous :

La première est de tenter de dissoudre le bouchon à l’aide d’eau bouillante. Faites bouillir de l’eau dans un récipient puis versez la dans le drain obstrué. Une haut à très haute température peut suffire à détruire le bouchon.

Mais si le bouchon résiste, vous pouvez utiliser des produits, comme du vinaigre blanc, seul ou bien mélangé à du bicarbonate de soude afin de créer une réaction chimique permettant la dissolution du bouchon. Il est conseillé de rincer la canalisation à l’eau chaude une fois que ces produits ont agis. Ces produits ont des facultés dissolvantes et peuvent donc venir à bout de l’obstruction.

Enfin, il est possible d’utiliser des produits chimiques, comme l’acide chlorhydrique, mais cela reste déconseillé. Ces produits sont certes efficaces mais il est important de rappeler qu’ils sont extrêmement nocifs pour l’environnement, ainsi que pour vos canalisations. De plus, ils rendent les interventions professionnelles plus délicates.

Dans tous les cas, la meilleure solution est de recourir à un professionnel qui saura diagnostiquer précisément la situation, définir la zone concernée et utiliser le bon matériel afin de résoudre le problème. Pour déboucher une canalisation, SARP intervient généralement par hydrocurage, en projetant un jet d’eau à haute pression dans les canalisations.

En cas de canalisation bouchée ou partiellement encombrée, nos techniciens effectuent d’abord un diagnostic du réseau afin de définir le type de matériel à utiliser pour intervenir dans les meilleures conditions.

Contactez un professionnel pour déboucher une canalisation qui glougloute

Si vous suspectez la formation d’un bouchon dans l’une de vos canalisations, n’hésitez pas à nous contacter au plus vite. Nous pouvons intervenir à votre domicile pour un curage préventif qui vous permettra d’éviter une intervention de débouchage en urgence.

Si besoin, nous pouvons réaliser une inspection vidéo pour repérer d’éventuelles zones encombrées. Nous pouvons également convenir ensemble d’un programme d’entretien intégrant des prestations de curage préventif pour plusieurs biens immobiliers.

Sont concernés les particuliers raccordés au tout-à-l’égout ou sur une fosse septique et les professionnels de l’immobilier en charge d’immeubles collectifs ou responsables d’infrastructures d’assainissement.

Pour en savoir plus sur nos prestations de curage et débouchage des canalisations intérieures ou extérieures, contactez votre agence SARP la plus proche. En cas d’urgence débouchage, nos équipes sont mobilisées 24h/24, 7j/7.

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Conseils

L’écoulement de vos eaux usées paraît de plus en plus difficile ? De mauvaises odeurs se propagent dans votre habitation raccordée à un système d’assainissement non collectif ? Il est probable que votre fosse septique (ou votre fosse toutes eaux) soit trop remplie ! SARP vous aide à détecter les signes d’une fosse pleine et vous propose des solutions efficaces pour vidanger votre ouvrage d’assainissement.

Quels sont les signes d’une fosse septique pleine ou bouchée ?

Au cours de son utilisation, la fosse septique se remplit peu à peu d’eau et de boue. Lorsque la moitié de sa capacité est pleine, il est nécessaire de la vidanger. Plusieurs signes peuvent vous alerter sur le trop plein de votre fosse septique.

Diffusion de mauvaises odeurs

Des odeurs d’épuration qui se propagent autour de la fosse septique (généralement située dans le jardin) puis dans les différentes pièces de la maison sont très souvent le signe d’une fosse pleine (ou bouchée). Il est par ailleurs important de vérifier le niveau du système d’assainissement dès que les mauvaises odeurs apparaissent afin d’éviter un éventuel dégât des eaux.

Canalisations bouchées

Les équipements sanitaires de votre logement (WC, douche, lavabo, évier…) ont du mal à évacuer les eaux usées ? L’écoulement est lent ou presque inexistant dans la plupart de vos équipements ? Vous constatez un refoulement des eaux ? Ces symptômes sont généralement annonciateurs d’une fosse septique pleine ou d’un bouchon dans les canalisations.

La pelouse du jardin est trop verdoyante

Une fosse septique (ou une fosse toutes eaux) qui n’a pas été vidangée peut fuir peu à peu. Si la fosse est recouverte par du gazon, la fuite ne sera pas nécessairement visible, mais vous pourrez remarquer, dans certains cas, que la pelouse située autour de la fosse est particulièrement verdoyante.   

Comment vérifier soi-même le niveau de la fosse septique ?

Vous avez constaté un ou plusieurs de ces symptômes ? Vous devez vérifier dans les plus brefs délais le niveau de boue de votre système d’assainissement individuel. L’opération peut être réalisée par vous-même à condition de respecter quelques règles de sécurité.

Que faut-il faire lorsque la fosse septique (ou toutes eaux) est pleine ?

Dès que la superficie de la fosse est remplie à plus de 50 %, vous devez impérativement contacter un professionnel pour faire vidanger votre équipement. La vidange de la cuve va permettre à votre ouvrage d’assainissement de retrouver un fonctionnement optimal et vous évitera de nombreux désagréments. 

Les professionnels SARP peuvent intervenir chez vous en urgence pour vidanger votre fosse septique. Spécialistes de l’assainissement, nos opérateurs mettront en place la solution la plus sécurisée pour votre environnement et procéderont au pompage des eaux et boues présentes dans votre système non raccordé au tout-à-l’égout. Ils se chargeront également, selon la situation, de curer vos canalisations, de nettoyer l’installation et de la remettre en parfait état de fonctionnement. Demandez-nous dès maintenant un devis gratuit pour la vidange de votre fosse septique ou fosse toutes eaux !

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Conseils

Qu’est-ce qu’une cuve à fioul ?

Les cuves à fioul font partie des modes de chauffage courant dans les foyers.

De forme et de volume divers, la cuve à fioul est un espace de stockage dédié à garder le carburant en réserve pour son utilisation par le biais d’une chaudière. Cette dernière va donc brûler le fioul afin de le redistribuer dans le circuit de chauffage.

Elles peuvent se présenter sous deux formes : soit aériennes (hors sol), soit enterrées.

Les cuves à fioul aériennes, cylindrique ou rectangulaires, sont typiquement installées dans des locaux dédiés en sous-sol ou garage à proximité de la chaudière, et entourées d’un mur de rétention.

Les cuves à fioul enterrées quant à elles, sont généralement enfouies dans les parties extérieures, et elles sont accessibles par le biais d’un regard, mais seulement  au niveau du plateau trou d’homme (plateau boulonné comprenant la tuyauterie qui permet la livraison de fioul, ainsi que l’extraction vers la chaudière).

Leur volume peut varier de 1000 L à plus de 10000 L pour des cuves à fioul chauffant de grands espaces.

Les cuves à fioul possèdent un système de jaugeage vous permettant d’estimer le volume restant de carburant.

Qu’est ce que l’enlèvement et la découpe de cuve à fioul ?

Vous pouvez être amené à décider de vous séparer de votre bonne vieille cuve à fioul. La découpe et l’enlèvement n’est valable que lorsqu’elle est aérienne, car la solution consiste à directement la découper et à l’enlever.  (sinon, pour les cuves enterrées, voir l’article sur la neutralisation de cuves enterrées)

Cette opération  doit impérativement être faite par un professionnel qui enlèvera et découpera votre cuve à fioul en toute sécurité, et ne vous avisez pas de vouloir tenter l’opération vous-même, car vous risquez de voir exploser le réservoir.

La découpe et l’enlèvement de votre cuve à fioul pourra ainsi être faite avec le prestataire  dans les règles de sécurité (le fioul est un liquide dangereux inflammable) et dans le respect de l’environnement, en s’occupant du traitement des effluents dans des installations spécialisées.

La découpe et l’enlèvement de votre cuve à fioul a pour but de libérer un espace occupé par votre cuve à fioul aérienne :

Il peut arriver que, sur de petites cuves à fioul accessibles, l’on puisse directement l’enlever sans la découper en la dégazant seulement, si son poids et les dimensions le permettent.

Dans le cadre d’un changement de cuve à fioul, nous pouvons stocker votre fioul noble restant afin de l’injecter dans votre nouvelle cuve.

Pourquoi effectuer l’enlèvement et une découpe de cuve à fioul ?

On peut se demander dans quel cas on peut être amené à découper ou évacuer sa cuve.

C’est tout d’abord  très généralement dans le cadre d’un changement de mode de chauffage : passage au gaz, au chauffage par granulé, … En effet, votre cuve à fioul n’a alors plus d’utilité, car votre carburant de chauffage n’est plus le fioul.

Vous vous retrouvez alors avec un espace occupé par votre cuve à fioul qui n’est plus utilisée ; et lorsqu’il s’agit d’une cuve à fioul de 3000 L, cela peut représenter une pièce entière qui est occupée.

Il est aussi possible que vous souhaitiez changer de cuve à fioul, afin d’en avoir une plus adaptée en terme de volume, ou plus récente en double peau.

Peut-être même que vous avez une vieille cuve à fioul que vous n’utilisez plus depuis longtemps, et qui traîne dans votre jardin ou votre garage ?

C’est donc dans ces moments là qu’intervient la découpe et l’évacuation de votre cuve à fioul.

Il est à noter que la découpe et l’évacuation de votre cuve à fioul est obligatoire à partir du moment où elle n’est plus en service :

Extrait de l’arrêté du 1er juillet 2004 fixant les règles techniques et de sécurité applicables au stockage de produits pétroliers, Article 28 :

Tout abandon (définitif ou provisoire) d’un réservoir doit faire l’objet de dispositions conduisant à éviter tout risque de formation de vapeurs :

– vidange, dégazage et nettoyage ;

– comblement du réservoir (le produit utilisé pour la neutralisation doit recouvrir toute la surface de la paroi interne du réservoir) ;

– ou retrait de celui-ci.

Ainsi, dans le cadre du retrait de la cuve, c’est la qu’on procède à la découpe pour les cuves à fioul aériennes.

Les bons réflexes à avoir

Concernant la découpe de votre cuve à fioul, afin de faciliter le travail de découpe et d’évacuation, quelques gestes simples :

Important : il est courant que les gens se demandent si une ancienne cuve à fioul peut servir de réservoir d’eau de pluie directement. La réponse est simple : non ! Le seul moyen pour pouvoir réhabiliter une cuve à fioul en tant que réservoir d’eau de pluie est de procéder à son dégazage puis à procéder à une projection de résine pour créer une nouvelle paroi.

Vous souhaitez enlever votre cuve ?

Contactez-nous pour faire votre demande de devis gratuit.

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QUELLES SONT LES CAUSES D’UN ÉVIER BOUCHÉ ?

L’obstruction de l’évier de la cuisine est un problème relativement fréquent. Plusieurs causes peuvent expliquer ce dysfonctionnement :

QUELLES SONT LES SOLUTIONS À ENVISAGER POUR DÉBOUCHER UN ÉVIER ?

Lorsque vous constatez que votre évier est bouché, vous avez spontanément envie de réparer vous-même votre équipement. Plusieurs solutions artisanales peuvent en effet être mises en place pour essayer de déboucher l’évier par soi-même.

1 – Démonter le siphon de l’évier

En cas de petit bouchon formé par des résidus d’aliments, il est possible d’intervenir en opérant au niveau du siphon de l’évier (le dispositif situé sous l’évier entre la canalisation et la bonde). Pour ce faire, il convient de dévisser le bouchon du siphon à l’aide d’une clé à molette ou manuellement pour certains modèles. Attention à placer sous le siphon une bassine afin de récupérer l’eau stagnante.

A noter : selon l’installation, vous pouvez démonter entièrement le siphon, le rincer puis le réinstaller, ou dévisser le bouchon et tenter de nettoyer le siphon avec un furet.

2 – Déboucher l’évier avec une ventouse

Vous pouvez essayer de déboucher votre évier en utilisant une ventouse. Bien qu’économique et facile à mettre en œuvre, cette solution ne conviendra qu’en cas de très petits bouchons

3 – Utiliser des produits écologiques

Afin de se débarrasser de bouchons dans les canalisations il vous est possible d’utiliser des produits naturels, comme du vinaigre blanc. Ce produit a des facultés dissolvantes, permettant de désintégrer le bouchon. Il vous suffit de verser du vinaigre blanc dans le drain obstrué. Après avoir laissé agir pendant 30 minutes, rincez abondamment à l’eau bouillante.

Vous pouvez également combiner le vinaigre blanc au bicarbonate de soude. En effet, avant de verser une demi tasse de vinaigre blanc dans le drain, versez une même quantité de bicarbonate de soude. Le mélange de ces deux produits va entraîner une réaction chimique, formant une mousse chaude. Cette mousse permet de dissoudre le bouchon facilement.

4 – Utiliser un produit chimique

Il est souvent tentant d’utiliser un produit chimique « spécial canalisation » pour déboucher son évier de cuisine. Attention toutefois : si ces produits peuvent parfois résoudre le problème, il convient de ne pas en abuser. En effet, leur formule est particulièrement corrosive et peut endommager fortement vos équipements sanitaires. De plus, ces produits s’avèrent très néfastes pour l’environnement.

POURQUOI EST-IL PRÉFÉRABLE DE FAIRE APPEL À UN PROFESSIONNEL ?

Bien que plusieurs solutions artisanales existent, il n’est pas recommandé de tenter de déboucher soi-même son évier. Ces solutions, pouvant parfois être utilisées pour un dépannage, s’avèrent souvent inefficaces et ne permettent pas de résoudre le problème sur le long terme. En effet, les problèmes d’obstruction risquent donc de recommencer rapidement. De plus, les solutions artisanales peuvent contribuer à empirer la situation dans certains cas.

Faites déboucher votre évier par nos professionnels

Faire appel à un professionnel spécialisé dans le débouchage des équipements sanitaires et des canalisations est la solution à privilégier. Seul un expert sera en mesure d’identifier la cause du problème et possédera le savoir-faire et le matériel nécessaires pour mettre définitivement fin au problème.

Spécialistes renommés, les professionnels SARP vous proposent leur service de débouchage 24h/24 et 7j/7 quelle que soit la problématique. Nous intervenons chez vous (ou dans vos locaux professionnels) dans toute la France. Envoyez-nous une demande de devis en ligne ou
contactez-nous dès maintenant pour une intervention en urgence !

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Les rats peuvent vite nous faire vivre un enfer. Amateurs de températures clémentes et de nourriture facile à trouver, les rats et les souris sont de plus en plus nombreux, notamment dans les grandes villes.

Comment trouver les rats ?

Quels que soient les signes, en cas de doute, il est important de chercher à localiser l’origine de l’invasion. Elle peut provenir soit de l’intérieur, si les rats ont élu domicile chez vous (souvent le cas en maison), soit de l’extérieur (souvent le cas en appartement). Les rats installent leurs nids dans des endroits chauds et protégés. Inspectez vos caves, vos greniers, ou encore vos étagères de jardin.

Si vous n’en trouvez pas, il est important d’essayer de localiser les endroits où les souris semblent circuler et de chercher les voies d’accès éventuelles (trous, espaces, cavités, etc.).

Comment éradiquer les rats ?

Une fois l’origine de l’invasion détectée, il est possible de se prémunir de la présence des rats en :

Pourquoi faire appel aux services d’un professionnel en dératisation ?

Éradiquer les rats durablement n’est cependant pas si simple. Il convient de bien connaître leurs comportements et savoir reconnaître les signes de leurs habitudes. Potentiellement dangereux, les produits de dératisation utilisés par les professionnels ne sont pas disponibles dans les commerces publics et proposent une efficacité supérieure. Une prestation de dératisation professionnelle, c’est :

Une infection de rats peut vite devenir gênante au quotidien et présenter des risques sanitaires. Pour les professionnels, ce risque peut impacter directement et négativement l’image de l’entreprise ainsi que son chiffre d’affaires. Savoir quels produits utiliser, les manier sans risque et avec précision est un réel métier.

Si vous êtes victimes d’une invasion de rats, n’hésitez pas à faire appel au plus vite à nos services de dératisation professionnels pour éviter que l’invasion ne dégénère.

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Qu’est-ce qu’une cuve à fioul ou une cuve à fuel ?

Une cuve à fioul ou à fuel est une installation qui permet de stocker une grande quantité de carburant. Ce carburant vous servira pour chauffer votre maison, vos dépendances, etc. Une cuve à fioul ou cuve à fuel (identique), est une cuve qui est généralement faite d’acier. Lorsque c’est une cuve aérienne ou une cuve que l’on retrouvera dans des sous-sols ou cave. Certaines cuve à fioul sont en plastique mais cela concernera un autre sujet.

En effet c’est uniquement lorsque votre cuve à fioul est en métal que vous pourrez procéder à un enlèvement de cuve à fioul. Vous pourrez alors passer par un découpage. Avec les évolutions énergétiques, de plus en plus de cuve à fioul sont amenées à être enlevées et découpées. Une cuve à fioul en métal va également se détériorer avec le temps. Malgré sa robustesse, il faudra aussi penser à vérifier régulièrement son état général.

Comment enlever sa cuve à fioulse débarrasser de sa cuve à fioul ou découper sa cuve à fioul ?

Pour faire un enlèvement de cuve à fioul il n’y a pas des centaines de possibilités. En effet seul un professionnel sera le plus qualifié pour ce genre de prestation. Vous devez avant toute chose savoir qu’une cuve à fioul, même vidée et dégazée peut toujours générer des gaz. Elle peut donc par la même occasion occasionner des risques d’explosion en cas d’étincelle. Vous devez être extrêmement vigilants quant à cette évolution dans le temps. De tristes événements sont malheureusement régulièrement relayés dans la presse. Certaines personnes ayant voulu découper eux-mêmes leur cuve à fioul à l’aide d’instruments de découpe inadaptés.

Faire appel à un professionnel pour enlever votre cuve à fioul et se débarrasser de votre cuve à fioul est essentiel. Vous devez toujours penser aux risques, mêmes mineurs dans certains cas qui pourraient subvenir. Un dégazage sur le moment et une découpe de cuve à fioul doivent être faits en suivant. Dans le même temps si vous souhaitez faire les choses dans les règles de l’art et ne prendre aucun risque.

Pourquoi effectuer l’enlèvement de cuve à fioul et/ou la découpe de cuve à fioul ?

Lorsque vous avez décidé de changer de moyen de chauffe, rien ne sert de conserver l’ancien matériel. Une ancienne installation ne doit pas être conservée sans raison apparente. Supprimer votre ancienne cuve à fioulse débarrasser de son ancienne cuve à fioul peut paraître une opération un peu coûteuse. Elle peut parfois être compliquée selon l’installation. Elle est néanmoins essentielle pour ne plus prendre aucun risque quant aux dangers qu’elle pourrait générer. Vider sa cuve à fiouldégazer sa cuve à fioul, procéder à la découpe de sa cuve à fioul et à l’enlèvement de sa cuve à fioul.

Les bons réflexes à avoir

Vous devez toujours faire appel à un professionnel et ne jamais vous improviser spécialiste de la découpe de cuve à fioul.

Vous souhaitez faire l’enlèvement ou la découpe de votre cuve à fioul ?

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Barbara Pompili, ministre de la transition écologique, a annoncé en juillet dernier la fin des chaudières à fioul à horizon 2022. Cela signifie qu’à partir du 1er janvier 2022 il ne sera ni possible d’installer une nouvelle chaudière à fioul dans un logement, ni de remplacer une ancienne chaudière à fioul.

Leur impact écologique important et leur coût croissant pour les ménages auront eu raison d’elles. Face à l’arrêt de ce type de chauffage, de nombreuses autres options existent heureusement. Pour faciliter aux ménages la transition vers ces autres types de chauffage, le gouvernement propose déjà plusieurs aides et va bientôt en faciliter certaines comme MaPrimeRemov par exemple. Quelles sont ces alternatives aux chaudières à fioul et comment décommissionner son ancienne cuve à fioul ? Quelles sont les aides à la transition disponibles ?

Quelles sont les alternatives au chauffage au fioul ?

Le fioul est généralement apprécié pour son coût à l’installation accessible. Parmi les autres solutions de chauffage, seul le gaz présente un intérêt similaire. L’installation d’une chaudière au gaz peut être peu coûteuse et le coût du gaz varie peu.

Si vous êtes raccordés au gaz et éligible à ce type de chauffage est sans aucun doute le plus abordable. Dans le cas contraire, il est possible d’installer une chaudière biomasse. Celle-ci fonctionne par la combustion de matières organiques, comme le bois. Si son coût est plus élevé que l’installation d’une chaudière au gaz, elle peut s’avérer peu coûteuse à l’utilisation selon le combustible choisi.

La dernière alternative, la pompe à chaleur, fonctionne avec peu d’électricité. Elle capte l’énergie présente dans l’air, le sol et l’eau et la restitue en chaleur. C’est un système innovant et peu polluant mais qui demande un investissement initial conséquent.

Que faire de sa chaudière à fioul pour changer ?

Quel que soit le chauffage choisi pour remplacer sa chaudière, il sera nécessaire d’intervenir sur l’ancienne cuve à fioul. Le fioul étant un matériau inflammable et dangereux, il ne peut être laissé à l’abandon.

Il en est de même pour la cuve, dans laquelle restent incrustés des restes de fioul même si elle est vide. Ces restes sont de trois types : du fioul peut encore être présent dans la cuve, des résidus peuvent être incrustés sur la cuve et enfin les gaz de fioul peuvent également être en suspension dans la cuve.

Pour changer de mode de chauffage, il faut donc vidanger, nettoyer et dégazer la cuve. La vidange d’une cuve à fioul consiste simplement à pomper le liquide encore présent. La cuve vidée est ensuite nettoyée avec un jet d’eau puissant pour assurer l’absence totale et définitive de dépôts.

Et enfin, les vapeurs sont aspirées pour dégazer la cuve à fioul. Ces opérations sont à réaliser pour neutraliser la chaudière et à effectuer en amont, ou en parallèle, de l’installation d’un autre type de chauffage. Vous pouvez également procéder à l’enlèvement (ou dépose) de votre ancienne cuve à fioul. Une fois neutralisée, celle-ci sera alors retirée définitivement et évacuée vers un centre de déchets.

Quelles sont les aides existantes pour remplacer sa chaudière à fioul ?

Il existe plusieurs aides qui peuvent se cumuler pour vous aider dans cette transition. La première, citée par la ministre à l’occasion de cette annonce, est Maprimrenov. Récemment rendue plus accessible, elle offre jusqu’à 20.000€ d’aide, selon la performance énergétique obtenue lors de la transition et finance également la dépose de votre ancienne cuve à fioul.

Et enfin, il existe la prime à la conversion des chaudière, ouverte à tous les français et cumulable également avec les autres aides. Celle-ci propose entre 2.000 et 3.000€ d’aide selon les revenus du ménage.

Vous souhaitez franchir le pas et anticiper la fin des chaudières à fioul ? Les experts SARP vous aident à neutraliser ou à déposer votre ancienne cuve à fioul pour vous permettre la transition. N’hésitez pas à nous contacter pour obtenir un devis ainsi qu’un conseil adapté.

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Votre dernière facture d’eau vous a alerté et vous redoutez qu’il y ait une fuite d’eau dans la maison ? Il existe quelques astuces pour s’en assurer. Nous vous expliquons : Comment savoir s’il y a une fuite d’eau chez vous Comment la débusquer pour éviter de rallonger la facture !

Comment savoir s’il y a une fuite d’eau à la maison ?

Plusieurs indices peuvent confirmer la présence d’une fuite d’eau. Le plus évident, et souvent le premier indice, c’est la facture. Si vous remarquez une hausse importante de votre consommation, il vaut mieux faire quelques tests.

Le problème peut venir d’une chasse d’eau qui coule, d’un robinet qui fait du goutte-à-goutte, d’une fuite d’eau dans les canalisations, dans les murs, sous terre, avant ou après compteur… Faisons le point pour essayer d’en trouver la cause.

Comment trouver une fuite d’eau dans la maison ?

D’abord, faites le tour de la maison pour vérifier tous les appareils qui consomment de l’eau :

Les robinets sont-ils bien fermés ? Entendez-vous un bruit d’écoulement ou un sifflement ? Les joints sont-ils étanches ? Passez un morceau de papier absorbant sur les tuyaux. S’il est mouillé, c’est que vous avez une fuite.

Si vous n’avez rien trouvé, la fuite se situe peut-être dans un endroit plus difficile d’accès, dans les murs ou sous le sol. Observez les murs et les plafonds. Des taches d’humidité localisées sont souvent des indices. Plus la couleur de la tache est marquée, plus la fuite est importante. Vous allez peut-être constater que le bois ou l’enduit se gondole ou s’effrite.

Dans une situation de ce genre, il faut immédiatement appeler une entreprise spécialisée. Celle-ci dispose du matériel et de l’expérience adaptée pour régler le problème. Ils savent par exemple comment détecter une fuite d’eau sous terre et résoudre les problèmes de fuites qui vous paraissent insolubles !

Qu’est-ce qu’une fuite d’eau avant ou après compteur ?

D’un point de vue pratique, il est très important de savoir si la fuite d’eau se situe avant compteur (en dehors de votre propriété) ou après compteur (sur votre domaine privé).

En effet, si le problème concerne les canalisations avant compteur, vous n’êtes pas responsable. C’est le service d’eau potable qui doit s’en occuper.

En revanche, si la fuite se trouve après compteur, c’est à vous de vous en charger. Et il vaut mieux réagir rapidement avant que la facture ne grossisse !

SARP est spécialisée dans la détection et la réparation de fuites d’eau chez les particuliers.. Contactez-nous pour une intervention en urgence !

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Vous avez ramené des punaises de lit dans votre valise au retour d’un voyage ? Des rongeurs courent dans vos murs pendant la nuit ? Des fourmis ont installé un parcours de ravitaillement entre le buffet de votre cuisine et votre salle de bain ? Quel que soit le type de nuisible auquel vous faites face, il y a une solution. C’est le service 3D, pour Désinfection, Désinsectisation et Dératisation. Spécialisée dans la lutte contre la vermine en France la SARP vous explique en quoi consistent les 3D.

Les 3D : en quoi ça consiste ?

Le terme « 3D » est un acronyme pour Désinfection – Désinsectisation – Dératisation.

La prestation 3D est un service de lutte contre les animaux et les insectes considérés comme des nuisibles lorsqu’ils prolifèrent dans votre maison ou votre jardin. Ce service est apporté de manière raisonnée, dans le respect des contraintes réglementaires liées à la préservation de l’environnement et de la santé.

Le traitement proposé par SARP Méditerranée est à la fois curatif et préventif. Les effets sont durables, d’autant plus que nous vous donnons des conseils pour éviter toute nouvelle invasion.

Il s’adresse aussi bien aux particuliers qu’aux collectivités.

Les différentes sortes d’infestation de nuisibles

SARP intervient pour endiguer la prolifération de différents types de nuisibles :

Les étapes du service 3D

SARP est une entreprise 3D de désinsectisation, désinfection et dératisation en France. Contactez-nous si vous faites face à un problème d’infestation insoluble.

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Une bonne gestion des eaux pluviales et usées est essentielle pour limiter les risques d’inondation et la pollution des eaux de surface, mais aussi préserver nos ressources en eau. Il s’agit donc d’un véritable enjeu au niveau environnemental. Pour éviter aux réseaux d’assainissement d’être saturés, les eaux de pluie doivent aujourd’hui être gérées sur la parcelle. Explications.

L’évacuation des eaux pluviales vers les égouts : en dernier recours

Les eaux pluviales sont issues des surfaces imperméabilisées. La plupart du temps, elles ruissellent sur les toitures avant de transiter par une citerne d’eau de pluie ou de rejoindre le sol. Pendant de nombreuses années, les eaux pluviales étaient dirigées vers les égouts de manière systématique. Une pratique qui avait des conséquences néfastes puisqu’elles entrainaient, notamment, un débordement des égouts en cas de fortes précipitations. À l’heure actuelle, les eaux pluviales sont gérées par des dispositifs spécifiques pouvant être combinés. Le rejet à l’égout constitue la dernière option.

Les dispositifs de gestion des eaux pluviales

Voici quelques-uns des dispositifs pouvant être mis en place pour une bonne gestion des eaux pluviales sur une parcelle.

La noue

La noue est une dépression peu profonde créée au niveau du sol. Lors de fortes précipitations, elle permet le stockage et l’écoulement des eaux de pluie. Facile à mettre en place et peu onéreuse, cette tranchée d’environ 60 cm de profondeur peut être réalisée en limite de propriété. Pour favoriser l’infiltration des eaux de pluie, creusez à proximité d’une haie.

Les revêtements perméables

Pour favoriser l’infiltration des eaux pluviales vers le sol tout en gardant votre parcelle au sec, réalisez un revêtement perméable. Pour ce faire, vous devrez utiliser des matériaux poreux. S’il s’agit d’une allée piétonne, vous pouvez opter pour des graviers. Pour supporter le poids d’un véhicule, préférez un dallage en béton à résine drainante.

La cuve en béton ou en PVC

L’infiltration est impossible sur votre parcelle ? Le recours à une cuve de stockage des eaux est une bonne alternative. Ce dispositif collecte les eaux, ayant pour effet de ralentir leur débit avant leur évacuation vers le réseau communal, un cours d’eau ou la chaussée. Enterrée à une profondeur d’environ 1,5 m, cette cuve doit être placée au niveau d’une pente pour accueillir les eaux ruisselant sur la parcelle.

Les toitures stockantes

Ces toitures sont recouvertes d’un substrat (végétaux ou gravier ) qui réduit le débit des eaux pluviales et en retient une partie, évacuées par évaporation. Ce dispositif est idéal en cas de toit plat. Le choix de l’un ou l’autre substrat dépend de contraintes techniques (durée d’exposition au soleil, stabilité du bâtiment…) et esthétiques (intégration paysagère, souhait d’accessibilité au toit ou non…).

Renseignez-vous auprès de votre mairie pour connaître les exigences dans votre commune en termes de gestion des eaux pluviales. Ces aménagements doivent être entretenus régulièrement. Spécialiste de l’assainissement, SARP utilise des techniques adaptées pour garantir la collecte des eaux usées et pluviales dans les canalisations, ainsi que leur épuration avant rejet dans le milieu naturel.

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Vous avez probablement déjà entendu parler des pompes de relevage ou d’évacuation. Lorsqu’un terrain est en relief, il n’est pas rare de découvrir que le réseau d’assainissement n’est pas – ou ne peut pas être – au même niveau que le dispositif de traitement des eaux.

De même, lorsque le terrain est en relief, il n’est pas rare de subir des inondations en cas d’intempéries. Ces deux cas de figure sont ceux dans lesquels ces pompes toutes eaux sont d’un secours précieux. Mais que sont ces pompes de relevage ou d’évacuation, et comment les mettre à profit ?

Qu’est-ce qu’une pompe de relevage, ou une pompe d’évacuation ?

Une pompe de relevage, aussi appelée station de relevage, est un appareil qui contient un réservoir à l’intérieur duquel se trouve une pompe. Cette pompe est de puissance variable et généralement proportionnelle à la taille du réservoir, de façon à générer une puissance hydraulique suffisante. Ce réservoir dispose d’une entrée basse et d’une sortie haute. Les eaux de tous types (eaux claires, eaux usées, …) sont amenées en entrée de l’appareil à l’aide d’une turbine électrique. La pompe hydraulique s’active ensuite pour pousser et relever l’eau vers le tuyau de refoulement en sortie de station.

Lorsque ce dispositif est utilisé pour simplement rehausser un circuit d’eau, on parle souvent de pompe de relevage. Lorsqu’elle est mise en place pour permettre de vider un local suite à une inondation, on parle de pompe d’évacuation. Il s’agit d’un seul et même système, permettant deux usages distincts.

Quand et pourquoi mettre en place une pompe à eau ?

On installe donc ce genre de pompe dans leur fonction de relevage lorsque le réseau des eaux usées se situe à un niveau inférieur à celui du réseau d’assainissement. Lorsque tel est le cas, les eaux usées ou traitées ne peuvent pas simplement s’écouler par gravité et l’action d’une pompe de relevage est de rigueur.

On installe de genre de pompe dans leur fonction d’évacuation lors d’inondations ou à l’intérieur de bassins devant régulièrement être vidés. C’est une option qui peut être parfois bien plus intéressante qu’un système d’évacuation plus complexe, car un simple relevage permet parfois de laisser ensuite la gravité faire son travail.

À quel endroit installer une pompe de relevage ?

Il est généralement recommandé de placer la pompe après la fosse et avant le dispositif de traitement. Cette configuration permet d’utiliser la pompe pour relever les eaux à leur stade pré-traité. Il est également courant de voir des pompes de relevage situées en aval du dispositif de traitement pour relever les eaux traitées.

Ces deux options sont à privilégier car elles permettent d’utiliser la pompe pour utiliser des eaux relativement claires. Une pompe peut également être positionnée en amont de la fosse, où elle relèvera des eaux brutes et non traitées dans le cas où la fosse est au-dessus du niveau du réseau d’assainissement. Si cette utilisation est possible et parfois nécessaire, elle demandera naturellement un entretien plus fréquent.

Si vous disposez d’une pompe de relevage toutes eaux, il est nécessaire de régulièrement en prendre soin pour éviter qu’elle ne se bouche. Son entretien est aussi précieux que le rôle qu’elle joue. N’hésitez pas à faire appel à nos experts pour la maintenance de votre pompe de relevage.

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Une vidange tous les 4 ans ?

En moyenne, il est recommandé de faire vidanger sa fosse septique tous les 4 ou 5 ans. Mais ce n’est qu’une estimation : il faut tenir compte du nombre d’occupants et du volume même de la fosse septique. Une petite fosse septique devrait être révisée tous les 2 ans.

Comment protéger vos locaux professionnels ?

Si votre installation dégage une mauvaise odeur (par effluves ou de manière constante un peu partout dans la maison) ou qu’il y a des remontée d’eaux usées (via la baignoire, les toilettes, la douche, l’évier et/ou les lavabos), c’est que votre fosse septique a besoin d’une vidange. Les obstructions font souvent un bruit anormal : c’est le signe que l’eau s’écoule mal dans les conduits.

Pour aller plus loin dans la vérification, vous pouvez plonger un long bâton dans la fosse : vous allez sentir une résistance en atteignant la boue. Si le niveau de boue dépasse la moitié du volume total de la fosse, c’est qu’il est temps de faire vidanger (à noter aussi que la fosse peut déborder à cause d’un bouchon, alors que le niveau de boue n’est pas très élevé).


Les clés d’un bon entretien de sa fosse septique

Sans un entretien régulier, le risque de dégât augmente et les coûts de réparation avec. Mais tenter de déboucher soi-même une fosse n’est pas conseillé pour plusieurs raisons :

Quel prix pour vidange fosse septique ?

Il est impossible de donner un prix précis, car le montant dépend de plusieurs paramètres. Selon les cas, la vidange pourra coûter entre 230 et 430 euros. Vous pouvez estimer le coût et commander votre vidange de fosse grâce à notre outil de calcul en ligne.

Selon le décret n°87-712 du 26 août 1987, la vidange de fosse septique incombe au locataire et non au propriétaire. En revanche, le curage – qui est une opération différente qui consiste à éliminer le tartre et les déchets dans les canalisations – doit être payé par le propriétaire (sauf clause contraire).

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Les collectivités et les entreprises sont tenues de veiller à la bonne hygiène de leurs établissements. C’est pourquoi SARP propose son expertise aux professionnels pour les débarrasser discrètement et efficacement des nuisibles.

Quels sont les risques liés aux nuisibles pour vos locaux ?

Les rats, les cafards et les insectes nuisibles sont des transmetteurs de maladies. Les insectes et les animaux sont souvent responsables de la prolifération de bactéries et de germes potentiellement infectieux pour l’homme. En tant qu’entreprise, cela peut avoir des conséquences catastrophiques sur la santé de vos employés et de vos clients. Sans compter qu’il est obligatoire de dératiser et désinsectiser vos locaux professionnels en cas de doute.

L’invasion par des parasites et ou des rats s’accompagne également de multiples dégradations. Stocks de nourriture abîmés, surfaces souillées, odeurs désagréables, excréments visibles … Ces dégradations peuvent durablement ternir votre image de marque et abîmer vos locaux. Alors, n’attendez pas avant d’agir et faites appel à une entreprise spécialisée en décontamination et désinfection.

Comment protéger vos locaux professionnels ?

Une fois installés, les insectes et les rats sont difficiles à déloger. C’est pourquoi il est primordial de faire appel à des spécialistes. Mais avant de traiter, il est également important de prévenir l’apparition d’insectes, de rampants et de rats. Avec quelques gestes et méthodes simples, vous pouvez protéger vos usines, vos bureaux ou vos locaux.

Les nuisibles envahissants sont souvent attirés par des locaux mal entretenus et une mauvaise conservation des aliments. En mesure de prévention, pensez à confier l’assainissement de vos locaux à SARP. Nos équipes vous feront profiter de leur expertise pour prévenir l’apparition de rongeurs, blattes, fourmis, punaises et acariens…

Les meilleures méthodes pour vous débarrasser définitivement des nuisibles

Si vos locaux sont infectés, comment faire pour lutter rapidement contre les nuisibles ? N’attendez pas et faites rapidement appel à une entreprise experte en dératisation, désinsectisation et désinfection, telle que SARP.

Notre expertise nous permet d’intervenir rapidement pour traiter efficacement vos locaux d’entreprise et endiguer l’invasion de nuisibles. Nos équipes sauront trouver les solutions adaptées à vos besoins et mettre en place la méthode de traitement idéale.

Notre intervention en 3 étapes : Diagnostic et détection, destruction des nuisibles et prévention de la prolifération, nous permet de vous garantir des résultats durables. Nous disposons de moyens technologiques et d’une grande expertise permettant de détruire et de prévenir la prolifération de nuisibles. Notre intervention discrète vous permettra de vous débarrasser rapidement et définitivement des rats, des insectes et des parasites.

Vous avez un doute ou vous êtes victime d’une invasion de nuisibles ? Contactez-nous pour que l’agence la plus proche de chez vous puisse vous venir en aide et vous proposer la solution adaptée à vos besoins.

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Il existe des situations dans lesquelles il vaut mieux changer votre fosse septique : non-conformité, vétusté, ou juste pour adapter un système plus performant. Êtes-vous dans ce cas ? Dans cet article, SARP, leader français de l’assainissement, vous explique pourquoi changer de fosse septique.

Parce que votre fosse septique est non conforme

Vous avez fait l’objet d’un contrôle du SPANC et votre système a été diagnostiqué non conforme. Vous avez donc désormais l’obligation de changer la fosse septique.

Les travaux peuvent concerner la fosse en elle-même, ou seulement son accessibilité ou son entretien. Le SPANC va tout vous détailler, en listant les priorités.

Cette première raison est la plus contraignante. Le montant de l’amende en cas de fosse septique non conforme est égal au minimum à la redevance due au SPANC. Elle peut être majorée par la commune.

Il est important de réaliser ces travaux, car le SPANC réalisera une contre-visite pour vérifier que ces observations ont bien été prises en compte. Par ailleurs, la non-conformité du système peut provoquer une pollution de l’eau. Les amendes grimpent alors jusqu’à 75 000 € et s’accompagnent d’une peine de prison maximale de deux ans.

Parce que votre fosse toutes-eaux est trop vieille

Quelle est la durée de vie d’une fosse septique ? Selon les matériaux, le choix du filtrage, la qualité de l’installation, celle-ci varie entre 10 et 25 ans, parfois plus. Le béton est plus durable que le plastique, même si, entre-deux, il faut changer certains éléments comme la pompe, les filtres, les raccords, etc. Une cuve en béton dure au moins 20 ans si elle est bien ventilée et si vous l’entretenez et la vidangez régulièrement.

Si votre vieille fosse septique en béton ou en plastique arrive en fin de vie, c’est donc le moment de la changer… et pourquoi ne pas en profiter pour adopter un système plus adapté ?

Pour profiter d’un système plus durable d’assainissement autonome

Vous pouvez décider de changer la fosse toutes-eaux simplement pour adopter un système plus durable, plus performant et/ou plus écologique.

Vous pouvez par exemple opter pour le filtre compact, le filtre à sable, le tertre d’infiltration, l’épandage souterrain… Chacun de ces systèmes a ses avantages selon la nature du sol, la dimension du terrain, etc.

Dans ce cas, vous n’avez pas forcément besoin de changer de cuve. Dans certains cas, si la vôtre est encore en bon état,il suffit de changer le système de filtre de la fosse septique.

Vous pouvez aussi envisager un remplacement total de système, par exemple le remplacement de la fosse septique par une micro-station. Attention, ce choix est soumis à l’agrément des pouvoirs publics. Vous devez justifier d’un manque de place ou d’accessibilité pour installer un système plus traditionnel.

Changez votre fosse septique avec un professionnel : l’accompagnement SARP

SARP vous accompagne dans votre projet d’installation et de mise aux normes. Nous intervenons aussi bien au niveau des travaux de terrassement que pour la maçonnerie et la pose de la plomberie (fosses toutes-eaux, microstations, etc.).

Contactez-nous pour connaître nos prix et les aides de l’État pour changer de fosse septique !

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Dans le cas d’une vente immobilière concernant une propriété relevant de l’assainissement non-collectif, son état de fonctionnement doit être attesté par un contrôle récent. C’est pourquoi, depuis 2011, il est nécessaire de joindre un rapport de diagnostic de l’assainissement datant de moins de trois ans lors de la signature d’un acte de vente. Comment se passe ce diagnostic et quelles en sont les conséquences possibles ? Comment mettre à jour une fosse septique lors d’une vente et qui doit s’en charger ?

Le déroulement d’un diagnostic d’assainissement non-collectif

L’état de fonctionnement et le respect des normes en la matière sont du ressort du SPANC. Le SPANC, c’est le Service Public d’Assainissement Non-Collectif. Pour entrer en contact avec la branche de ce service en charge de votre zone géographique, le plus simple est de poser la question à votre commune. Le diagnostic doit être demandé par le propriétaire qui se verra demander des documents par l’organisme. Une fois que tout est en règle, un technicien du SPANC se déplace et note :

À l’issue de cette analyse, un document décrivant précisément l’état de l’ANC (assainissement non-collectif) est remis au propriétaire. Dans le cas où des risques sanitaires auraient été détectés lors de la visite, les travaux nécessaires à sa mise en conformité y sont inscrits.

La mise en conformité : charge de l’acheteur ou du vendeur ?

En règle générale, c’est au vendeur de prendre à charge les travaux de mise en conformité. Mais ce n’est pas obligatoire. La seule obligation légale, est de joindre ce diagnostic à l’acte de vente, afin d’attester que la transaction est effectuée en connaissance de cause. D’un commun accord, l’acheteur et le vendeur peuvent donc décider de procéder à la vente, en sachant que des travaux sont encore à réaliser. Dans ce cas, le coût prévisionnel de la mise en conformité peut devenir un argument de négociation dans la transaction immobilière. Si l’acte d’achat est effectué alors que des travaux de mise en conformité sont encore requis, ceux-ci devront par contre être réalisés par l’acheteur dans l’année suivant l’acte de vente.

Afin d’assurer la meilleure longévité à votre fosse et de faciliter la revente éventuelle de votre propriété, un entretien régulier et méticuleux est recommandé. N’hésitez pas à faire appel à nos services pour prendre soin de votre fosse septique, et vous éviter des déconvenues futures.

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Pourquoi faire appel à un professionnel pour une dératisation ?

Les professionnels sont habilités et agréés. Ils agissent donc dans le respect des normes sanitaires et environnementales.

Certes, certains produits de dératisation sont accessibles aux particuliers dans les magasins. Cependant, leur dosage sont moindre que ceux des professionnels, justement pour éviter tout risque sur la santé des humains et des animaux domestiques. Ils sont donc moins efficaces.

Quant aux méthodes de piégeage, elles fonctionnent seulement lors d’une utilisation avertie et avec une bonne connaissance des différentes espèces de rongeurs. De plus, les enfants, les chats, les chiens.. peuvent se blesser ou s’empoisonner avec les appâts.

Comment se passe la dératisation ?

Le professionnel vise un résultat efficace et durable dans le temps. Pour cela, il procède par étapes :

Les méthodes sont diverses selon l’objectif visé : tuer, capturer ou faire fuir les rongeurs. Il est tout à fait possible d’éviter les produits chimiques en privilégiant des méthodes douces de capture ou de répulsion. On peut utiliser des produits raticides, des composés toxiques ingérables et des pièges, mais aussi des grilles anti-rongeurs, des répulsifs, des appareils à ultrasons, etc.

Combien de temps dure une dératisation ?

La durée dépend de différents facteurs :

En moyenne, si votre maison fait environ 100 m², l’intervention se fait en une fois et dure quelque heures. Si vous faites face à l’invasion de tout un immeuble, le professionnel devra procéder par étapes et en plusieurs fois.

Quel est le coût d’une dératisation ?

Bien sûr, vous pouvez décider de vous en occuper seul, avec une tapette à souris, un raticide, un boîtier à ultrasons… Vous en aurez alors pour quelques dizaines d’euros de dépenses.

Si vous décidez de faire appel à un professionnel 3D (Désinfection-Désinsectisation-Dératisation), demandez des devis et faites des comparaisons. Le prix d’une dératisation se situe en moyenne entre 50 et 250 €. Cela dépend des mêmes critères d’accessibilité et de superficie que pour la durée d’intervention, du type et du nombre de rongeurs. En plus, le professionnel peut vous proposer des mesures préventives pour éviter toute récidive de la part des petits rongeurs.

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Saviez-vous qu’il était possible de récupérer les eaux de pluie pour vous en servir ? Inépuisable et naturelle, cette source d’eau est également peu coûteuse. Et en France, on estime qu’il tombe 15,4 millions de litres d’eau de pluie par seconde ! Selon certaines estimations, il serait possible de l’utiliser pour réduire votre facture d’eau de 600 litres par mètre carré de toit dont vous disposez*.

Dans une époque où l’eau devient une denrée à protéger, nombreux sont les particuliers et professionnels qui font le choix de récupérer les eaux pluviales. Pour quelles raison stocker l’eau de pluie ? Quels sont les avantages de ce procédé ? Comment peut-on utiliser les eaux de pluie ? On vous explique comment mettre à profit ces gouttes d’eau qui ont beaucoup à vous offrir.

Pourquoi récupérer les eaux de pluie ?

La consommation d’eau potable des ménages représente uniquement un tiers de la facture d’eau. Une large partie de l’eau consommée ne nécessite en effet pas d’être potable. Les eaux de pluie peuvent ainsi contribuer à de nombreux usages. Dans la maison, elles peuvent alimenter les besoins ménager, en fournissant l’eau nécessaire à votre machine à laver ou encore vos toilettes. Dehors, l’eau de pluie peut être utilisée pour laver votre voiture ou remplir votre piscine. Et dans votre jardin, elle sera la source idéale pour arroser vos plantes ou votre gazon ! Petit point d’attention, son usage est réglementé et limité à ces type d’usage. La mention “eau non potable” doit être visible à côté des différents lieux de soutirage de l’eau de pluie.

Quels sont les avantages de la récupération des eaux pluviales ?

Le premier avantage est écologique. L’utilisation des eaux de pluie permet de moins faire appel à l’eau des nappes phréatiques. Chaque année, il est estimé que 40 milliards de mètres cubes y sont puisés par l’homme. De plus, utiliser ces eaux évite qu’elles ne s’écoulent dans les réseaux d’assainissement et soient traitées inutilement. L’eau est de plus en plus précieuse, utiliser l’eau de pluie est un geste pour la planète.

Le deuxième est économique. En effet, l’eau de pluie tombe littéralement du ciel et vous permet de réaliser de belles économies sur votre facture d’eau.

L’installation peut donc rapidement être rentabilisée. D’autant plus que pour supporter ces installations écologiques, des aides sont mises en place sous la forme de crédit d’impôt ou d’aides régionales. Le crédit d’impôt s’obtient à condition que l’équipement de récupération des eaux de pluie ait été installé par un professionnel. Il permet d’avoir un abattement à hauteur de 25 % de l’investissement, dans la limite de 8 000 euros et majoré de 400 euros par personne à charge.

Comment récupérer les eaux de pluie ?

Comment ça marche ? Le principe est simple : l’eau de pluie tombe sur votre toit et ruisselle dans vos gouttières. Le système de récupération des eaux pluviales consiste ensuite en une cuve reliée à ces gouttières, précédée d’un filtre pour éviter que les débris s’y jettent. Cette cuve est raccordée à la plomberie de votre bâtiment pour ensuite être utilisée. Il existe des modèles de toutes tailles, couleurs et formes pour convenir à tous types de besoins et d’immeubles. Une fois en place, seul un léger entretien est nécessaire : vérifier le filtre et l’intérieur de la cuve une à deux fois par an, le vider et le nettoyer en hiver pour éviter le gel.

Vous disposez d’une ancienne cuve à fioul ? Sachez qu’il est possible de transformer une ancienne cuve à fioul en récupérateur d’eau. Il suffit pour cela de vidanger, dégazer et nettoyer la cuve. Nos spécialistes interviennent ensuite pour neutraliser votre cuve à fioul afin de vous permettre de l’équiper de façon à l’utiliser en récupérateur d’eau de pluie.

*Calcul basé sur la moyenne annuelle de précipitation fournie par Météo express (1000 mm/an en France), et selon la méthode de calcul de rendement de la récupération des eaux pluviales de la fédération française du bâtiment.

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Le fioul reste une valeur sûre en matière chauffage. Selon l’entreprise Total, 20% des foyers Français l’utilisent actuellement pour se chauffer. Les récentes avancées techniques ont nettement amélioré le rendement économique et écologique de ce type de chauffage, lui permettant de conserver une excellente compétitivité.

Où peut-on stocker le fioul ?

Lorsque l’on cherche à installer un chauffage au fioul, la première question sera de déterminer l’endroit adéquat où stocker le précieux carburant ainsi que l’espace requis. Le type de cuve et les règles de stockage en découleront. Le premier choix à faire est ainsi de déterminer si le fioul sera stocké à l’intérieur de votre bâtiment, ou bien à l’intérieur. Si vous disposez d’un terrain, il sera potentiellement intéressant d’entreposer le fioul en extérieur pour gagner en espace dans votre intérieur. Dans le cas contraire, il sera possible de le stocker en intérieur. Le deuxième choix à faire sera ensuite de déterminer si le fioul sera stocké sur le sol, ou enterré. L’option la plus commune, car la plus simple, est d’opter pour une cuve aérienne (posée au sol). À l’inverse, disposer d’un réservoir enterré nécessite des travaux supplémentaires mais offre plus de discrétion et d’espace.

Quelles règles pour une cuve de fioul aérienne ?

En matière de cuve à fioul aérienne, les règles à appliquer vont dépendre de la contenance de la cuve. Pour une cuve d’une contenance supérieure à 2500 litres, il sera obligatoire de disposer d’un local de stockage. Ce local devra être constitué de murs, d’un plancher et d’un plafond à degré deux-heures. Il devra être fermé par une porte à degré une heure, disposant d’une fermeture automatique (pour éviter que le local reste ouvert) et d’un système d’ouverture depuis l’intérieur (pour éviter qu’une personne s’y retrouve coincée). Ce local doit être très bien ventilé et ne servir à entreposer aucune autre substance combustible.

Une cuve à fioul de moins de 2500 litres pourra être placée dans un local de stockage, mais aussi plus simplement en rez-de-chaussée ou au sous-sol. L’endroit devra être très bien ventilé et permettre de placer la cuve à au moins un mètre de tout générateur. La porte de la pièce devra être de degré un quart d’heure. Les murs, le plancher et le plafond devront être de degré une demi-heure. La particularité de ces plus petites cuve : la cuvette de rétention ou l’enveloppe secondaire est obligatoire. Quelle que soit la taille de la cuve, elle devra être en métal ou en plastique, être positionné sur un sol plan maçonné et protégé contre les chocs.

Quelles règles pour une cuve de fioul enterrée?

Il est possible d’enterrer un réservoir à fioul à l’intérieur d’un bâtiment autant qu’à l’extérieur. Le passage ou le dépôt d’objets lourds au-dessus du réservoir est interdit s’il n’existe pas de dalle à la résistance suffisante. Le passage de câbles, de tuyaux ou de canalisations non nécessaires au fonctionnement du réservoir n’est pas autorisé dans un rayon de 50 cm autour du réservoir. Il est également interdit de disposer d’autres substances inflammables à proximité. S’il y a le moindre risque de déplacement du réservoir (eaux souterraines, par exemple) il sera également obligatoire de le fixer à un radier en béton. Si le réservoir est enterré à l’intérieur du bâtiment, il devra être mis en place au niveau le plus bas, à une distance minimum de 50 cm entre les parois du réservoir et la limite de la propriété.

Une autre solution pour enterrer votre fioul, est l’utilisation d’un réservoir métallique dans une fosse étanche. Celui-ci peut se trouver à l’extérieur (enterré ou au niveau du sol) ou à l’intérieur selon les mêmes règles que le réservoir et à condition de ne pas avoir d’espace vide sous la fosse. Cette fosse doit être de taille suffisante pour former une retenue au moins égale à la capacité de la cuve et ne pas être remblayée de façon à pouvoir contenir et observer toute fuite éventuelle. L’intérieur doit être revêtu d’un enduit étanche et la fosse doit être couverte d’une dalle incombustible.

Quelle que soit l’option choisie, nos agences SARP assurent l’entretien de vos cuves à fioul. À l’usage, des dépôts de boue peuvent venir entraver l’injection. Régulièrement entretenue par des soins professionnels, une cuve à fioul conserve sa puissance et son rendement énergétique de nombreuses années.

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Qui dit calcaire dit à long terme bouchon dans les tuyaux et remontées d’eau dans l’évier ou le lavabo ! Pour empêcher ça, quelques gestes suffisent. Vous pouvez aussi investir dans des équipements efficaces. Expert dans l’entretien de canalisation dans tout le territoire Français, SARP vous explique comment éviter le calcaire dans les canalisations.

Comment éviter le calcaire dans les canalisations : les bons gestes

Comment ne pas boucher les canalisations quand on vit dans une région où l’eau est très calcaire ?

Quel produit dissout efficacement le calcaire ?

Il détartre tout dans la maison (même la cafetière). De temps en temps, mettez une cuillerée à soupe de bicarbonate de soude dans le tuyau, puis versez 1 litre de vinaigre blanc bouillant. Laissez agir avant de rincer avec 1 litre d’eau bouillante.

Faites une pâte en mélangeant un peu de cristaux de soude avec de l’eau, puis versez-la dans le tuyau. Utilisez ensuite une brosse à dents ou un goupillon pour frotter les parois et rincez avec de l’eau.

Testez sa réputation détartrante en le mettant dans la canalisation au lieu de le jeter. C’est un bon désodorisant.

Comment réduire le calcaire dans les tuyaux : des aménagements efficaces

Dans certaines régions, l’eau est tellement calcaire que ça vaut le coup d’investir dans certains travaux. Par exemple : L’adoucisseur d’eau. Il existe plusieurs modes de fonctionnement. Le but est d’éviter l’accumulation des minéraux dans l’eau. Comme ce sont le magnésium et le calcium qui provoquent l’apparition du calcaire, l’adoucisseur réduit fortement l’entartrement des canalisations.

Ces systèmes retiennent le calcaire au niveau du pommeau de douche ou du robinet.

C’est une bobine ou un anneau que vous placez sur les canalisations d’eau (souvent au niveau de l’arrivée d’eau) et qui est censé empêcher la cristallisation des minéraux à l’origine du tartre. Son efficacité est cependant aléatoire en fonction du produit et du niveau de calcaire présent dans votre eau.

Même si vous installez un équipement anti-calcaire, entretenez régulièrement les canalisations avec un peu de vinaigre blanc. C’est la meilleure garantie d’éviter les bouchons.

Un bouchon de calcaire dans la canalisation ?

Vous avez un bouchon qui s’est formé dans le tuyau ? Que ce soit du tartre ou autre chose, vous pouvez faire confiance au vinaigre blanc et au bicarbonate de soude pour le dissoudre. Reproduisez les conseils ci-dessus. Il est possible qu’il faille agir en plusieurs fois pour déboucher complètement la canalisation. Vous pouvez aussi utiliser un « outil » improvisé, comme un cintre en fil métallique, pour « casser » le bouchon et récupérer les débris.

Si ça ne fonctionne pas, on vous déconseille d’utiliser un produit anticalcaire chimique dans votre canalisation. Ces produits sont rarement plus efficaces que le vinaigre blanc et ont des effets nocifs sur l’environnement et la santé humaine. Il vaut mieux recourir à un plombier.

SARP est spécialisé dans l’entretien et le nettoyage des canalisations. Nous utilisons des méthodes d’hydrocurage (nettoyage haute pression) respectueuses de l’environnement et de la santé. Nous vous conseillons aussi pour que vous sachiez comment éviter le calcaire dans vos canalisations. Contactez-nous : nous répondons à toutes vos questions !

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Vous n’avez plus besoin de votre cuve et vous voulez vous en débarrasser ? Très bien, mais pas n’importe comment ! La neutralisation d’une cuve à fioul se fait en plusieurs étapes : pompage, dégazage, neutralisation proprement dite. L’opération exige une expertise, car elle n’est pas sans danger. SARP vous explique tout.

Les 3 étapes de la neutralisation d’une cuve à fioul

  1. Le pompage

Comment vider une cuve à fioul ? On utilise une pompe électrique qui vidange la cuve par aspiration en séparant les boues des effluents liquides.

La séparation des boues et des liquides est indispensable car, selon la loi, chacun de ces déchets doit recevoir un traitement spécifique. De la même façon, il est très important d’utiliser une pompe qui ne sert qu’à cet usage : cela permet d’éviter des risques de pollution.

2. Le dégazage

Après le pompage de la cuve à mazout, il faut procéder au dégazage.

En effet, même après pompage, il reste toujours des résidus de fioul domestique en suspension. Ces vapeurs sont très inflammables et peuvent représenter un danger.

On peut dégazer la cuve par ventilation, par aspiration ou par lavage haute pression. Une inspection permet de vérifier qu’il n’y a plus de résidus de fioul après intervention.

Attention : les effets d’un dégazage ne durent que 48 heures. Il faut donc la neutraliser dans ce délai.

3. La neutralisation

On peut utiliser plusieurs méthodes différentes pour neutraliser une cuve :

Le professionnel qui s’occupe de l’opération doit vous donner un certificat de neutralisation ou de découpe après l’opération.

Qui peut vider, dégazer et neutraliser une cuve à fioul ?

Vous souhaitez neutraliser votre cuve vous-même ? Ce n’est malheureusement pas possible. Pour des raisons de sécurité sanitaires, le recours à un professionnel est obligatoire. Ce professionnel doit disposer d’un matériel adapté à la vidange et au tri des boues et des effluents liquides. Il doit également faire intervenir des techniciens formés au travail en atmosphère explosive et au transport de matières dangereuses. Ces précautions permettent d’éviter tout risque d’incendie, d’explosion ou de contamination de l’environnement.

Quel prix pour le pompage, le dégazage et la neutralisation d’une cuve à fioul ?

Le prix pour vider une cuve à fioul, la dégazer et la neutraliser dépend de plusieurs facteurs. Comptez en moyenne 800 à 1500 €.

Bien entendu, pour en profiter, les travaux doivent respecter certaines conditions techniques que seul un professionnel agréé peut respecter (article 18 bis de l’annexe IV au CGI mis à jour par l’arrêté du 13/02/20).

SARP est l’entreprise spécialisée qui répond à vos besoins de neutralisation de cuve à fioul partout en France. Contactez-nous pour recevoir un devis gratuit.

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SARP est le partenaire des professionnels pour tous leurs besoins d’assainissement industriel et pétrolier. Nous vous expliquons comment nous agissons à vos côtés.

Vos besoins en termes d’assainissement industriel

La réglementation vous astreint à des normes précises dans la prévention des risques sanitaires et environnementaux (traitement des rejets liquides industriels, des déchets dangereux, etc.).

Les enjeux sont importants : des manquements dans ce domaine peuvent provoquer des dommages et avoir des répercussions sur votre activité (chiffres d’affaires et réputation).

L’assainissement est donc une question cruciale de votre secteur. Elle peut avoir plusieurs aspects : entretien de matériel, dépollution de sites et friches industriels, gestion de déchets dangereux…

Le but :

Tout cela dans le respect de la loi.

Nos prestations d’assainissement en zone industrielle

SARP est une entreprise fiable et réactive. À l’issue de chacune de nos interventions, nous garantissons un parfait respect des normes sanitaires et environnementales en vigueur. Nos solutions sont toujours à la pointe de la technologie.

Quelles sont nos prestations ?

Nous intervenons en préventif, pour vous éviter tout problème futur :

Nous sommes aussi là pour tous vos projets d’assainissement industriel, de petite ou de grande envergure :

Nous réagissons également très rapidement au moindre problème que vous rencontrez, par exemple lors d’interventions d’urgence anti-pollution et dépollution. Nos solutions sont sur-mesure.Lors de chacune de nos prestations, nous garantissons :

SODI, notre entreprise partenaire en assainissement industriel

Trouver la solution parfaitement adaptée à chaque problème dans des contextes toujours différents demande une expertise pointue. Cette expertise, nous l’avons grâce à notre partenariat avec SODI.

SODI est la structure du groupe SARP spécialisée dans la maintenance industrielle depuis plus de 50 ans. L’union de nos savoir-faire techniques permet de faire face à des situations complexes de raffinage, de pétrochimie, de transfert de produits pétroliers, de démantèlement de sites industriels, etc.

Nous intervenons dans de nombreux secteurs différents : automobile, sidérurgie, papeterie, usines d’incinération. Vous avez besoin d’une prestation de maintenance ? Vous êtes confronté à un problème d’assainissement industriel complexe ? Contactez-nous pour bénéficier de notre expertise.

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SARP est une entreprise spécialisée dans la collecte des déchets dangereux. Nous mettons notre expertise au service des entreprises et industries de l’Hérault et des Bouches-du-Rhône. Découvrez nos missions !

Quels sont les déchets dangereux dont nous vous débarrassons ?

Le code de l’environnement établit la liste des déchets dangereux (article R541-8), ainsi que leur définition. Un déchet est classé comme dangereux s’il possède l’une des propriétés suivantes ou est susceptible de la développer :

Ces déchets ont des provenances variées : activités industrielles, artisanales, agro-alimentaires ou commerciales, activités de soins (hôpitaux, etc.), mais aussi particuliers (déchets ménagers comme les colles et les aérosols…).

La collecte de vos déchets dangereux

En tant que détenteur ou producteur de déchets dangereux, vous êtes soumis à une réglementation. La loi vous impose de traiter ou de faire traiter vos déchets dans des installations autorisées.

Les différents types de déchets font l’objet de réglementations spécifiques pour leur collecte et pour leur traitement. Nous assurons la gestion de vos déchets dans le respect de chacune de ces réglementations,  y compris celle qui régit les mouvements transfrontaliers (réglementation ADR).

Nous vous fournissons tous les documents attestant du transport et du traitement de vos déchets dans des exutoires réglementés, notamment le bordereau de suivi des déchets (BSD).

Le traitement des déchets dangereux dépend de leur nature. Ils peuvent être recyclés et valorisés, recevoir un traitement physico-chimique, biologique ou thermique ou encore être stockés. Les lieux de traitement et de stockage sont des installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE).

Les points forts de notre collecte de déchets

Et aussi d’autres prestations complémentaires :

Vous avez besoin d’une prestation de collecte de vos déchets dangereux ? SARP intervient chez les professionnels et les collectivités . Contactez-nous pour nous expliquer vos besoins.

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L’assainissement d’une construction neuve répond à différentes obligations légales. Quelles sont vos options ? Collectif ou individuel ? Existe-t-il des alternatives au procédé traditionnel de fosse septique dans le cas d’un assainissement autonome ? SARP, votre entreprise spécialisée en assainissement en France, vous explique tout.

Le système d’assainissement collectif pour bâtiment neuf

On l’appelle aussi tout-à-l’égoût. Comme son nom l’indique, votre bâtiment est alors raccordé à un système collectif de récupération des eaux usées.

Vous ne pouvez pas décider de choisir ou non ce type d’assainissement pour votre maison ou votre bâtiment. Chaque zone géographique dispose ou non d’un réseau d’assainissement collectif. Si votre commune est équipé d’un tel système, vous devez vous y raccorder : vous n’avez pas le droit d’évacuer vos eaux usées par le biais d’un procédé individuel.

Le raccordement à l’assainissement collectif d’une maison neuve ou de tout autre bâtiment d’usage agricole, commercial ou industriel est à la charge du propriétaire du bâtiment.

Comment savoir si vous êtes situé en zone d’assainissement collectif ? Toutes les informations sont disponibles en mairie. Demandez à consulter le zonage d’assainissement de la commune !

Les systèmes non collectifs d’assainissement de construction neuves

Si votre bâtiment neuf se trouve en dehors de toute zone d’assainissement collectif, vous devez installer votre propre dispositif. Il s’agit alors d’un système d’assainissement individuel ou autonome.

Vous avez le choix entre différentes options :

La fosse toutes eaux avec épandage

La fosse septique traditionnelle, qui traite les eaux-vannes (issues des WC), n’est plus autorisée dans le cadre de l’assainissement non collectif de bâtiment neuf ou ancien. Elle a été remplacée par la fosse toutes eaux.

Ce dispositif traite toutes les eaux ménagères (toilettes, douche, vaisselle, linge, etc.) en les filtrant, puis en les épandant dans le sol.

Le massif filtrant compact

Dans ce système, les eaux usées sont traitées par filtration, comme dans la fosse avec épandage. Cependant, le massif filtrant prend moins de place, car les eaux sont récupérées et filtrées dans une boîte qui est isolée du sol. L’emprise au sol est donc moins importante (inférieure à 20 m²).

C’est un système adapté aux petites surfaces.

Le massif filtrant avec plantes

Ce dispositif est une variante du massif filtrant compact. Ici, la plante a un rôle d’aération et de décolmatage.

Le massif filtrant avec plantes prend plus de place que le massif filtrant compact (comptez jusqu’à 100 m² d’emprise au sol).

La micro-station

Ce dispositif s’appuie sur l’action des bactéries aérobies. En maintenant une oxygénation forcée, on maintient l’activité de ces bactéries et les déchets sont dégradés en continu.

Les bactéries doivent être nourries de manière continue. Ce système est donc réservé aux maisons et aux bâtiments qui sont occupés de manière continue.

Les massifs filtrants et les micro-stations sont soumis à une procédure d’agrément ministériel. Sur avis favorable, ils peuvent parfois être installés dans des zones à usages sensibles.

Les travaux d’assainissement sont assez lourds (terrassement, plomberie, etc.) et demandent une certaine technicité en fonction des dispositifs choisis. Même dans le cas d’assainissement collectif ou de fosse toutes eaux traditionnelle, il faut parfois installer une pompe de relevage lorsque le réseau ou la fosse est situé en hauteur.

C’est pourquoi nous vous conseillons de faire appel à un professionnel spécialisé pour l’assainissement de votre construction neuve . Vous profiterez d’une installation de qualité, fiable et durable dans le temps !

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Lorsque l’habitation se situe dans la zone de l’assainissement collectif, son raccordement au tout-à-l’égout est une obligation. Cette obligation doit être respectée dans un délai de deux ans. Qu’il s’agisse d’une nouvelle habitation à raccorder, ou d’une habitation équipée d’un dispositif d’assainissement collectif soudainement déclarée en zone collective, les interlocuteurs sont identiques.

Quelles sont les règles qui s’appliquent pour les travaux ?

Très souvent également, l’entreprise qui sera habilitée ne sera par contre pas choisie par le propriétaire. Dans certains cas, une liste d’entreprises agrées est communiquée au propriétaire qui peut choisir. Dans la plupart des cas, l’entreprise qui effectue le raccordement est imposée par la collectivité. Il est possible, plus rarement, qu’une entreprise choisie par le propriétaire soit autorisée à effectuer des démarches auprès de la collectivité afin d’être autorisée à effectuer les travaux.

Les travaux doivent ensuite être effectués par le biais d’une canalisation partant de la voie privée vers la voie publique, qui est rendue accessible par la mise à disposition d’intermédiaires de voies privées ou de servitudes de passage sur la voie publique.

Le particulier doit s’assurer que la canalisation arrive à un point surélevé par rapport à la voie publique. La collectivité doit, elle, s’assurer de respecter un schéma d’écoulement dans les règles de l’art. Notamment en respectant une inclinaison de 3% et en évitant les coudes à 90°.

Qui prend en charge le coût du raccordement au tout-à-l’égout ?

La prise en charge financière est généralement partagée. Le propriétaire s’acquitte des frais liés aux travaux nécessaires au raccordement sur la voie privée et la collectivité à ceux nécessaires au raccordement sur la voie publique. Si vous êtes actuellement équipés d’une fosse septique, les frais liés à son vidage, sa désinfection et sa déconnexion.

N’hésitez pas à vous renseigner auprès de votre commune. Les collectivités sont également autorisées à faire rembourser tout ou partie des frais engagés pour le raccordement au tout-à-l’égout par le biais de la taxe de raccordement à l’égout.

Vous devez passer d’une fosse septique au tout-à-l’égout ? Tout commence par une vidange effectuée par des spécialistes. Experts en assainissement, nos agences SARP Méditerranée sont là pour vous aider et préparer votre transition vers le tout-à-l’égout.

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Les rats et les rongeurs véhiculent de nombreuses maladies et produisent des dégâts colossaux et onéreux dans les habitations et infrastructures. Professionnels et particuliers y sont confrontés, quelle que soit la ville ou la saison. Ces nuisibles sont de plus en plus résistants. D’où la nécessité d’agir rapidement et contacter des professionnels lorsque vous détectez une possible infestation dans votre bâtiment ou local commercial.

Comment détecter la présence de souris ou de rats ?

Les maisons et bâtiments sont le terrain de jeu idéal pour les rats et les souris. Les rongeurs y font leurs nids et s’y développent avec une étonnante facilité.

Les recoins sombres et humides (comme le grenier, derrière votre réfrigérateur ou encore sous vos meubles) constituent des espaces privilégiés pour leurs nids.

Les rongeurs se déplacent pendant la nuit, ce qui rend la détection difficile. On les aperçoit rarement de jour.

Si vous pensez avoir une invasion de rats, contactez-nous dès maintenant : nous pouvons enrayer au plus vite cette invasion et éviter des dégâts plus importants.

Quelles solutions pour éradiquer les rongeurs dans une maison ?

Les solutions habituelles pour éradiquer les rongeurs ont une efficacité limitée.

Les poisons

Cette solution reste l’une de plus dangereuses pour les occupants et pour les animaux domestiques. Son efficacité n’est pas assurée, car au bout de quelques jours l’aliment empoisonné ne sera plus assez frais pour les rongeurs.

Le piège à souris (ou rat mécanique)

Peut-être la solution la plus connue, le piège à souris ne sert pas en cas d’infestations massives. Tout comme les poisons, il entraîne un risque pour les personnes de l’habitation (surtout les enfants et les animaux domestiques).

La dératisation mécanique et connectée

SARP, expert de l’assainissement, propose en complément de la prestation de dératisation traditionnelle, la dératisation mécanique et connectée. Cette innovation répond à la réglementation européenne imposant une réduction des biocides (une solution polluante et de moins en moins efficace).

Comment se déroule une intervention de dératisation chez SARP ?

DIAGNOSTIC

Afin de garantir l’efficience d’une campagne de dératisation, tout commence par un diagnostic du secteur infesté. Pour ce faire, nous installons des caméras infrarouges et des capteurs dans des égouts ou en surface.

L’enregistrement se déclenche en présence de mouvement ou de chaleur. Un rapport permet ensuite d’évaluer le taux d’infestation de rongeurs et d’établir un plan d’éradication.

NEUTRALISATION DES NUISIBLES

SUIVI ET PRÉVENTION DE LA PROLIFÉRATION

Une carte SIM intégrée transmet des informations à chaque neutralisation ou lorsque le contenant doit être vidé. Un rapport comptabilise le nombre de rongeurs éliminés et permet ainsi de suivre l’efficacité et d’adapter la campagne en temps réel.

Cette innovation permet donc d’assurer la sécurisation complète d’une zone. Une fois celle-ci assainie, un piège est laissé en sentinelle empêchant toute nouvelle prolifération. Des capteurs sont également laissés afin de vérifier l’absence de nuisible et d’établir un rapport de confiance.

Comment prévenir l’infestation de rats ?

Voyons les gestes que vous pouvez adopter au quotidien pour éviter une infestation de rats.

Concernant les aliments :

Concernant l’isolation de votre maison :

Concernant le nettoyage :

Le réflexe SARP

En tant qu’experts de l’assainissement, nous agissons pour protéger la population et accompagner tous les acteurs de la ville.

SARP intervient en 3 étapes :

En cas d’infestation, il est important d’agir au plus vite possible, car les rats se reproduisent rapidement. Chez SARP, notre service de proximité nous permet d’intervenir dans les meilleurs délais et avec une grande efficacité pour éliminer toutes traces de nuisibles dans votre habitation.

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Conseils

La pollution, une affaire d’extérieur ? Au contraire ! Si lorsque nous entendons pollution, nous imaginons les pots d’échappement, les cheminées d’usine et la déforestation, ce ne sont pas les seules sources polluantes de notre quotidien. Selon le site scientifique futura-sciences, la pollution d’intérieur peut atteindre une concentration 100 fois plus élevée. Un score surprenant qu’il est important de bien comprendre. De nombreuses sources de polluant peuvent aisément s’inviter chez vous, à votre égard, et s’y concentrer bien plus largement qu’en extérieur car le lieu est clos.

Les sources de pollution domestique

Comment ça, de la pollution chez moi ? En effet, de nombreuses matières, produits ou corps étrangers peuvent aisément venir s’infiltrer chez vous. Et dans la plupart des cas, c’est vous qui les y invitez !

Toutes ces particules peuvent polluer votre intérieur d’une façon considérable, d’autant qu’il existe peu de presse autour du problème de la pollution domestique.

Les risques liés à la pollution domestique

Chaque polluant vient avec son lot de risques sur la santé. Globalement, une pollution domestique importante va favoriser l’apparition d’allergies, d’asthmes et de troubles respiratoires. La présence de fibres favorise l’apparition de maladies pulmonaires et d’insuffisances respiratoires. La présence d’oxydes d’azote peut générer des crises d’asthme et des troubles respiratoires également. Les COV génèrent des irritations de la peau et des muqueuses (yeux, nez, gorge), voire des nausées et des maux de tête.

Les réactions allergiques à tout ou partie de ces polluants peuvent également avoir des impacts collatéraux : difficultés de sommeil, fatigue, irritabilité, perte de productivité professionnelle, etc. ou encore sur le développement des enfants.

Comment lutter contre la pollution domestique ?

Pour lutter contre la pollution domestique, il convient tout d’abord d’identifier les sources de pollution vous concernant. Savez-vous si votre plomberie contient du plomb ? Si les peintures et vernis de vos meubles et parquets sont saines ? Quels sont les ingrédients de vos produits d’entretien ?

Une fois les sources de pollution identifiées, il convient :

Experts en assainissement, SARP peut vous aider à identifier les sources de pollution intérieure et à réaliser des opérations vous assurant un intérieur sain (désinfection, désinsectisation, plomberie, maintenance et entretien de VMC etc.). N’hésitez pas à nous contacter pour obtenir un conseil et un devis.

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Identifier l’origine des mauvaises odeurs

Vous avez beau faire le ménage, rien n’y fait. Cette petite odeur désagréable persiste malgré tout. Identifier d’où viennent les mauvaises odeurs n’est pas aussi simple qu’il n’y paraît. Il peut s’agir d’une moquette qui moisit, de canalisations bouchées, d’humidité sur les murs ou d’une odeur de fumée qui s’est incrustée sur les rideaux et textiles. 

Oubliez les parfums d’ambiance qui masquent les odeurs sans les éliminer. Si vous ne trouvez pas la source de la mauvaise odeur dans votre maison, commencez par aérer toutes les pièces de votre habitation. L’odeur persiste ? Fermez portes et fenêtres, sortez de chez vous et entrez à nouveau dans votre habitation. Ce bol d’air frais fera le plus grand bien à votre odorat qui, à force de rester dans la pièce, n’est plus capable de distinguer les odeurs.

Pour trouver l’origine du problème, parcourez les différentes pièces de votre logement une par une. L’odeur est-elle présente dans toutes les pièces ? Ne cherchez plus ! Il s’agit très probablement de vos canalisations ou de votre système d’aération.

Se débarrasser des mauvaises odeurs dans la maison

En identifiant la source, vous pourrez directement vous attaquer au problème. Si vous vous contentez de masquer l’odeur, elle finira par revenir. C’est le cas s’il s’agit de problèmes d’humidité, par exemple. 

Si vous n’êtes pas parvenu à identifier la source de la mauvaise odeur, procédez comme suit : 

Si les odeurs désagréables émanent de vos canalisations, versez une solution à base de vinaigre blanc, d’eau bouillante et de bicarbonate de soude. Si ce remède naturel ne suffit pas, vous pouvez utiliser un produit comme le Destop. Le problème ? Ce produit est nocif pour l’environnement.

Pour stopper les remontées d’égout naturellement, entretenez régulièrement vos canalisations avec des produits naturels. Le marc de café, par exemple, est très efficace pour désincruster les tuyauteries.

Faire appel à des professionnels pour éliminer les mauvaises odeurs dans une pièce

Dans certains cas, seul un professionnel est capable de déterminer l’origine du problème et d’y apporter une solution adéquate. Faites appel aux experts de SARP pour éliminer les mauvaises odeurs dans une pièce. Nettoyage de fosse septique, débouchage de canalisation, nous vous proposons une gamme complète de services pour améliorer le confort de votre habitation. Nos experts se déplacent à votre domicile 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

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Conseils

A l’instar des fourmis, les insectes sont attirés par les miettes et les déchets organiques de la maison. Cafards, mites ou blattes, tous ces nuisibles prolifèrent rapidement une fois installés dans votre foyer.
La désinsectisation et la dératisation sont obligatoires pour les propriétaires et les syndics de copropriétés. Des contrôles menés par des entreprises spécialisées s’effectuent régulièrement pour éviter des invasions de nuisibles.

Comment se débarrasser des blattes ?

Insectes particulièrement nuisibles, les blattes s’attaquent à votre nourriture et souillent la maison sur leur passage, en laissant une odeur désagréable.

Pour se débarrasser des blattes, il faut commencer par nettoyer à fond votre cuisine, ne laisser aucun aliment à l’air libre. Ensuite, il est important de vérifier que l’état des murs de votre garde-manger et de votre cuisine : les trous et infiltrations sont autant de portes d’entrée pour les cafards.

La deuxième phase correspond à l’éradication des nuisibles. Il est important de mener le combat de manière méthodique pour éviter une réapparition prochaine.

Conseils pour prévenir les invasions des punaises de lit 

La punaise de lit est un petit insecte de forme ovale, qui a des conséquences importantes sur la santé et sur la qualité de vie des personnes. C’est l’un des plus anciens parasites que l’homme ait connu. Elle se nourrit la nuit, notamment de sang humain. Elle habite dans des endroits sombres et peu accessibles, surtout dans la chambre à coucher.

Éviter les encombrements

En réduisant le nombre d’endroits où elles pourraient se cacher. Au début de l’infestation, elles se cachent près de la personne qu’elles vont piquer pendant la nuit. Quand l’infestation devient plus importante, les punaises se dispersent et se cachent ailleurs.Outre le sommier, le sofa et le dessous du matelas, voici d’autres cachettes possibles :

Inspecter les meubles usagés que vous rapportez

Avant de rapporter des meubles, articles ou matelas usagés à la maison, inspectez-les minutieusement et nettoyez-les avec un produit désinfectant. Idéalement, traitez-les à la vapeur chaude et gardez-les dans une housse anti punaises si vous n’allez pas vous en servir tout de suite. Si possible, ne rapportez pas des articles abandonnés sur les trottoirs et en mauvais état.

Inspecter les vêtements usagés

Si vous vous procurez des vêtements usagés, inspectez-les avec soin. Pour éliminer les punaises de lit, placez vos textiles infestés dans une sécheuse à très haute température pendant au moins 30 minutes.

Les punaises de lit ont envahi votre logement ? Contactez un professionnel pour une éradication rapide.

Le frelon asiatique et le nid d’abeille : quels dangers ?

Des études ont démontré le caractère invasif du frelon asiatique : il représente un risque pour la biodiversité car il se nourrit principalement d’abeilles. Pour les hommes, la piqûre n’est pas plus douloureuse que celle d’une abeille, mais la présence du frelon est une menace pour l’apiculture et l’écosystème français.

Pour prévenir la nidification de ce prédateur d’abeilles, on peut avoir recours à des pièges à insectes traditionnels. Ce type de pièges attirent aussi bien les frelons asiatiques que les mouches ou les papillons. Par conséquent, il est possible de dérégler l’écosystème au passage.

Pour éviter de vous faire piquer, il est préférable de faire appel à un professionnel. Que vous soyez face à un nid de frelons ou d’abeilles, contactez-nous pour en discuter.

Comment trouver le nid des fourmis et s’en débarrasser ?

Pour repérer un nid de fourmis, il faut suivre le trajet de la colonie et remonter à la source. Si elles disparaissent dans le sol, c’est sans doute que le nid est situé à l’extérieur de la maison. Si elles remontent au mur ou au plafond, c’est que le nid se trouve dans les combles ou l’une des parois.

Certains remèdes de grand-mère peuvent permettre d’éloigner ou de dissuader les fourmis (citron, vinaigre de cidre, épices…). Mais ces remèdes de fortune ne permettent pas d’éliminer la colonie, surtout si l’invasion est massive.

Une méthode, plus efficace mais chronophage, consiste à aspirer un maximum de fourmi et saboter le chemin d’approvisionnement. Il est tout naturel de renoncer à cette méthode archaïque pour privilégier l’insecticide. Mais là encore, il est préférable de faire appel à un professionnel agréé.

Les professionnels peuvent en effet créer un appât avec de la nourriture empoisonnée. L’insecticide liquide contenu dans l’appât sera dispersé par les fourmis dans le nid, ce qui aura pour effet de contaminer toute la colonie.

La désinsectisation chez SARP

SARP peut intervenir partout sur le territoire, en préventif comme en urgence 24/7. Nos experts en assainissement interviennent sur tous types de nuisibles : rats, cafards, frelons, chenilles processionnaires, moustiques, mouches, blattes, fourmis, punaises de lit…

Dans un premier temps, nous établissons un diagnostic et choisissons la méthode d’éradication la plus efficace (fumigation, insecticide, raticide, pièges…). Après éradication, nous établissons un suivi pour prévenir toute prolifération.

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Quelle norme pour le regard de visite d’assainissement ?

La circulaire interministérielle n° 77-284 du 22 juin 1977 donne des recommandations quant à la pose et à l’emplacement des regards, mais l’assainissement dépend avant tout de la commune. Vous devez donc respecter les réglementations locales. Avant tout travaux, rendez-vous en mairie pour vous informer.n>

En ce qui concerne le regard en lui-même, il doit répondre aux normes NF EN 1917 et NF P16-346-2.

Quel matériau choisir pour le regard eaux usées ?

Béton ou PVC ?

Le regard en béton est raccordé au tuyau en brisant ce qu’on appelle les « voiles à casser » au burin, jusqu’à ce qu’il y ait assez de place pour faire passer le tuyau. On colmate ensuite avec du béton. Le béton tient mieux en place dans les sols humides.

Les regards en PVC sont raccordés avec des joints en caoutchouc. Il assure une meilleure étanchéité.

Mais le point important à retenir pour choisir le matériau, c’est qu’il ne faut pas utiliser du PVC avec des canalisations en béton, et inversement. Les deux matériaux n’adhèrent pas l’un à l’autre et il y aura tôt ou tard des problèmes d’étanchéité.

Où doit-on placer les regards de visite ?

À tous les endroits où on a besoin d’intervenir pour contrôler ou entretenir le réseau. Donc :

Vous devez placer le bas des regards au niveau du fil d’eau et de la canalisation et le haut des regards légèrement au-dessus du niveau du terrain.

Quelle distance entre les regards d’assainissement ? Pas plus de 50 mètres, et beaucoup moins si la situation l’exige (notamment en cas de pente faible).

Comment poser un regard eaux usées ?

PVC ou béton, la procédure est la même

Préparez du béton et scellez le regard aux tuyaux. Posez le couvercle par-dessus et faites couler le béton dans le trou jusqu’à mi-hauteur du regard. Quand le béton est sec, recouvrez le reste avec du gravier et du sable et tasser.

Le regard est équipé d’un cordon en caoutchouc/mastic qui permet de tout sceller de manière étanche. Ensuite, il vous suffit de tout recouvrir avec du gravier et du sable et de bien damer.

  1. Creusez un trou à l’endroit choisi. Largeur : celle du regard + 20 cm. Profondeur : celle du regard + 10 cm.
  2. Déposez un lit de gravier et de sable au fond du trou, sur une épaisseur de 10 cm. Tassez et égalisez pour que ce soit bien plat et horizontal (vérifiez avec un niveau à bulle).
  3. Dégagez les opercules du regard. Placez le regard dans le trou et insérez les canalisations dans les opercules.
  4.  Ensuite…
    • si votre regard et vos tuyaux sont en béton :
    Préparez du béton et scellez le regard aux tuyaux. Posez le couvercle par-dessus et faites couler le béton dans le trou jusqu’à mi-hauteur du regard. Quand le béton est sec, recouvrez le reste avec du gravier et du sable et tasser.
    • si votre regard et vos tuyaux sont en PVC :
    Le regard est équipé d’un cordon en caoutchouc/mastic qui permet de tout sceller de manière étanche. Ensuite, il vous suffit de tout recouvrir avec du gravier et du sable et de bien damer.
  5. Pour finir, remettez en place le revêtement en laissant la trappe du regard bien dégagée.

Vous savez maintenant comment poser un regard eaux usées pour votre système d’assainissement autonome. Besoin d’un coup de main ou d’un conseil supplémentaire ? Contactez SARP, leader de l’assainissement en France !

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Conseils

Qu’est-ce qu’une canalisation bouchée ?

Toilettes, baignoire, douche, lave vaisselle sont reliés aux réseaux d’eau usée de la maison.

A force d’utiliser ces objets du quotidien, nous encrassons les canalisations. Le dépôt de graisses et de restes alimentaires entraîne l’apparition de mauvaises odeurs puis la canalisation se bouche jusqu’à obstruer partiellement ou complètement l’évacuation des eaux. Un débouchage s’impose alors.

Plusieurs causes possibles à l’obstruction de la canalisation :

Comment déboucher une canalisation ?

Pourquoi effectuer le débouchage de canalisations ?

Si vous n’effectuez pas de débouchage de vos canalisations, vous risquez de générer un débordement des eaux usées dans la maison, des remontées des eaux par la baignoire, par la douche mais également de mauvaises odeurs…

Qu’est ce qu’un débouchage ?

Une fois que les canalisations sont bouchées et obstruées, il est nécessaire de faire intervenir un professionnel de l’assainissement. Sur place, les techniciens avec leur connaissance et leur expérience, avec l’aide de vos indications, localisent le bouchon et analysent la manière à opérer la plus efficace. Nous intervenons avec des équipements performants pour procéder à l’opération, à savoir :

Le professionnel veillera à intervenir proprement, exigeant quant au respect des lieux. Un client satisfait est généralement sa plus belle récompense.

Les bons réflexes à avoir

Ne pas utiliser de produit corrosif type « DESTOP », acide, etc. qui détériore les joints des canalisations et la colle. De plus, il rend l’intervention des professionnels de l’assainissement plus délicate avec des risques de projection chimique.

Les bons réflexes à avoir :

Retenez cependant que votre intervention risque de causer des dommages sur vos installations si jamais vous n’avez pas les bonnes techniques. 

Vous souhaitez faire un débouchage de vos canalisations ?

Contactez-nous pour obtenir un devis !

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Que dit la loi concernant la gestion de ces déchets ? Pourquoi est-il important d’entretenir régulièrement le bac à graisse ? SARP vous accompagne dans l’élimination de vos déchets conformément aux réglementations en vigueur.

Comment fonctionne un bac à graisse ?

Un bac dégraisseur est un système très simple permettant de traiter les eaux usées en filtrant les huiles ménagères. Le bac à graisse est placé avant la fosse septique et reçoit directement les eaux ménagères. Par décantation, les huiles resteront en surface, permettant ainsi de récupérer les huiles usagées tout en filtrant les matières solides qui tombent au fond de la cuve.

Le bac à graisse est un excellent moyen pour éviter d’encrasser les canalisations et pour récupérer les huiles ménagères. Néanmoins, ce système nécessite un entretien régulier pour qu’il puisse continuer de fonctionner correctement. Cet entretien est important et doit être pris au sérieux.

Quand et pourquoi faut-il vidanger le bac à graisse ?

Au minimum tous les 6 mois, il est nécessaire de faire vidanger votre bac à graisse. En effet, cet entretien permet de jeter les matières et les déchets qui s’y seraient accumulés. Cette élimination des huiles ménagères est d’ailleurs réglementée (article R541-7 à R541-11 du Code de l’environnement). Sachez qu’il est strictement interdit d’éliminer ces huiles ménagères en les mélangeant avec le circuit classique des déchets. Sachez que la collectivité ou les habitants du foyer sont tenus responsables du traitement de ces huiles usagées et la potentielle pollution qu’elles peuvent causer.

Que vous soyez un particulier ou un professionnel, il vous faudra vous tourner vers une entreprise agréée pour effectuer l’entretien et la vidange de votre bac à graisse.

L’opération est d’ailleurs accès complexe et le service d’un professionnel vous évitera d’abîmer vos canalisations. L’intervention vous permettra de vider le trop-plein et d’éviter par là-même les mauvaises odeurs. Vous pouvez d’ailleurs en profiter pour coupler cette intervention avec une opération d’assainissement et/ou l’entretien de vos canalisations.

Faîtes appel à SARP, une entreprise professionnelle et agréée

Avez-vous besoin d’effectuer l’entretien et la vidange de votre bac à graisse? Confiez-nous l’entretien de vos bacs à graisse et fosses septiques. Nos agences SARP sont agréées pour vous offrir des prestations de pompage, nettoyage et vidange de votre bac à graisse. Grâce à notre réseau d’agences locales, nous intervenons rapidement chez vous pour vous offrir un service efficace.

Grâce à un équipement moderne, nous pouvons pomper les déchets graisseux avant de nettoyer les parois de votre bac à haute pression. Nous prenons également en charge le traitement complet des déchets pompés. À l’aide d’un système de micro-organisme, nous pouvons séparer les huiles des eaux claires. Après quoi, nous recyclons les déchets récupérés pour les revaloriser.

Que vous soyez un collectif, un restaurateur ou un particulier, contactez-nous pour que nous puissions établir un devis pour une prestation de service adaptée à vos besoins.

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Le traitement des eaux usées est indispensable pour des raisons sanitaires, mais aussi écologiques. À l’heure actuelle, les eaux usées et pluviales sont essentiellement collectées et traitées par un système commun : l’assainissement collectif ou tout-à-l’égout. Les logements non raccordés à l’égout doivent s’équiper d’un mode d’assainissement individuel ou assainissement non collectif (ANC). Plusieurs dispositifs existent. On fait le point.

L’assainissement collectif ou tout-à-l’égout

Si votre habitation est raccordée à l’égout, l’assainissement de vos eaux domestiques usées est intégralement pris en charge par la commune. L’égout est connecté à un collecteur qui conduit les eaux usées vers la station d’épuration. Selon le type de réseau, les eaux usées sont traitées indistinctement des eaux pluviales, ou séparément.

L’assainissement non collectif : la filière traditionnelle

Votre habitation n’est pas raccordée à l’égout ? C’est le cas de plus de 5 millions de logements en France. Hors de question de rejeter vos eaux directement dans la nature. La loi vous oblige à vous équiper d’un système d’assainissement autonome, aussi appelé assainissement non collectif. Vous aurez le choix entre différents dispositifs.

Le plus classique est la fosse-toutes-eaux avec épandage, anciennement appelée fosse septique. Cette cuve en béton ou plastique collecte les eaux ménagères et assure leur prétraitement : les matières solides sont retenues grâce à un processus de décantation. Les eaux sont ensuite envoyées vers un second dispositif de traitement. Les dimensions de cette cuve seront proportionnelles au nombre de pièces de l’habitation.

L’assainissement non collectif : les filières agréées

L’installation d’une fosse toutes eaux est assez contraignante. Elle oblige son propriétaire à respecter des distances précises avec les arbres plantés, l’habitation, les limites de propriété… Pour contourner ces difficultés, d’autres dispositifs, plus compacts, sont apparus sur le marché et ont été approuvés par les textes de loi.

Le filtre compact

Le mode de fonctionnement est identique à celui de la fosse-toutes-eaux. La différence entre ces deux dispositifs se situe au niveau de leur taille. Le filtre compact nécessite une emprise au sol deux fois moins importante qu’une fosse-toutes-eaux avec épandage classique. C’est l’idéal pour les personnes qui ne disposent pas d’un grand terrain.

La microstation d’épuration

Compacte également, la microstation d’épuration fonctionne à l’aide de bactéries, de la même manière que les stations municipales. Elle convient parfaitement aux habitations avec un petit terrain, et, contrairement à la fosse-toutes-eaux, ne génère pas de mauvaises odeurs. Seul bémol : les bactéries doivent être nourries régulièrement pour assurer le bon fonctionnement de la microstation. Ce dispositif n’est donc pas adapté aux résidences secondaires.

Les filtres plantés

Les eaux usées traversent des bassins tapissés d’un substrat minéral, et où sont plantés différents végétaux. Grâce à leur vaste réseau de racines, ces végétaux dits macrophytes apportent de l’oxygène aux bactéries, ce qui leur permet de se développer. Ces bactéries se chargent de dégrader la matière. Produisant peu voire pas de boue, ce système a l’avantage de bien s’intégrer dans le paysage.

Vous souhaitez installer une microstation d’épuration ou entretenir votre fosse-toutes-eaux ? Faites appel à SARP !

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Des démangeaisons épouvantables pendant la nuit et de petites traces de sang dans les draps le matin ? Des punaises ont colonisé votre lit ! Réagissez sans attendre, car ces insectes sont redoutablement coriaces… et se reproduisent à une vitesse extrême. Spécialisée dans le traitement des infestations de nuisibles en France, SARP vous explique comment se débarrasser des punaises de lit dans une maison.

Option 1 : comment éliminer les punaises de lit soi-même et naturellement ?

Vous ne voulez pas utiliser de produits chimiques ? Voici quelques gestes mécaniques et trucs de grand-mère à tenter :

La difficulté de ces techniques ne réside pas dans leur efficacité en tant que telle. Le problème, c’est qu’il est difficile d’atteindre tous les endroits où les punaises de lit sont susceptibles de se loger. Vous devez passer absolument partout. Une seule punaise survivante peut fonder une nouvelle colonie en quelques jours.

C’est pourquoi ces recettes de grand-mère sont souvent utilisées en attendant l’intervention d’un professionnel, ou en prévention.

À noter : Les huiles essentielles sont plutôt utilisées en répulsif ou pour soulager les démangeaisons. Les punaises de lit détestent leurs odeurs, mais cela ne les tue pas. Idem pour le vinaigre blanc : il ne tue les puces de lit que si elles sont plongées dedans de manière prolongée.

Option 2 en cas d’échec de la première : comment se débarrasser des punaises de lit définitivement ?

Si les puces de lit résistent à plusieurs tentatives répétées, il faut recourir à des produits chimiques. Ces derniers sont de deux types : insecticide à pulvériser sur des points sensibles localisés et produit de diffusion par fumigation ou aérosol pour traiter les pièces dans leur intégralité.

Nous vous conseillons de faire appel à des professionnels de la désinsectisation pour l’utilisation de ces produits. Ils sont dangereux pour la santé et l’environnement et doivent être manipulés selon des protocoles rigoureux. Si vous le faites vous-même, suivez bien les consignes d’utilisation. Et, surtout, utilisez des gants, des lunettes de protection, une combinaison et un masque FFP3. Vous devez tout jeter dans un sac plastique hermétique à la fin de l’opération.

L’intervention a généralement lieu en deux fois et à deux semaines d’intervalle.

SARP vous fait profiter de son expertise et de moyens technologiques de pointe dans ce type de traitement. Le résultat est durable. Nous agissons aussi en préventif. Contactez-nous !

Punaise de lit : comment savoir si vous êtes concernés ?

Si les punaises de lit font de plus en plus souvent parler d’elles, les personnes victimes d’une infestation ne comprennent pas toujours ce qu’il leur arrive. Il est donc important de savoir les identifier pour agir rapidement.

Pourquoi une recrudescence des punaises de lit ?

Depuis les années 1990, on assiste à un retour en force des punaises de lit, tant au niveau mondial qu’en France. En cause ? Leur résistance croissante aux insecticides, tout comme la multiplication des échanges et des voyages à l’étranger.

On les récupère le plus souvent dans des lieux où les échanges sont importants comme dans les hôtels et chambres d’hôtes, les cinémas, ou encore les moyens de transport de longue distance (avion, train de nuit…). De taille comparable à celle d’un pépin de pomme, la punaise de lit voyage en effet très bien, sur vous comme dans les bagages. Une fois arrivée dans un logement, elle va immédiatement chercher à se nicher dans un endroit à l’abri afin de pouvoir se développer.

Comment identifier la présence de punaises de lit ?

Comment identifier la présence de punaises de lit ?

Si votre appartement en est infesté, vous risquez d’être dérangé la nuit par des piqûres pouvant provoquer allergies et démangeaisons. Parce que la punaise de lit est un insecte hématophage, qui a besoin de sang pour se nourrir. Elle peut d’ailleurs piquer jusqu’à 90 fois durant une même nuit.

Mais le jour venu, vous ne verrez sans doute pas les fautives, puisqu’elles fuient la lumière. Elles vont alors trouver refuge dans une cachette à proximité d’un lieu de repos comme le lit ou le canapé afin de pouvoir sortir la nuit pour se nourrir. Vous apercevrez donc rarement des punaises de lit vivantes. Mais vous pouvez identifier quelques signes de leur présence comme de petites traces de sang sur les draps ou de minuscules taches noires correspondant à leurs excréments.

Comment limiter les risque de propagation et éliminer les punaises de lit ?

Quelques gestes simples peuvent vous permettre d’éviter une invasion des puces de lit. Mais en ce qui concerne le traitement, mieux vaut faire appel à des professionnels pour identifier clairement le nuisible et les lieux d’infestations afin de les éradiquer complètement.

Éviter la propagation et la prolifération des puces de lit

Lorsque vous séjournez à l’hôtel, évitez de poser vos bagages et vos vêtements sur le lit. Et si vous identifiez des petites taches sur les draps, vérifiez le lit, les meubles et les murs pour y détecter d’éventuels nids.

De retour de vacances, inspectez vos bagages et lavez vos vêtements à 60 °C : les punaises ont horreur de la chaleur, comme du grand froid, d’ailleurs. Chez vous, évitez d’encombrer les espaces où les nuisibles pourraient trouver refuge. Si vous récupérez de vieux meubles, pensez à bien les nettoyer, par exemple avec un nettoyeur vapeur ; en effet, elles se logent aussi dans le mobilier en bois et dans les plinthes du plancher.

Traiter les logements infestés par les punaises de lit

Différentes solutions chimiques, thermiques ou naturelles existent pour éradiquer les puces de lit. Dans tous les cas, les techniques utilisées doivent être adaptées aux besoins. Il est donc préférable de faire appel à un professionnel pour les éradiquer efficacement.

Avant d’intervenir, les professionnels réalisent toujours un diagnostic préalable destiné à identifier précisément le nuisible incriminé, et détecter les zones infestées. Les nuisibles sont ensuite éradiqués, après explication des méthodes de traitement thermique ou chimique des punaises et sensibilisation des occupants du logement aux précautions à adopter. Un suivi permet ensuite de prévenir une nouvelle infestation.


En faisant appel à une société spécialisée dans le traitement des nuisibles comme SARP, vous pouvez donc mettre toutes les chances de votre côté pour que l’infestation soit complètement stoppée après intervention. En fonction du diagnostic, nous intervenons une ou plusieurs fois et assurons le suivi des traitements pour supprimer tous les nuisibles présents dans l’appartement. Pour en savoir plus sur nos méthodes d’éradication des punaises de lit, n’hésitez pas à nous contacter.

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Où jeter les déchets d’un bac à graisse ? Dans l’évier ? La poubelle ? Le tas de compost ? Les huiles alimentaires usagées sont classées comme biodéchets non dangereux pour la santé, mais leur traitement répond néanmoins à une réglementation stricte. Pas question de les traiter n’importe comment et n’importe où. Spécialisée dans le traitement des bacs à graisse et les systèmes d’assainissement en France, SARP vous dit tout sur la gestion de ce type de déchets.

Pourquoi ne faut-il pas jeter l’huile dans l’évier ou dans le jardin ?

Quand on se demande où jeter l’huile de friture, on est parfois tenté de s’en débarrasser dans les toilettes ou l’évier. C’est un très mauvais réflexe. L’huile n’est pas soluble dans l’eau. Lorsqu’elle se retrouve dans les canalisations d’eaux usées, elle se refroidit et se solidifie. Elle risque donc de boucher les tuyaux.

De plus, les huiles usagées ont un impact très négatif sur les bactéries qui font fonctionner les systèmes d’épuration de l’eau. Elle forme des pellicules de graisse à la surface et celles-ci empêchent le passage de l’oxygène. Les bactéries ont donc plus de mal à respirer et peuvent mourir d’asphyxie.

Vous ne devez pas non plus jeter l’huile de friture dans le jardin, dans le compost par exemple. Elle ralentit le processus normal de décomposition en asphyxiant les vers et les insectes qui se nourrissent des déchets. De plus, si votre huile a peut-être servi à cuire de la viande, elle va attirer des rongeurs.

Alors, où jeter les déchets d’un bac à graisse ?

Selon le code de l’environnement (Livre V, titre IV) et le code de la santé publique (Livre III, titre III), depuis 2012, les huiles usagées d’origine végétale sont considérées comme des biodéchets non dangereux pour la santé des humains et pour l’environnement. Cependant, nous avons vu qu’elles ont des effets particuliers sur les installations d’assainissement collectif. Elles doivent donc être collectées et recyclées par des entreprises spécialisées et agréées.

Lors de l’intervention, votre prestataire doit vous donner un bordereau d’enlèvement qui permet une traçabilité des huiles vers leur traitement ou leur valorisation.

Cette procédure est évidemment réservée aux entreprises, notamment celle de la restauration, qui utilisent de grandes quantités d’huiles de friture. Selon la loi, vous êtes tenu d’assurer le tri et la valorisation de vos huiles dès lors que vous en produisez ou utilisez une certaine quantité par an (1).

Que deviennent les huiles usagées ?

Et ensuite, où vont les huiles usagées de vos bacs à graisse ?

Elles sont transformées en biocarburants et injectées dans les pompes des stations-services. Leur valorisation a un véritable intérêt environnemental. En 2018, on estimait à 100 000 tonnes les huiles usagées qui pouvaient être ainsi réutilisées (2).

SARP est agréée pour le pompage de vos bacs à graisse. Nous sommes au service des entreprises de la restauration sur toute la France. Nous intervenons aussi pour déboucher vos canalisations en cas d’obstruction. Contactez-nous !

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Fosse septique ou fosse toutes eaux ? Depuis 2009, le SPANC (le Service Public d’Assainissement Non Collectif) a interdit l’installation de fosses septiques. Dorénavant, on parle de fosse toutes eaux. La différence ? La fosse septique est un récipient qui permet de recevoir et pré traiter les eaux des sanitaires. La fosse toutes eaux, elle, reçoit et traite les eaux-vanneseaux usées et eaux ménagères.

L’ambiguïté vient du fait que depuis l’entrée en vigueur de cette nouvelle règle, la terminologie utilisée quotidiennement n’a pas évolué et beaucoup sont ceux utilisant le terme de fosse septique par habitude. Pas d’inquiétude à avoir, si l’on vous parle de mise en conformité ou d’installation de fosse septique d’un côté et de fosse toutes eaux de l’autre : on parle dorénavant de la même chose !

Les étapes à respecter pour installer une fosse toutes eaux

Le SPANC ne s’arrête pas à définir les installations autorisées pour le traitement des eaux en non-collectif. Elle régit également au niveau de chaque commune les règles à respecter concernant l’assainissement individuel. Il convient de commencer par entrer en contact avec le SPANC de votre commune afin d’obtenir la réglementation locale.

Indispensable pour identifier les contraintes et le type de fosse à choisir, cette étude permet de déterminer la perméabilité du sol ainsi que la présence ou non d’une nappe phréatique et sa profondeur.

Lorsque les éléments de choix sont à votre disposition, il convient de déterminer l’emplacement, la dimension et le raccordement de votre fosse.

Une fois les plans définis, il vous restera à procéder au terrassement (attention à stocker la terre enlevée ainsi pour plus tard) afin de creuser la fouille aux dimensions prévues et prévoir le raccordement. Le lit de pose stabilisé peut ensuite être mis en place, suivi de la fosse toutes eaux elle-même. Lors de la pose, il est nécessaire de remblayer latéralement tout en remplissant la cuve afin d’en assurer la stabilité. Il suffit pour finir de raccorder la fosse et la ventilation, de remblayer (avec la terre sauvée au départ) et de poser les tampons de visite.

Les règles à respecter lors de l’installation d’une fosse toutes eaux

Toute installation doit être mise en place en fonction de la réglementation en vigueur. Celle-ci dépend de la nature du terrain, la capacité de drainage du sol et la hauteur de la nappe phréatique à étudier par le SPANC absolument.

L’installation de fosses toutes eaux nécessite une expertise pointue de par les contraintes qui surviennent des éléments constituants du sol. La fosse doit être séparée des arbres et arbustes aux racines profondes, doit se situer à au moins cinq mètres de votre habitation, à minimum trois mètres des limites de votre propriété et à plus de quarante mètres de toute éventuelle source d’eau.

Nos experts SARP vous assurent une pose professionnelle bénéficiant de l’expertise de plusieurs années de présence dans l’ensemble du territoire Français. N’hésitez pas à nous contacter pour vos travaux d’assainissement individuels.

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Côté locataire, le sentiment est souvent que la présence de nuisibles indique que le bien loué n’est pas salubre, ce qui doit relever de la responsabilité du propriétaire. Côté propriétaire au contraire, la présence de nuisibles dans un bien loué est souvent ressentie comme indépendante de sa volonté, et donc ne relevant pas forcément de sa responsabilité. De conflits en conflits, la loi s’est affinée pour définir ce qui est à la charge du propriétaire et ce qui est à payer par le locataire. Que vous viviez en appartement ou en maison, que l’infection soit la faute de rongeurs ou d’insectes, nous vous guidons pour retrouver la sérénité.

Infection de nuisibles, qui paye ?

En cas d’invasion de rongeurs ou d’insectes, la loi est très claire dans le cas d’une location d’appartement. Elle est légèrement plus ambiguë lorsqu’il s’agit d’une maison, mais le principe légal reste le même. La loi indique que le propriétaire est tenu de louer un logement décent, et que le locataire est tenu de l’entretenir correctement. Par définition, celui-ci doit donc être salubre, ce qui n’est pas le cas lorsque celui-ci est infesté de souris ou de rats.

Nous vous conseillons quoi qu’il arrive de vous rapprocher de votre mairie et de bien lire votre bail. Les normes et principes d’hygiènes peuvent varier par région et vos représentants locaux sauront vous conseiller sur la marche à suivre. Selon votre bail, la finalité pourra être divisée : le propriétaire devra payer les services d’une société de dératisation (main-d’œuvre) et le locataire les produits utilisés (pièges, poisons, etc.).

L’obligation d’entretien correct

Que se cache-t-il derrière cette obligation qui peut faire pencher la balance entre propriétaire et locataire ? Des règles d’hygiène peuvent exister au niveau des mairies mais la loi ne donne à ce sujet pas d’indication précise. Par contre, il est certain que les conditions d’insalubrité en question sont celles pouvant mener à l’apparition de ces nuisibles. Il est donc judicieux, en tant que locataire, de s’assurer le contrôle d’un niveau d’humidité normal, de prendre soin de ne pas laisser de nourriture à l’air libre trop longtemps, de ne pas laisser s’accumuler les déchets et de régulièrement faire le ménage. Ces réflexes simples garantissent l’hygiène de votre lieu de vie et permettent par ailleurs de réduire le risque que votre logement devienne une cible privilégiée pour les nuisibles.

Si l’infection est devenue trop importante, elle nécessitera une intervention par une société experte en dératisation ou en désinsectisation. Que vous soyez propriétaires ou locataires, n’hésitez pas à nous contacter pour obtenir le conseil avisé d’experts et obtenir un devis gratuit.

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Qui fait les travaux d’assainissement ?

Qui doit faire les travaux d’assainissement d’eaux pluviales et d’eaux usées ? Le propriétaire ou la commune ? 

Vous êtes situé en zone d’assainissement collectif 

Dans ce cas, vous êtes obligé de vous raccorder à ce système. Les travaux d’assainissement de tout-à-l’égout sont en partie à votre charge.

Les travaux de raccordement comportent :

Vous avez la possibilité de demander à la commune de s’occuper des travaux de mise en conformité sur votre terrain. (Toutes les communes n’assurent pas ce service. Renseignez-vous en mairie.) Dans ce cas, vous devrez payer le coût des travaux.

Vous n’êtes pas situé en zone d’assainissement collectif

Vous devez mettre en place un système autonome (fosse septique, etc.). Les travaux d’assainissement de votre maison sont alors entièrement à votre charge.

Si vous voulez vendre votre propriété, celle-ci doit être aux normes. Vous devrez peut-être procéder à des travaux d’assainissement avant la vente de la maison. Renseignez-vous auprès du SPANC (Service public d’assainissement non collectif).

Qui paye les travaux d’assainissement ?

Qui prend en charge les travaux d’assainissement d’un point de vue financier ? Tous les travaux qui relèvent de votre responsabilité sont à votre charge.

Dans le cadre d’un assainissement collectif, si vous demandez à la commune de s’occuper des travaux sur votre terrain, vous payez le coût de cette intervention. Le tarif est fixé par délibération municipale.

Il faut préciser aussi que certaines communes demandent aux propriétaires raccordés au service collectif de payer des frais de participation pour les travaux réalisés sur la voie publique.

À noter : s’il y a un problème avec votre installation individuelle d’assainissement (risques de santé, risques de pollution…), la commune ou la communauté de communes peut réaliser les travaux en recourant à son pouvoir de police. L’intervention vous sera alors facturée. Idem si vous n’avez pas fait le raccordement alors que c’était obligatoire ou si votre raccordement n’est pas conforme.

D’une manière générale, la non-réalisation des travaux peut faire l’objet de sanctions financières. Celles-ci dépendent du règlement de service de la collectivité.

Qui contacter pour un assainissement individuel ou collectif ?

Qui fait les travaux d’assainissement sur votre propriété privée, qu’il s’agisse de l’installation d’un système individuel ou d’un raccordement au réseau collectif ?

Vous avez plusieurs possibilités :

Ces travaux peuvent être complexes s’il faut faire d’importants terrassements, si on doit installer une pompe de relevage, etc. Il est donc recommandé de demander l’intervention d’une entreprise spécialisée. Ainsi, vous êtes assuré de disposer d’un système durable dans le temps, qui ne vous fera pas défaut ! C’est la spécialité de SARP, expert en travaux d’assainissement sur l’ensemble du territoire Français.

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Le niveau d’évacuation des eaux usées de votre maison est situé en contrebas du tout à l’égout ou de votre système d’assainissement autonome. Vous devez donc installer une pompe de relevage pour acheminer ces eaux vers la sortie. Et vous vous demandez : quel est le prix d’une pompe de relevage pour une maison individuelle ? Ce prix se décompose en deux parties : le prix de la pompe en elle-même et le tarif de sa pose. Spécialiste de l’assainissement, SARP vous explique tout.

Le prix d’une pompe de relevage pour maison individuelle à l’achat

Le prix de la pompe de relevage des eaux usées (WC, machine à laver, douche, etc.) d’une maison individuelle dépend de ses caractéristiques :

Ces caractéristiques dépendent elles-mêmes de votre consommation d’eau et de vos besoins. Par exemple, l’intensité en rejet d’eaux, le nombre de pièces de la maison, le type de matériel connecté à la pompe…

La nature des eaux est l’un des éléments les plus importants. s’agit-il :

Dans ce dernier cas, la taille des particules en suspension dans le liquide est également à prendre en considération.

Par ailleurs, la pompe prend place dans un ensemble plus vaste : la station de relevage. Or, la taille de la cuve de la station impacte également le prix de la pompe.

Concrètement, le prix d’une pompe de relevage pour fosse septique ou tout à l’égout peut varier entre 60 et 2 500 € pour la pompe seule (à partir de 500 € pour tous les éléments de la station, c’est-à-dire tuyaux et réservoir compris).

Le prix de l’installation d’une pompe de relevage

Combien pour l’installation d’une pompe de relevage ? Car, maintenant que vous avez l’appareil, il va bien falloir le poser !

Le prix varie là aussi selon divers critères liés cette fois à la nature du terrain :

En effet, il va falloir creuser une tranchée pour amener les eaux usées jusqu’à la pompe, puis faire une fosse dans laquelle tout le système va être enterré. Ce sera beaucoup plus économique si la distance est courte et le sol facile à creuser.

Le coût de pose est souvent compris entre 6 000 et 15 000 €. Ce prix est plus difficile à estimer car il existe beaucoup d’impondérables et parfois d’imprévus liés au terrain. Aucun chantier n’est identique.

Le plus sage pour obtenir le prix d’une pompe de relevage pour une maison individuelle et le tarif de sa pose est donc de demander un devis à un professionnel. Il vous proposera un matériel adapté à vos besoins et vous donnera des chiffres estimatifs réalistes après une visite des lieux.

SARP vous propose des prestations d’installation de pompe et de poste de relevage faites dans les règles de l’art. Contactez-nous pour obtenir un devis !

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La redevance pollution, c’est quoi ?

Qu’est-ce que la redevance pollution ?

C’est une redevance qui a un but clair : inciter les usagers à réduire leur consommation d’eau et son impact sur l’environnement.

Elle est liée à une autre redevance qu’on appelle la redevance pour la modernisation des réseaux. Celle-ci répond aux mêmes objectifs. Elle est calculée sur la base des volumes d’eaux usées soumis à la taxe d’assainissement.

Ces deux redevances sont collectées par l’exploitant du service d’eau potable. Il peut s’agir d’une régie communale, d’un syndicat ou d’un délégataire. Cet exploitant reverse ensuite la somme des redevances pollution et modernisation à l’Agence de l’Eau.

Qui doit payer la redevance pollution ?

Cela dépend du type de redevance pollution dont on parle.

Qui doit payer la redevance modernisation ?

Vous payez la RPOD et la redevance d’assainissement ? Alors, vous devez aussi payer la redevance modernisation des réseaux.

Vous n’avez rien de spécial à faire : c’est l’exploitant du service d’assainissement qui s’en occupe. Il vous facture cette redevance en même temps que la taxe d’assainissement et reverse ensuite la somme à l’Agence de l’Eau.

C’est quoi, la taxe d’assainissement ? C’est une redevance que vous payez lorsque vous êtes raccordé (ou raccordable) au tout-à-l’égout.

En général, toutes ces taxes et redevances sont perçues par votre fournisseur d’eau potable, qui gère à la fois le service de distribution d’eau et celui de l’assainissement collectif. Tout se trouve donc sur votre facture d’eau.

Peut-on être exonéré de la RPOD ?

Vous bénéficiez d’une exonération de la redevance de pollution domestique pour :

Bien entendu, si vous payez la RPOND, vous ne payez pas la RPOD.

La RPOD est calculée en fonction de vos consommations d’eau. Il est donc capital de disposer d’une installation performante et économique et d’éviter les fuites. SARP vous accompagne si vous souhaitez faire des économies d’eau en modernisant votre système de canalisation. Contactez-nous !

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Vous êtes passé d’un chauffage au fioul à un autre système et vous aimeriez réutiliser votre cuve ? La principale option, c’est d’en faire un récupérateur d’eau de pluie, ce qui vous permet d’arroser votre jardin à peu de frais ! Toutefois, l’opération nécessite certaines précautions pour éviter tout accident. Votre entreprise SARP Méditerranée vous explique comment transformer une cuve à fioul inutilisée.

Cuve à fioul inutilisée : danger !

Le premier point à prendre en compte, c’est la sécurité de votre équipement. Il ne suffit pas de faire une vidange. Une ancienne cuve à fioul, enterrée ou aérienne, doit absolument être dépolluée.

Comment dépolluer une cuve à fioul ? Comment la nettoyer pour y mettre de l’eau sans danger ?

C’est une opération dangereuse car il faut rentrer dans la cuve pour récurer ses parois internes. Or, l’atmosphère y est toxique à cause des émanations de gaz. L’intervenant doit absolument porter une tenue spécifique, notamment un respirateur.

Une fois qu’on a enlevé les dépôts de boues et les sédiments, le dégazage commence. On peut utiliser diverses méthodes, selon le contexte (par ventilation, par aspiration, par lavage).

L’opération est à la fois dangereuse et très technique. Il est déconseillé de dégazer une cuve à fioul soi-même. Nous vous recommandons de faire appel à une entreprise spécialisée et agréée pour ce genre d’opérations, comme SARP.

Comment transformer une cuve à fioul en récupérateur d’eau ?

Attention, seules les cuves en métal peuvent être réhabilitées pour contenir de l’eau. Si votre cuve est en plastique, vous devez la combler ou la faire enlever.

La première étape, c’est de vérifier l’étanchéité et l’état global de votre cuve. Inspectez-la sous toutes les coutures. Si vous détectez des fissures ou des trous, comblez-les avec un revêtement en polyester. Ensuite, appliquez un coup de peinture époxy à l’intérieur de la cuve. Cette peinture va protéger les parois métalliques de la corrosion.

Lorsque la cuve est prête, déplacez-la ou enterrez-la à l’emplacement souhaité. N’oubliez pas de mettre un filtre au niveau du raccordement à la gouttière pour éviter l’entrée de feuilles et d’autres éléments étrangers.

Vous pouvez installer une pompe dans votre cuve ou juste un petit robinet à sa base pour rendre votre tout nouveau récupérateur d’eau opérationnel !

Cuve à fioul en PVC : il faut la condamner !

Votre cuve est un PVC ou, pour une raison quelconque, vous ne pouvez malheureusement pas la réhabiliter ? Selon l’article 28 de l’arrêté du 1er juillet 2004, vous avez quand même l’obligation de la vidanger, de la dégazer et de la nettoyer. Vous devez également combler ou retirer le réservoir. Une cuve à fioul vide est un danger en raison des risques de vapeurs toxiques.

Les opérations de vidange, dégraissage, dégazage et nettoyage de cuve à fioul doivent être réalisées par une entreprise agréée. Celle-ci vous fournit un certificat au terme du processus. Vous pouvez aussi lui demander de neutraliser le réservoir par comblement ou découpage et retrait. SARP vous fournit ces services sur l’ensemble du territoire.

Vous savez maintenant comment transformer une cuve à fioul en récupérateur d’eau. Faites appel à SARP pour passer à l’action en toute sécurité !

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Le mode de fonctionnement

La fosse septique n’existe plus. Elle a été remplacée par la fosse-toutes-eaux. Ce système d’assainissement non collectif issu de la filière traditionnelle collecte les eaux usées (eau des WC et eaux ménagères) avant de les prétraiter. Le liquide est filtré avant de subir un traitement par épandage. 

La micro-station d’épuration est un système d’assainissement des eaux usées qui s’inspire du fonctionnement des stations d’épuration municipales. Contrairement à la fosse-toutes-eaux, la micro-station ne dégage pas de mauvaises odeurs. Il s’agit d’une solution tout-en-un : la micro-station assure le traitement des eaux usées, en plus du prétraitement.

La taille et les conditions d’installation du dispositif

La micro-station est un système tout-en-un. Elle se dote d’une cuve composée de 3 compartiments. Avec son format compact, elle est idéale pour les logements disposant d’un petit terrain. Facile à installer, elle n’implique pas de réaliser des travaux de terrassement conséquents. 

La fosse-toutes-eaux nécessite une surface plus importante. Le lit d’épandage, qui assure le traitement final des eaux polluées, doit avoir une longueur minimale de 100 mètres. Concernant la fosse en elle-même, comptez 3 m3 pour une maison de 5 pièces, et 1 m3 par pièce supplémentaire. Enfin, sachez que l’installation d’une fosse-toutes-eaux implique de respecter des distances précises : 3 mètres de l’habitation, 5 mètres de la limite de propriété, 5 mètres des arbres plantés et 35 mètres d’un captage d’eau.

Le coût

Pour une fosse-toutes-eaux, prévoyez un budget compris entre 500 et 2 000 €. Le prix dépend de nombreux paramètres parmi lesquels le matériau de fabrication, la dimension et la capacité des cuves. La micro-station est plus onéreuse, avec un coût de 4 000 à 6 000 € en moyenne. Le prix est également influencé par le volume de la cuve. Il varie également selon le type de technologie utilisée (micro-station à culture fixée ou libre). 

La fosse-toutes-eaux fonctionne sans électricité, contrairement à la micro-station : un détail qui a son importance pour calculer le coût global du système d’assainissement.

L’entretien

L’entretien de la micro-station est plus contraignant que celui de la fosse-toutes-eaux. Vous devrez réaliser une vidange tous les ans, voire tous les 6 mois, pour évacuer les boues. Mais ce n’est pas tout ! Pour que votre micro-station fonctionne de manière optimale, elle doit être sans cesse alimentée en bactéries. Celles-ci sont indispensables pour assurer le processus de décantation. Pour nourrir les bactéries, vous pouvez avoir recours à un activateur biologique.

Cette contrainte, associée au fait que la micro-station fonctionne à l’aide de l’électricité, la rend peu pratique pour les résidences secondaires. 

La fosse-toutes-eaux doit être vidangée également, mais moins fréquemment. Un entretien tous les 1 à 3 ans suffit. Celui-ci est réalisé par un professionnel de vidange de fosse septique comme SARP.

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Le code de l’environnement prévoit deux types de redevances liées à la pollution des eaux usées. Ces redevances sont perçues de façon à financer le traitement de ces eaux par les collectivités, à plusieurs endroits du circuit des eaux usées (exemple : centrale d’épuration des eaux).

Ces deux types de redevances existent afin d’adapter la taxation à des niveaux différents de pollution ainsi que de capacité de mesure par les organismes mandatés.

On distingue ainsi la redevance pollution de l’eau d’origine domestique et la pollution de l’eau d’origine non domestique. Le principe est simple : toutes les personnes éligibles à la redevance pollution sont assujetties à la première sauf à être assujetties à la deuxième.

Le cas de la redevance pollution de l’eau d’origine domestique

La redevance pollution de l’eau d’origine domestique est calculée par rapport au volume d’eau consommé. Sont concernées :

  1. Toutes personnes abonnées au service d’eau potable (sauf celles imposées au titre de l’eau d’origine non domestique) sont concernées, jusqu’à une limite de 6 000 mètres cubes ;
  2. Les personnes abonnées au service d’eau potable dépassant la limite des 6 000 mètres cubes mais dont les rejets d’éléments de pollution sont inférieurs aux seuils liés à la pollution de l’eau d’origine non domestique ;
  3. Les usagers désignés par décret des collectivités territoriales conformément à l’article L. 2224-12-5 du code général des collectivités territoriales ;
  4. Les personnes en possession d’un forage personnel pour leur alimentation en eau, qui mettent en place eux-mêmes un dispositif de comptage de l’eau prélevée.

Le cas de la redevance pollution de l’eau d’origine non domestique ?

La redevance pollution d’origine non domestique concerne tous les cas qui n’incombent pas au précédent. Cette redevance est calculée sur une assiette qui correspond aux rejets d’éléments constitutifs de la pollution, selon une mesure effectuée et agréée par un organisme mandaté par l’agence de l’eau.

Lorsque le niveau théorique de pollution du redevable est inférieur au seuil défini par décret selon www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000041528273 (le même seuil que celui cité dans le cas des eaux d’origine domestique) ou que la pollution n’est pas mesurable, l’assiette d’imposition est calculée de façon théorique. Le calcul s’appuie alors sur le niveau théorique de pollution soustrait des éventuels mécanismes de dépollution mis en place par le redevable ou le gestionnaire du réseau collectif.

Comment s’acquitter de la redevance pollution ?

La redevance est collectée par l’exploitant du service d’eau potable de la commune. Il peut s’agir d’une régie communale, d’un syndicat des eaux ou d’un délégataire. Ce n’est que très rarement que l’agence de l’eau facture en direct le redevable.

C’est par le service de la facturation de l’eau effectuée par l’exploitant qu’est exigible la redevance.

Afin d’assurer la bonne santé de vos eaux et optimiser la facture de votre redevance, n’hésitez pas à faire appel à nos services d’assainissement de l’eau. Nous sommes en mesure d’établir un audit rapide et fiable pour améliorer la performance de votre réseau.

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Quand mettre une pompe de relevage ?

On installe une pompe de relevage quand le réseau d’évacuation ou de traitement des eaux est surélevé par rapport aux conduits de votre maison ou à une zone de votre terrain dans laquelle il y a un phénomène de ruissellement d’eau. Par exemple :

Comment fonctionne une pompe de relevage ?

Une pompe de relevage sert donc à faciliter le transport des eaux usées ou pluviales du bas vers le haut. Elle est toujours associée à une station de relevage. Celle-ci est aménagée juste avant l’élévation de la pente.

La station contient une cuve dans laquelle les eaux sont stockées. Lorsque ces eaux atteignent un certain niveau, la pompe se met en route. Elle aspire le contenu de la cuve et l’envoie dans le tuyau de refoulement, en direction du système de traitement ou d’évacuation. C’est l’énergie électrique de la pompe qui permet aux liquides de remonter la pente.

Quelles sont les démarches à faire avant l’installation d’une pompe de relevage ?

Vous devez demander une autorisation de travaux au SPANC (Service public d’assainissement non collectif). Si vous voulez installer la pompe dans une copropriété, il faut l’accord du syndic.

Demandez conseil à des professionnels afin de construire votre demande d’autorisation. Le dossier doit comporter des éléments techniques précis afin d’être accepté par le SPANC.

Comment choisir une pompe de relevage ?

Il faut choisir un modèle adapté à vos besoins. Par exemple, une pompe de relevage des eaux usées pour une maison individuelle abritant un foyer de quatre personnes n’aura pas les mêmes dimensions et les mêmes capacités qu’une pompe pour une imprimerie. Vous devez prendre en compte :

Soyez très attentif au modèle choisi. Cela vous permettra de profiter de votre équipement sur la durée, sans subir des désagréments qui auraient pu être évités avec une autre pompe !

Qui peut installer une pompe de relevage ?

L’installation d’une pompe nécessite plusieurs types de travaux :

Le recours à un expert spécialisé dans ce type de travaux permet de bénéficier d’une pose soignée et durable dans le temps !

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Comprendre l’assainissement non collectif

L’assainissement non collectif, également appelé assainissement individuel ou autonome, concerne les habitations non raccordées au réseau public de collecte des eaux usées. Il s’agit d’une solution adaptée, en particulier en milieu rural, permettant la collecte, le traitement, l’épuration et l’évacuation des eaux usées domestiques. La mise en place d’un système d’assainissement autonome est encadrée par des normes d’assainissement strictes visant à prévenir les risques sanitaires, protéger l’environnement et préserver les ressources en eau.

Ces normes portent sur les matériaux à utiliser, les configurations et les distances à respecter. En fonction de la capacité de traitement nécessaire, différentes installations peuvent être envisagées, comme la fosse septique, la micro-station d’épuration, le filtre compact ou encore le lit d’épandage. La conformité des installations est contrôlée par le Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC).

Mise en conformité : obligations et contrôles

L’assainissement individuel est réglementé par des normes précises et par des codes bien définis. La mise en conformité de votre assainissement individuel passe par le respect de certaines obligations. Il s’agit notamment d’une vérification régulière de votre installation par le SPANC de votre localité. En cas de vente de votre bien immobilier, un diagnostic d’assainissement est obligatoire :

En cas de non-conformité, des sanctions peuvent être appliquées. Il est donc primordial de faire vérifier régulièrement votre installation par un professionnel.

Le rôle du SPANC dans l’assainissement autonome

Le Service Public d’Assainissement Non Collectif  joue un rôle essentiel dans la régulation de l’assainissement autonome. En tant qu’organisme public, il est chargé de veiller au respect des normes en vigueur. Pour ce faire, il effectue plusieurs missions clés :

La prise de contact avec le SPANC est donc une étape indispensable pour tous les propriétaires d’habitations situées en zonage d’assainissement individuel.

Les normes pour l’assainissement individuel de votre maison

Cette installation est à votre charge. Elle doit permettre le traitement intégral de toutes les eaux usées : eaux vannes (WC) et eaux grises (lavabos, éviers, lave-vaisselle et machine à laver, douche et baignoire…).

Ce système doit comporter :

Ce dispositif doit être agréé par l’État.

Par ailleurs, le système doit être adapté à diverses contraintes :

Avant les travaux, votre projet doit être soumis au SPANC (Service public d’assainissement non collectif) qui donnera (ou non) un avis favorable. Il est donc important de bien concevoir ce projet.

Les règles à suivre pour la vente d’une maison avec assainissement individuel

Pour vendre une maison avec un assainissement individuel, plusieurs règles doivent être respectées.

Premièrement, il est obligatoire de faire appel au Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC) pour réaliser un diagnostic assainissement. Ce document atteste de la conformité de votre installation selon les normes en vigueur. En cas de non-conformité, le vendeur doit informer l’acquéreur qui aura la charge des travaux de mise aux normes.

Deuxièmement, les systèmes d’assainissement individuel doivent respecter les normes NF DTU 64. Pour les filières traditionnelles comme les fosses toutes eaux ou les bacs à graisses, cette norme garantit un traitement efficace des eaux usées.

Enfin, il faut informer l’acheteur de l’état de l’installation d’assainissement. Cela permet de prévenir d’éventuels conflits post-vente liés à un assainissement non conforme.

Les normes à respecter pour l’entretien de votre système d’assainissement non collectif

Une fois que vous avez installé un système conforme, vous devez l’entretenir.  C’est obligatoire, car une installation défectueuse peut provoquer des rejets dans la nature, nocifs pour l’environnement ou la santé des personnes.

Les normes en assainissement individuel imposent une vidange régulière. Elle doit être réalisée par une entreprise qui possède une accréditation de la préfecture. La fréquence de cette vidange dépend du type d’installation :

Comment savoir si son système d’assainissement est conforme ?

Pour déterminer si votre système d’assainissement individuel est conforme, plusieurs critères sont à vérifier.

Les Normes NF DTU 64 : Votre installation doit respecter ces normes qui concernent les filières traditionnelles tels que les fosses toutes eaux ou les bacs à graisses.

Le volume de la microstation d’épuration : Il doit être adapté en fonction du nombre d’habitants de la maison pour un traitement efficace des eaux usées.

Le respect de la loi : Le Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC) impose des règles spécifiques à respecter pour la conception, la construction et l’utilisation de l’installation d’assainissement.

L’évaluation du système par un professionnel : Un contrôle régulier de votre installation par un professionnel est essentiel pour s’assurer de sa conformité.

Enfin, n’oubliez pas que la mise en conformité de votre système d’assainissement individuel est obligatoire en cas de vente de votre bien immobilier.

Le contrôle du système d’assainissement : une obligation légale

Le contrôle de votre installation d’assainissement individuel est obligatoire en diverses occasions :

C’est le SPANC qui s’occupe de ce contrôle. S’il constate des dysfonctionnements, il exigera des travaux de mise en conformité, à réaliser dans les quatre années suivant la réception du diagnostic.

Le contrôle permet l’établissement d’un diagnostic. Un diagnostic daté de moins de 3 ans est indispensable en cas de vente de l’habitation. Vous devez le donner à l’acquéreur de votre maison. Acheteur, n’oubliez pas de le réclamer s’il manque au DDT (Dossier de Diagnostic Technique) ! 

La mise aux normes de votre assainissement individuel se révèle cruciale pour plusieurs raisons. Protéger la santé publique est l’une d’entre elles. En effet, les rejets des eaux usées domestiques contiennent des matières organiques, des nutriments et des micro-organismes pathogènes. Il est donc obligatoire d’avoir un réseau d’assainissement de qualité. 

Un assainissement non conforme peut donc présenter des risques de contamination et de propagation de maladies.

En cas de diagnostic non conforme, la vente est toujours possible, mais l’acheteur doit faire les travaux de mise en conformité dans l’année suivant l’achat de la maison. Cela peut entraîner une négociation à la baisse du prix de l’habitation. 

La réalisation d’un projet d’assainissement autonome est une entreprise technique qui nécessite une expertise et une connaissance des normes en assainissement individuel. Dans le cadre d’un ouvrage de travaux d’assainissement, SARP s’occupe de vos de tous vos projets, tout comme vos opérations périodiques de vidange. Pionnier dans les travaux d’assainissement, notre entreprise propose des prestations pour les particuliers, les professionnels et les collectivités dans plusieurs secteurs.

Pour toutes vos demandes d’installation, contactez SARP.

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Les obligations générales du propriétaire

 

Le bien immobilier doit impérativement être équipé d’un système d’assainissement non collectif, de type fosse toutes eaux. Cette installation doit par ailleurs être régulièrement contrôlée par le service public d’assainissement non collectif (SPANC), qui peut imposer des travaux de réhabilitation en cas de défectuosité ou de mauvais entretien.

 

Le diagnostic d’assainissement non collectif et vente : le rapport Spanc

 

Lors de la vente du logement, le propriétaire est tenu de fournir au notaire un rapport de visite du SPANC, attestant de la conformité de l’installation avec les normes en vigueur. Obligatoire depuis le 1er janvier 2011, ce diagnostic d’assainissement non collectif est annexé à la promesse de vente ou à l’acte définitif de vente, au même titre que les autres diagnostics (plomb, amiante, électricité, performance énergétique).

 

En l’absence de contrôle ou si le contrôle a eu lieu il y a plus de trois ans, le vendeur doit contacter le SPANC local pour établir un rendez-vous de visite à sa charge. La vente du logement n’est pas envisageable sans ce document.

 
Dans le cas où votre maison est raccordée au réseau public de collecte des eaux usées, vous n’êtes pas dans l’obligation de procéder à un diagnostic d’assainissement pour vendre votre bien.

 

Combien coûte un diagnostic assainissement ?

 

Rénovation, frais de notaire, diagnostic assainissement… les frais peuvent rapidement s’accumuler dans le cadre d’une vente de maison. Concernant cette obligation légale de vérification du système d’assainissement non collectif, la facture ne devrait pas excéder les 150 euros.

 

La réhabilitation de l’assainissement non collectif

 

Si le diagnostic d’assainissement pour la vente de la maison indique un dysfonctionnement, les travaux de mise en conformité doivent être réalisés dans un délai d’un an après la signature de l’acte de vente. Le coût des travaux est pris en charge par le vendeur s’ils ont lieu avant la vente, ou par l’acheteur après la vente. Le cas échéant, l’acheteur doit être informé le plus tôt possible, idéalement durant la négociation du prix de vente du bien.

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Comment condamner une fosse septique située sous la maison ?

Vous êtes passé à un système de tout-à-l’égout ou vous avez modifié votre système d’assainissement individuel ? Votre fosse septique située sous la maison n’est donc plus d’aucune utilité. Comment procéder pour vous en débarrasser et éviter les odeurs désagréables et les risques sanitaires liés à cet équipement ?

Parfois, on récupère les fosses septiques pour en faire des citernes de récupération d’eau. Dans le cas d’une fosse située sous la maison, c’est quasiment impossible. Vous n’avez pas envie de détruire du carrelage et des murs dans ce seul but, n’est-ce pas ? La seule solution, c’est donc de condamner la fosse.

Spécialisée en opérations d’assainissement, SARP vous explique comment condamner une fosse septique sous la maison.

1ère étape : vidanger la fosse septique

Dès que la fosse est déconnectée de votre système d’évacuation des eaux, vous devez faire une vidange. C’est la même chose si vous découvrez une fosse septique sous votre maison juste après l’avoir achetée et que celle-ci contient encore des boues (cela arrive assez régulièrement dans le cas de maisons anciennes).

Cette opération permet d’éviter les mauvaises odeurs et la prolifération des bactéries.

Vous devez faire appel à un professionnel agréé comme SARP pour cette opération.

2ème étape : percer la fosse septique

La seconde étape, c’est de percer la cuve.

En effet, une fosse septique possède des entrées en partie haute par lesquelles il existe toujours un risque d’infiltration d’eau. De plus, l’humidité du sol est toujours susceptible de rentrer dans la cuve.

Percer le réservoir permet à l’eau de sortir de la cuve. Si vous ne le faites pas, cette humidité devra bien s’échapper quelque part et vous risquez d’avoir des remontées d’eau dans votre maison.

3ème étape : boucher la fosse septique

Comment boucher une fosse septique ? Ce n’est pas très compliqué. Il suffit de remplir la fosse avec du gravier fin ou du sable. Il faut la remplir entièrement, jusqu’en haut de la cuve. Cette opération est essentielle : elle permet d’éviter tout effondrement du terrain sous la pression de votre habitat.

Un réservoir vide juste sous la maison est un vrai danger en termes de stabilité, surtout dans les zones géographiques sujettes aux mouvements de terrain.

Procédez à cette opération entre le printemps et le début de l’automne. Il faut éviter les périodes de gel car les parois de la cuve risquent de se contracter. Lors du dégel, elles se détendront, le niveau de gravier ou de sable baissera et il y aura un espace vide qui fragilisera les fondations de votre maison.

Comment condamner une fosse septique sous la maison soi-même ?

Vous pouvez vous occuper vous-même des opérations de perçage et de remplissage de la cuve en suivant nos conseils. En revanche, la vidange de fosse septique doit être faite par une entreprise spécialisée.

SARP propose des prestations d’assainissement sur l’ensemble du territoire. Contactez-nous si vous avez besoin de vidanger, condamner ou déplacer votre fosse septique dans le respect de la réglementation.

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Sur les terrains dont la pente n’est pas optimale pour assurer une bonne évacuation des eaux, la pompe de relevage est un équipement indispensable. Cet équipement, qui présente un fonctionnement particulier, destiné à rehausser le niveau des eaux usées des logements non raccordés à l’assainissement collectif doit être entretenu régulièrement pour continuer à fonctionner de manière optimale.

Cet entretien sera également l’occasion de vérifier le niveau d’étanchéité du matériel. Un débordement des eaux usées pourrait polluer vos sols, en plus de diffuser de mauvaises odeurs. Il est conseillé de procéder à l’entretien d’une pompe de relevage des eaux usées 2 à 4 fois par an.

Voici comment procéder.

Les étapes pour entretenir sa pompe de relevage

L’entretien va consister à vider la cuve, nettoyer ses parois, son flotteur et ses filtres, puis effectuer un cycle à l’eau claire avant de la remettre en route. Pour un entretien dans les règles de l’art, voici les étapes à suivre :

Lors de l’entretien, il est indispensable de vérifier l’état des filtres. Ils ne sont pas en bon état ? Vous pouvez équiper la pompe d’un préfiltre et d’un filtre. Le préfiltre va éliminer les plus grosses particules, le second retiendra les déchets de plus petite taille.

En plus de cet entretien, effectuez chaque mois un cycle à l’eau claire pour nettoyer les canalisations. Vous devez vous absenter pendant une longue durée ? Vidangez la cuve avant votre départ, mais aussi à votre retour.

Confier l’entretien de sa pompe de relevage des eaux usées à un professionnel

Les propriétaires disposant d’un système d’assainissement non collectif ont pour obligation de le faire entretenir leur système d’assainissement, conformément à la loi LEMA (Loi sur l’Eau et les Milieux Aquatiques). Vous ne vous sentez pas de taille à effectuer cet entretien ? Confiez-le à un professionnel. Spécialiste dans l’assainissement, SARP assure l’installation et la maintenance des pompes de relevage. Nous procédons en 3 étapes :

Contactez-nous pour effectuer l’entretien de votre pompe de relevage des eaux usées. Nous intervenons rapidement à partir de l’une de nos 150 agences réparties sur tout le territoire. Contrat d’entretien ou intervention ponctuelle, à vous de choisir la formule qui vous convient. Demandez un devis gratuit en ligne.

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Quelles sont les normes d’une fosse septique ?

Une fosse septique, ou fosse toutes eaux, est un dispositif qui permet l’assainissement individuel (traitement des eaux vannes et des eaux ménagères) d’un bâtiment. Celle-ci remplit un objectif principal de protection de l’environnement. En récupérant et en traitant les eaux usées entre ses vidanges, la fosse septique est là pour assurer la sécurité des sols et des personnes. Une eau usée peut en effet devenir un risque de salubrité pour la santé publique, en créant par exemple un gîte à moustiques, ou tout simplement une gêne pour le voisinage (pollution olfactive)

C’est pour assurer le bien-être de tous, et pour protéger les sols de la pollution des eaux usées, que le SPANC (service public d’assainissement non collectif) applique et contrôle les normes définies par l’arrêté du 7 septembre 2009 qui fixe les prescriptions techniques applicables aux installations d’assainissement non collectif.

Est-il obligatoire d’avoir une fosse septique ?

Tout dépend de votre localisation. L’assainissement individuel est une obligation pour tout bâtiment ne pouvant pas être raccordé à un dispositif d’assainissement collectif. Si tel est votre cas, il sera obligatoire de disposer d’une fosse septique ou d’une alternative autorisée (micro stations, filtres).

Cette obligation est justifiée par des besoins de protection de la salubrité publique, de l’environnement, de la sécurité des personnes et de la santé publique. Le contact accidentel avec des eaux usées peut favoriser l’apparition de phénomènes à risques et le dispositif d’assainissement individuel permet d’éviter ces désagréments.

Comment savoir si sa fosse septique est aux normes ?

Les normes en vigueur sont accessibles sur legifrance.fr, via le JORF n°0234 du 9 octobre 2009 . Plus précisément, l’annexe 1 décrit les caractéristiques techniques et les conditions de mise en œuvre des dispositifs d’une installation d’assainissement non collectif.

Cette annexe décrit les critères à remplir à la fois pour les fosses utilisant le sol en place (épandage souterrain ou lit d’épandage à faible profondeur) ou le sol reconstitué (lit filtrant vertical non drainé, filtre à sable vertical drainé, lit filtrant drainé à flux vertical à massif de zéolithe ou à flux horizontal)

Si vous utilisez, ou souhaitez utiliser, un autre type de traitement agréé par les ministères en charge de la santé et de l’écologie, il suffit de se rendre sur la liste des équipements agréés . Pour ces alternatives, le ministère effectue une procédure d’évaluation de l’efficacité et des risques sur la santé et l’environnement pour chaque dispositif

Qui doit mettre aux normes la fosse septique ?

Le respect des normes liées à l’assainissement individuel est un sujet important. L’installation ou la mise aux normes d’une fosse septique requiert l’intervention de professionnels agréés par le SPANC. Lors d’une installation ou d’une mise aux normes, il vous sera nécessaire de consulter votre mairie ainsi que le SPANC dont vous dépendez. Une fois le projet de mise en œuvre monté par vous et la mairie (sur la base d’un relevé topographique des lieux, d’une analyse du sol et d’un relevé de l’existant, il sera soumis pour validation au SPANC. C’est à ce moment, selon le type de travail requis, que le SPANC vous communiquera une liste de professionnels agréés pour effectuer la mise aux normes.

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A l’instar des fourmis, les insectes sont attirés par les miettes et les déchets organiques de la maison. Cafards, mites ou blattes, tous ces nuisibles prolifèrent rapidement une fois installés dans votre foyer.

Comment se débarrasser des blattes ?

Insectes particulièrement nuisibles, les blattes s’attaquent à votre nourriture et souillent la maison sur leur passage, en laissant une odeur désagréable.

Pour se débarrasser des blattes, il faut commencer par nettoyer à fond votre cuisine, ne laisser aucun aliment à l’air libre. Ensuite, il est important de vérifier que l’état des murs de votre garde-manger et de votre cuisine : les trous et infiltrations sont autant de portes d’entrée pour les cafards.

La deuxième phase correspond à l’éradication des nuisibles. Il est important de mener le combat de manière méthodique pour éviter une réapparition prochaine.

Conseils pour prévenir les invasions des punaises de lit 

La punaise de lit est un petit insecte de forme ovale, qui a des conséquences importantes sur la santé et sur la qualité de vie des personnes. C’est l’un des plus anciens parasites que l’homme ait connu. Elle se nourrit la nuit, notamment de sang humain. Elle habite dans des endroits sombres et peu accessibles, surtout dans la chambre à coucher.

Éviter les encombrements

En réduisant le nombre d’endroits où elles pourraient se cacher. Au début de l’infestation, elles se cachent près de la personne qu’elles vont piquer pendant la nuit. Quand l’infestation devient plus importante, les punaises se dispersent et se cachent ailleurs.Outre le sommier, le sofa et le dessous du matelas, voici d’autres cachettes possibles :

Inspecter les meubles usagés que vous rapportez

Avant de rapporter des meubles, articles ou matelas usagés à la maison, inspectez-les minutieusement et nettoyez-les avec un produit désinfectant. Idéalement, traitez-les à la vapeur chaude et gardez-les dans une housse anti punaises si vous n’allez pas vous en servir tout de suite. Si possible, ne rapportez pas des articles abandonnés sur les trottoirs et en mauvais état.

Inspecter les vêtements usagés

Si vous vous procurez des vêtements usagés, inspectez-les avec soin. Pour éliminer les punaises de lit, placez vos textiles infestés dans une sécheuse à très haute température pendant au moins 30 minutes.

Les punaises de lit ont envahi votre logement ? Contactez un professionnel pour une éradication rapide.

Le frelon asiatique et le nid d’abeille : quels dangers ?

Des études ont démontré le caractère invasif du frelon asiatique : il représente un risque pour la biodiversité car il se nourrit principalement d’abeilles. Pour les hommes, la piqûre n’est pas plus douloureuse que celle d’une abeille, mais la présence du frelon est une menace pour l’apiculture et l’écosystème français.

Pour prévenir la nidification de ce prédateur d’abeilles, on peut avoir recours à des pièges à insectes traditionnels. Ce type de pièges attirent aussi bien les frelons asiatiques que les mouches ou les papillons. Par conséquent, il est possible de dérégler l’écosystème au passage.

Pour éviter de vous faire piquer, il est préférable de faire appel à un professionnel. Que vous soyez face à un nid de frelons ou d’abeilles, contactez-nous pour en discuter.

Comment trouver le nid des fourmis et s’en débarrasser ?

Pour repérer un nid de fourmis, il faut suivre le trajet de la colonie et remonter à la source. Si elles disparaissent dans le sol, c’est sans doute que le nid est situé à l’extérieur de la maison. Si elles remontent au mur ou au plafond, c’est que le nid se trouve dans les combles ou l’une des parois.

Certains remèdes de grand-mère peuvent permettre d’éloigner ou de dissuader les fourmis (citron, vinaigre de cidre, épices…). Mais ces remèdes de fortune ne permettent pas d’éliminer la colonie, surtout si l’invasion est massive.

Une méthode, plus efficace mais chronophage, consiste à aspirer un maximum de fourmi et saboter le chemin d’approvisionnement. Il est tout naturel de renoncer à cette méthode archaïque pour privilégier l’insecticide. Mais là encore, il est préférable de faire appel à un professionnel agréé.

Les professionnels peuvent en effet créer un appât avec de la nourriture empoisonnée. L’insecticide liquide contenu dans l’appât sera dispersé par les fourmis dans le nid, ce qui aura pour effet de contaminer toute la colonie.

La désinsectisation chez SARP

SARP peut intervenir partout sur le territoire, en préventif comme en urgence 24/7. Nos experts en assainissement interviennent sur tous types de nuisibles : rats, cafards, frelons,chenilles processionnaires, moustiques, mouches, blattes, fourmis, punaises de lit…

Dans un premier temps, nous établissons un diagnostic et choisissons la méthode d’éradication la plus efficace (fumigation, insecticide, raticide, pièges…). Après éradication, nous établissons un suivi pour prévenir toute prolifération.

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Des rongeurs se sont infiltrés dans votre habitation ou votre entreprise ? Ces nuisibles peuvent occasionner des dégâts importants et nuire à votre santé. En cas d’infestation par des rats, des souris ou autres rongeurs, faites appel à une entreprise de dératisation. Quel est le tarif d’un dératiseur ? Voici ce qu’il faut savoir.

Le prix d’une dératisation « maison »

Certaines solutions sont mises à disposition des particuliers.

Tarif pour se débarrasser de quelques nuisibles

Si l’infestation n’est pas trop importante, vous pouvez vous débarrasser des nuisibles sans faire appel à une entreprise de dératisation. Voici les moyens disponibles :

Renseignez-vous auprès de votre mairie. Certaines proposent de dératiser les logements des habitants de la commune gratuitement.

Tarif pour se débarrasser d’une colonie de rongeurs

Votre logement est envahi par de nombreux rats ? Le poison est votre meilleur allié. Il faut compter entre 10 et 40 euros pour un sachet de mort aux rats. Il est important de bien manipuler ce poison, car il peut être dangereux pour l’homme. En cas de contact, il existe des antidotes, mais il faut agir rapidement.

Le prix d’une dératisation par un professionnel

Un rongeur peut avoir 5 à 7 petits à chaque portée. Après quelques mois, le problème peut rapidement prendre de l’ampleur. C’est pourquoi il est recommandé d’agir dès les premiers signes d’infestation (bruits de grattement, excréments…). Vous avez constaté la présence de rongeurs tardivement et l’infestation est importante ? Faites appel à un professionnel. Le prix d’une dératisation par un professionnel dépend de plusieurs paramètres :

Experts en dératisation, les équipes SARP réalisent un diagnostic à votre domicile afin de vous proposer la solution la plus efficace. Remplissez un formulaire en ligne pour obtenir un devis gratuit.

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Remplacer une fosse septique par une fosse toutes eaux : pourquoi faire ? Est-ce que ce n’est pas la même chose ? Non ! On parle parfois de fosse septique pour une fosse toutes eaux par défaut de langage, mais ce sont deux installations différentes. La fosse septique ne traite que les eaux vannes (WC) tandis que la fosse toutes eaux récolte tous les types d’eaux usées. Si vous avez une « vraie » fosse septique, vous avez tout intérêt à en changer. Entreprise spécialisée en assainissement, SARP vous explique pourquoi !

Ce que dit la loi à propos des fosses septiques








sont interdites à l’installation depuis 2006, mais elles existent encore dans certaines maisons qui ont été construites avant cette date. Dans ce genre de cas, elles ne doivent recevoir que les eaux-vannes et un autre système doit recueillir les eaux usées de l’habitation. Or, ce n’est pas toujours le cas.

C’est pourquoi le SPANC contrôle régulièrement ces installations. Il peut autoriser la conservation du système ou décider de le changer s’il constate que les normes de respect de l’environnement ne sont pas respectées (norme NF DTU 64.1). Cela arrive fréquemment lors de la vente d’une maison.

Si votre maison se trouve en zone d’assainissement collectif, le propriétaire est alors invité à se relier au réseau. Sinon, il doit installer une fosse toutes eaux ou un autre système d’assainissement individuel.

Fosse septique non conforme : amende !

Si le SPANC vous a demandé de remplacer votre fosse septique par une fosse toutes eaux et que vous ne le faites pas dans le délai imparti, vous risquez des sanctions. Elles peuvent prendre différentes formes :

Si, en plus, votre fosse septique entraîne une pollution de l’environnement, vous risquez des sanctions pénales (2 ans de prison) et une amende allant jusqu’à 75 000 €.

Les aides financières pour remplacer une fosse septique par une fosse toutes eaux

Les travaux nécessaires pour cette opération ont un coût élevé qui peut aller jusqu’à 10 000 €. Comptez en effet qu’il faut déposer l’ancienne installation, faire une étude préalable puis poser un nouveau système et payer à la fois la structure et la pose. Un terrain peu propice ou un dénivelé sont autant d’éléments qui peuvent faire gonfler la facture.

Heureusement, le législateur a prévu des aides pour que vous puissiez programmer ces travaux. Elles sont accordées sous conditions de ressources. Ce sont l’éco-prêt à taux zéro, la TVA réduite, etc.

SARP vous accompagne dans le montage de votre dossier de subvention lors des travaux de remplacement de votre fosse septique. Demandez-nous un devis gratuit!

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Le curage d’assainissement : une nécessité pour garder opérationnel le système de canalisations des eaux usées et/ou pluviales dans une collectivité ou une entreprise. Spécialisée dans ce type d’interventions et dans toute la France, SARP vous explique comment ça fonctionne et à quelle fréquence le prévoir.

Le curage d’assainissement : comment ça se passe ?

Pour éviter les tuyaux bouchés, le curage des canalisations est indispensable.

On utilise pour cela de l’eau sous haute pression (entre 50 et 300 bars selon les situations). Le technicien place une buse de curage au bout d’un flexible, puis il l’introduit dans la canalisation pour réaliser le nettoyage.

En général, on commence l’intervention en aval, puis on remonte peu à peu vers l’amont. Au fur et à mesure, les boues sont repoussées jusqu’au regard aval où elles sont pompées. Il peut aussi arriver qu’on procède dans le sens inverse de la circulation de l’eau, pour attirer les boues en amont, dans un regard spécialement aménagé.

Tous les déchets sont récupérés par l’entreprise afin d’être traités, car ils peuvent être dangereux pour l’environnement et la santé.

Ce système fonctionne aussi bien en prévention qu’en opération d’urgence, pour déboucher un tuyau obstrué. On adapte la pression de l’eau et le type de buse au type d’intervention souhaité. Le technicien doit donc obligatoirement faire une inspection préalable avec une caméra pour connaître l’état de la canalisation et choisir le matériel et la technique adaptés.

Pourquoi utiliser un curage de canalisation haute pression ?

L’hydrocurage est efficace car la force de l’eau permet de décoller le tartre, les déchets, les bactéries et les petits objets qui se sont accumulés ou coincés sur les parois des conduits. En plus, grâce à une caméra étanche installée sur la buse, le technicien inspecte tout au fur et à mesure. Il peut guider la progression en s’adaptant à l’état d’encombrement de la canalisation, doser l’avancée de la buse, choisir l’angle d’injection de l’eau, etc.

L’hydrocurage est adapté à toutes les tailles et tous les types de canalisations (PVC, ciment…).

Quand faire le curage des canalisations?

Il est important d’agir en préventif plutôt qu’en curatif. Un entretien régulier permet d’éviter les engorgements et les obstructions.

Parfois, il peut s’agir d’une simple inspection télévisée du réseau. Elle permet de vérifier que tout va bien ou, au contraire, de programmer un curage de maintenance si besoin. Le jet à haute pression peut fragiliser les tuyaux : il faut donc l’utiliser à bon escient.

En cas d’urgence, SARP intervient très rapidement, 24h/24 et 7j/7, pour curer, dégorger et pomper vos réseaux.

SARP procède au curage d’assainissement à la demande des mairies, collectivités territoriales et professionnels du BTP et de l’immobilier sur tout le pourtour méditerranéen. Contactez-nous pour connaître le prix d’un curage de vos canalisations d’eaux usées et/ou pluviales.

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Vous voulez remplacer votre cuve à fioul parce qu’elle est vétuste ou tout simplement pour installer un système de chauffage plus économique et moins polluant ? Entreprise spécialisée dans la dépose et dans l’entretien de cuve à fioul en France, SARP vous donne toutes les informations nécessaires à l’opération.

Dans quel cas le remplacement de la cuve à mazout est-il obligatoire ?

Le fioul n’a plus le vent en poupe, mais vous n’êtes pas obligé de remplacer votre système si celui-ci fonctionne correctement. Par contre, si vous n’utilisez plus votre cuve, vous devez la neutraliser et la combler ou la faire enlever (arrêté du 1er juillet 2004, article 28).

Quelles étapes pour changer une cuve à fioul ?

Que faire pour le remplacement d’une cuve à fioul enterrée ?

On procède de la même façon, mais en privilégiant la solution de la neutralisation. En général, pas de découpe ni d’enlèvement pour les cuves enterrées.

Qui peut dégazer une cuve à fioul ?

Dégazer et enlever une cuve à fioul soi-même est déconseillé. Il y a des risques d’inflammation des gaz et les émanations hydrocarbures sont toxiques pour le corps humain.

Il est plus prudent de faire appel à une entreprise spécialisée dans la gestion de ce type de déchets. À la fin de l’opération, elle vous donnera un certificat de conformité qui garantira que tout a été fait dans les règles.

Quel coût pour enlever une cuve à fioul ?

Le tarif pour l’enlèvement d’une cuve à fioul dépend de nombreux critères : la taille, le matériau (plastique…) et bien sûr l’emplacement. Chaque étape peut avoir un prix bien distinct. La fourchette de prix d’une intervention complète (du dégazage jusqu’à l’enlèvement ou la neutralisation) est de 800 à 1 800 €.

Demandez plusieurs devis et comparez les prix avant de vous décider.

Par quoi remplacer une cuve à fioul ?

Vous ne pouvez plus installer de cuve à fioul neuve depuis le 1er juillet 2022 (décret n° 2022-8 du 5 janvier 2022).

Alors, par quoi remplacer votre cuve à fioul pour le chauffage ? Deux possibilités éco-responsables sont intéressantes car elles donnent droit à des aides de l’État :

Quelque soit votre localité, si vous voulez remplacer votre cuve à fioul, contactez SARP ou demandez un devis gratuit.

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Vous souhaitez mettre en place un système d’assainissement individuel ou le réhabiliter ? Ces travaux ont un coût estimé à 9 000 € en moyenne. La bonne nouvelle ? Vous pouvez compter sur différentes aides financières pour réduire les frais. Zoom sur les subventions pour un assainissement non collectif (ANC).

L’éco-prêt à taux zéro ou éco-PTZ ANC

Récemment mise en place, cette aide à l’assainissement permet d’emprunter jusqu’à 10 000 € sans intérêts pour la réhabilitation d’une fosse toutes eaux, d’une microstation d’épuration ou d’un filtre compact. Quelques conditions doivent être respectées :

Depuis 2019, l’éco-PTZ est ouvert à tous les logements achevés depuis plus de 2 ans, et non plus seulement aux constructions datant d’avant 1990. Notez que les travaux doivent être terminés dans les 2 ans suivants l’émission du prêt.

Les aides de l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH)

Les propriétaires qui souhaitent réaliser des travaux pour mettre en place ou réhabiliter un système d’assainissement non collectif peuvent prétendre aux aides de l’ANAH. Cette aide est octroyée sous conditions de ressources. Elle s’adresse davantage aux ménages modestes. Le montant versé dépend de vos ressources. Elles sont calculées sur base de vos revenus à l’année N-2.

Les aides de la Caisse d’Allocation Familiale (CAF)

Vous n’avez pas droit aux aides de l’ANAH ? Tournez-vous vers le prêt à l’amélioration à l’habitat de la CAF. Cette aide se présente sous la forme d’un prêt au taux d’intérêt de 1 %, remboursable sur une période maximale de 3 ans. Pour y avoir droit, vous devez occuper votre logement à titre de résidence principale et déjà recevoir des prestations de la CAF.

Les subventions de votre Agence de l’Eau et des collectivités locales

Certaines Agence de l’Eau proposent des subventions aux propriétaires d’un réseau d’assainissement individuel, sous conditions. Renseignez-vous auprès de votre agence locale.

La TVA réduite à 10 %

Outre ces aides et subventions, les travaux visant à améliorer ou transformer un système d’assainissement non collectif peuvent donner droit à un taux de TVA réduit à 10 % (au lieu des 20 % habituels). Ce taux préférentiel s’applique tant pour l’installation que pour la mise aux normes et les travaux d’entretien (curage, vidange…) du système d’ANC. Il concerne les logements achevés depuis plus de 2 ans.

Pour bénéficier de cette TVA à 10 %, il est indispensable que les travaux soient réalisés par un entreprise agréée. Si vous choisissez d’acheter vous-même les équipements et de les faire poser par un professionnel, le taux de TVA à 10 % s’appliquera uniquement sur la main d’œuvre.

SARP est votre partenaire pour tous vos travaux d’assainissement. Contactez notre équipe de professionnels pour vos travaux de pose, mise aux normes et entretien d’un système d’assainissement non collectif.

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Des excréments dans votre maison

Votre habitation est jonchée de petits ronds d’une taille comprise entre 3 et 8 mm ? Ne vous méprenez pas, il ne s’agit pas de granulés de chocolat mais bien de crottes de souris. Ces petits rongeurs se déplaçant constamment, vous en trouverez probablement à plusieurs endroits. Si elles se trouvent le long des murs, aucun doute, ces nuisibles y nichent. Pour savoir si les souris sont mortes ou vivantes, autrement dit s’il s’agit d’une infestation active, vous pouvez analyser les excréments. S’ils sont brillants et mous, les souris sont encore dans les parages. Un autre moyen de déterminer si l’infestation est en cours sans se salir les mains consiste à retirer toutes les crottes et à vérifier le lendemain si de nouvelles apparaissent.

Des traces de dents

Câbles électriques rongés, emballages plastiques mâchouillés ou traces de dents sur les meubles sont un autre signe évident de la présence de rongeurs dans votre habitation. Les traces de dents de ces hôtes indésirables sont facilement reconnaissables. Elles forment des sillons parallèles de 1 à 2 mm. Les souris s’attaquent à tout ce qu’elle trouve. Un véritable fléau ! Attention aux risques d’incendie si elles s’en prennent aux câbles de vos appareils électriques.

Des bruits suspects

Vous entendez des bruits suspects durant la nuit ? S’il ressemble à de petits grattements, il s’agit probablement de souris. Elles parcourent votre logement à la recherche de nourriture. Grimpeuse en herbe, la souris est capable de passer à l’étage supérieur via les murs creux. Ces bruits de grattement caractéristiques surviennent généralement après le coucher du soleil.

Des traces de gras sur les murs

En se déplaçant, le petit rongeur rase les murs avec son pelage, laissant une trace grasse caractéristique. La présence de nombreux rongeurs peut donner lieu à des traces mêlant graisse, poussière et urine de souris. Pas très esthétique sur vos murs !

Une odeur typique

Vous avez l’impression qu’une odeur étrange a envahi votre logement depuis quelque temps ? Vous sentez peut-être l’urine des souris. Disposant d’une mauvaise vue, ces rongeurs s’orientent à l’aide de leurs autres sens, dont l’odorat. Pour se retrouver, elles suivent les odeurs d’urine. Chaque famille de souris a une odeur d’urine caractéristique. C’est de cette manière qu’elles arrivent à se reconnaître et délimitent leur territoire. Plus l’odeur est forte, plus l’infestation est importante.

Vous avez constaté un ou plusieurs de ces signes dans votre habitation ? Faites appel à des professionnels pour vous débarrasser rapidement de ces petits nuisibles. Ne tardez pas, les rongeurs se reproduisent très vite ! Expert en assainissement, SARP propose des services de dératisation. Vous aurez le choix entre une dératisation traditionnelle ou mécanique et connectée. Innovante, cette dernière répond à la réglementation européenne en réduisant les biocides, des substances polluantes et de moindre efficacité.

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Un réseau d’assainissement peut présenter des défauts ponctuels au niveau de ses canalisations. Pour consolider durablement ces faiblesses mécaniques, il existe une solution économique et rapide à mettre en place : le chemisage partiel ou manchette. Dans quels cas y avoir recours ? Quels sont les avantages de cette technique ? Explications dans cet article

Le chemisage partiel structurant : mode d’emploi

Le chemisage consiste à placer un revêtement protecteur au niveau d’une canalisation fissurée afin de garantir son étanchéité. Le chemisage partiel structurant est réalisé à partir d’un matelas en fibre de verre d’environ 1080 g/m2. Cette natte est imprégnée de résine. Il peut s’agir de résine polyuréthane ou de résine époxy. Capable de résister aux agressions chimiques, aux PH et aux températures élevées, la résine époxy est privilégiée dans les situations extrêmes.

Ce matelas imprégné de résine est ensuite enroulé autour d’un manchon gonflable, d’où son nom de manchette. Ce manchon est introduit dans la canalisation à réparer, nettoyée au préalable. Il est poussé jusqu’à ce qu’il atteigne l’endroit où se trouve le défaut. L’étape suivante consiste à gonfler le manchon afin de remplir l’espace. Grâce à cette opération, le chemisage partiel adhère à la paroi intérieure du tuyau, permettant la polymérisation de la résine. Après polymérisation complète, le manchon est dégonflé puis évacué du réseau d’égouttage.

Les avantages du chemisage partiel structurant

Le chemisage partiel structurant fait partie des procédés les plus rapides et économiques puisqu’il ne nécessite aucune ouverture de tranchée. Idéale pour prolonger la durée de vie du réseau d’égouttage, cette technique de réhabilitation est très précise : toutes les opérations sont contrôlées par une caméra vidéo. En fin de travaux, cette caméra permet de vérifier que la manchette est parfaitement en place. Des tests d’écoulement sont également programmés, afin de s’assurer de la bonne étanchéité des canalisations réhabilitées.

Chemisage partiel structurant : quelles sont les indications ?

Vous pouvez avoir recours au chemisage partiel dans les cas suivants :

Le chemisage partiel structurant ou manchette peut être utilisé sur des tuyaux d’évacuation d’eau, un gainage de canalisation d’égout, des tuyaux de gaz…

Combien coûte un chemisage partiel structurant ?

Le coût d’un chemisage partiel dépend des matériaux sur lesquels il faut procéder à la réparation et du nombre de mètres de tuyaux à réparer. Les autres paramètres qui influencent le prix du chemisage sont le diamètre de la canalisation et le temps de séchage.

SARP est spécialiste de la réhabilitation des égouts sans gros travaux. Nos prestations comprennent un nettoyage soigné de la canalisation, la réalisation de tests d’étanchéité et la remise d’un rapport d’inspection. Après notre intervention, la canalisation est de nouveau opérationnelle, au bout de quelques heures.

Contactez-nous pour demander un devis. C’est gratuit et sans engagement.

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L’assainissement permet de collecter, évacuer et traiter les eaux usées : les eaux des WC (eaux vannes) et les eaux de la cuisine, du lave linge, etc (eaux grises). L’assainissement peut être collectif ou individuel avec une fosse septique. 

L’assainissement collectif: réseau de collecte et station de traitement des eaux usées

L’assainissement non collectif est un système d’assainissement raccordé au réseau communal, le tout-à-l’égout. L’égout est raccordé à un collecteur qui conduit les eaux usées vers la station d’épuration. Les eaux usées peuvent être traitées avec les eaux pluviales ou séparément. 

La commune assure la collecte des eaux usées domestiques et le stockage, l’épuration et le rejet ou l’utilisation des eaux usées collectées. 

C’est la commune qui décide de la mise en place d’un assainissement collectif. Pour savoir quel type d’assainissement conviendrait le mieux à votre situation, il vous faudra consulter la Mairie de votre commune en demandant le zonage d’assainissement qui délimite les zones d’assainissement collectif et non collectif. 

Quelles sont les missions du service public d’assainissement collectif (SPAC) ?

Le SPAC contrôle la qualité d’exécution du raccordement au réseau communal d’assainissement. Le contrôle est valable 10 ans et est effectué en cas de modification sur un raccordement existant ou en cas de nouveau raccordement. 

Le maintien en bon état de fonctionnement du branchement n’est pas contrôlé par le SPAC mais par le propriétaire. Si le raccordement n’est pas conforme ou si votre logement n’est pas raccordé, le SPAC peut réaliser des travaux de raccordement ou de réhabilitation aux frais du propriétaire. Si votre logement est non raccordable pour des raisons techniques, il sera contrôlé par le service d’assainissement non collectif.

Assainissement collectif: l’obligation de raccordement

Le raccordement des immeubles au réseau public est une obligation applicable à l’ensemble des propriétaires, sauf exception. Pour les eaux usées, cette obligation résulte de l’article L1331-1 du code de la santé publique.

Assainissement non collectif: système d’assainissement individuel ou autonome

L’assainissement non collectif est un système qui n’est pas raccordé au réseau collectif. Si aucune infrastructure d’assainissement collectif n’est disponible près de votre logement, vous devez installer un système d’assainissement individuel. Plusieurs dispositifs vous sont proposés pour l’installation de votre système d’assainissement. Vous aurez le choix entre la fosse septique toutes eaux et la micro station d’épuration. Le système d’assainissement individuel permet de récolter les eaux usées, qui sont par la suite épandues dans le sol. Votre système d’assainissement doit se situer près d’une source ou d’un forage potable.

Quelles sont les missions du service public d’assainissement  non collectif (SPANC)?

Il existe un service public d’assainissement dans chaque commune. Les prestations assurées par le SPANC sont définies par un règlement. Ce règlement remis à chaque usager définit également les obligations de l’exploitant, des usagers et des propriétaires. 

Le SPANC assure des prestations obligatoires de contrôle et des prestations facultatives d’entretien, de travaux ou de vidange. Il contrôle également la conformité des raccordements et des installations. 

Les  missions de contrôle du SPANC consistent à :

La fréquence des visites de contrôle des installations existantes est précisée dans le règlement de service et définie par la commune. Cette fréquence de visite ne peut être supérieure à 10 ans.

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L’hiver et le froid sont bien évidemment synonymes d’augmentation de la consommation du fioul domestique. La facture énergétique explose car la chaudière tourne à plein régime. Isolation du logement, entretien des chaudières, température des radiateurs, qualité du fioul…Nous vous présentons nos astuces et des gestes du quotidien qui vous permettront  de réduire votre consommation de fioul afin d’éviter de faire flamber votre facture énergétique.

Comment bien isoler vos fenêtres et vos portes ?

Si vous habitez un logement ancien, il est probable que la performance énergétique de votre habitation ne soit pas optimale. Les perditions de chaleur n’étant pas négligeables dans un logement mal isolé, il est nécessaire de bien isoler votre habitation afin de réduire votre consommation

Selon le Ministère de la transition écologique, le parc de logement de France est constitué à 75 % de résidences principales dont le DPE est étiqueté E ou moins. Les travaux de rénovation énergétique nécessitant un certain investissement, tous les ménages ne sont pas en mesure d’assumer le coût des travaux, en dépit des aides du gouvernement. 

En plus des coûts de travaux énergétiques, si vous êtes locataire, la décision de réaliser ces travaux revient au propriétaire. 

Voici des petites astuces qui vous permettront d’alléger votre facture énergétique :

Comment régler la température de votre chauffage ?

Afin de limiter votre consommation de fioul, la première chose à faire est de bien régler la température de votre chauffage. Selon l’ADEME ( Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie ), baisser de 1°C son chauffage permet de baisser en moyenne de 7% sa facture énergétique. La température idéale d’un logement étant à 19°C.

Il est également conseillé de baisser la température de votre chauffage quand vous êtes absents : 17°C lorsque vous êtes absents une journée : 14°C lorsque vous êtes absents pendant 2-3 jours et 10°C lorsque vous vous absentez pendant une semaine. Cependant, n’arrêtez pas votre chaudière en cas d’absence car la rallumer consommerait plus de d’énergie que la laisser en marche à faible température.

Pourquoi est-il conseillé d’utiliser un fioul de qualité ?

La qualité du fioul domestique que vous utilisez impacte votre consommation. Un fioul de qualité consomme moins d’énergie, résiste au froid supérieur et a une meilleure combustion. Un fioul de qualité limite également le risque d’encrassement car il dépose moins de sédiments dans la cuve. Enfin, il émet moins de dioxyde de carbone comparé à un fioul ordinaire.

Les équipes de SARP vous proposent également des prestations de nettoyage et d’entretien de cuves à fioul. En effet, une cuve bien nettoyée consomme moins d’énergie et permet de faire baisser votre facture énergétique. 

Nos experts sont disponibles pour intervenir chez vous. Pour toutes prises de contact, remplissez ce formulaire, vous serez recontacté dans les meilleurs délais. 

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Qu’est-ce qu’un séparateur à hydrocarbures et à quoi sert-il ?

Le séparateur à hydrocarbure est un appareil enterré qui sert à piéger les hydrocarbures contenus dans les eaux de ruissellement avant leur rejet dans le milieu naturel. Le séparateur à hydrocarbure est équipé d’un premier compartiment qui retient les particules ( boue ).

Le séparateur est obligatoire dès qu’il y a une présence d’hydrocarbure, sous peine de sanctions pénales pour toutes les installations neuves et anciennes. Il est obligatoire si le propriétaire possède un parking d’atelier intérieur, un parking extérieur, un centre logistique, etc.

Selon la norme européenne EN 858.1 ET 858.2, le marquage CE est obligatoire sur tous les séparateurs à Hydrocarbure. Il doit être mis en place s’il existe un risque de pollution accidentelle ou s’il y a risque de rejets hydrocarburés : exemple lors du nettoyage de pièces huileuses. Les zones de stationnement sont également concernées. 

L’importance de l’installation du séparateur hydrocarbure

L’installation d’un séparateur hydrocarbure permet d’éviter le déversement par rejet ( direct ou indirect ) d’eau ou de liquide contenant du lubrifiant, de l’huile ou toutes traces d’hydrocarbures dans les eaux souterraines et visibles. L’installation d’un séparateur hydrocarbure est donc obligatoire pour tout type d’installation liée à la production, la transformation, le transport ou l’utilisation des hydrocarbures. L’installation d’un séparateur hydrocarbure reste obligatoire même pour les entreprises sortant du cadres des activités citées précédemment, lorsque  l’activité peut provoquer une pollution ( même accidentelle ) et/ou envisager des rejets directs d’hydrocarbures en milieu naturel. 

L’installation d’un séparateur hydrocarbure reste obligatoire pour les stations services, les stationnements de lignes terrestres et pour tous les sites industriels ou le sol peut être contaminé par les produits hydrocarbures.

Pourquoi entretenir régulièrement un séparateur hydrocarbure ?

Entretien de séparateur hydrocarbure _ SARP

Une maintenance régulière et stricte d’un séparateur à hydrocarbure est importante afin d’assurer son bon fonctionnement et éviter. C’est pour cette raison qu’il est fortement recommandé d’effectuer une vidange semestrielle des hydrocarbures et de procéder au curage  annuel des boues et hydrocarbures. Le flotteur installé sur le séparateur hydrocarbure permet de vérifier la situation de l’appareil. Son  rôle est de renseigner sur la quantité de liquide dans le réservoir. Si le flotteur n’est plus visible, cela signifie que l’appareil est bon pour la  vidange. Par ailleurs, comme pour la modélisation et l’installation, l’entretien d’un séparateur hydrocarbure doit être effectué par des experts de l’assainissement. À la fin de l’entretien du séparateur hydrocarbure, un bordereau de suivi de déchets dangereux est fourni afin de pouvoir tracer ces derniers.

Les différentes étapes de l’entretien d’un séparateur à hydrocarbure

Après le contrôle de l’état de vos installations et la réalisation de vos travaux nécessaires à l’entretien de votre séparateur à hydrocarbure, les équipes de SARP vous apportent des conseils indispensables et utiles concernant la bonne utilisation de votre séparateur à hydrocarbure. SARP dispose du matériel agréé et des équipes formées au transport des matières dangereuses.

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Installation et nettoyage du bac dégraisseur.

Pour les professionnels de la restauration, l’installation d’un bac à graisse est obligatoire et réglementaire car les déchets gras alimentaires ne doivent pas être rejetés directement dans les canalisations du réseau d’eaux usées collectif mais doivent subir un pré-traitement.

Le nettoyage du bac dégraisseur est primordial. Il permet d’éviter le dysfonctionnement du bac à graisse et de nombreux désagréments. Une bonne installation et un bon nettoyage du bac à graisse sont donc essentiels. 

Le nettoyage régulier d’un bac à graisse permet de limiter :

Le nettoyage du bac dégraisseur par un professionnel.

Le nettoyage d’un bac à graisse doit être effectué par un professionnel de l’assainissement. Celui-ci utilise une hydro-cureuse à haute pression. La vidange du bac à graisse doit être associée au curage de ses canalisations et doit être effectuée tous les 6 mois à 1 an. A noter que le nombre d’entretien du bac dégraisseur par an dépend de son volume et de l’utilisation des graisses. 

Les étapes de la vidange d’un bac à graisse sont les suivantes :

Pourquoi faire intervenir un vrai professionnel pour nettoyer votre bac à graisse ?

Pour manipuler ou réaliser un réseau d’assainissement, il faut avoir un savoir-faire.  A noter que l’accumulation des bactéries dans les bac à graisse peut favoriser la multiplication de toutes sortes de bactéries. Pour ne pas être exposé à ces bactéries qui peuvent être dangereuses, faites appel à un professionnel équipé et expérimenté. 

Les équipes de SARP mettent tout en œuvre pour que toute intervention se déroule dans des conditions de sécurité optimale, que ce soit pour nos équipes ou pour toutes les personnes aux alentours. 

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L’entretien du bac à graisse permet de pomper et d’évacuer les déchets graisseux collectés dans un centre de traitement. Cet entretien régulier doit être effectué par un professionnel spécialisé. L’entretien du bac dégraisseur permet de le maintenir en état de bon fonctionnement, en évitant les fuites, les odeurs et les bouchons.

Pourquoi est-il indispensable d’entretenir son bac à graisse ?

Un bac à dégraisseur doit obligatoirement être nettoyé par un professionnel agréé. Les professionnels de l’assainissement se servent d’un camion hydrocureur pour vider le bac à graisse et le nettoyer minutieusement. Le réservoir de graisse doit être nettoyé plusieurs fois par an. Le nombre de nettoyage d’un réservoir de graisse dépend du régime auquel il est soumis. 

Afin d’éviter les mauvaises odeurs voire son dysfonctionnement, le bac dégraisseur doit être nettoyé environ entre 2 et 5 fois par an.   

Pendant le nettoyage du bac à graisse, les professionnels évacuent les eaux usées.

Le bac à graisse étant une installation obligatoire pour tous les établissements du secteur de la restauration et des métiers de bouche : restaurant, hôtel,traiteur etc; les eaux usées sont souvent chargées en graisse. Ces eaux ne peuvent pas directement être jetées dans les égouts, car elles peuvent entraîner un encrassement des canalisations, d’ou l’intervention d’un professionnel de l’assainissement.

Tout savoir sur le fonctionnement d’un bac à graisse 

Le bac à graisse permet de récupérer les eaux usées provenant de la cuisine. Il contient deux filtres:

La graisse étant plus légère que l’eau, elle remonte à la surface et les eaux prétraitées seront évacuées par le bas du bac à graisse. Le bac à graisse permet ainsi de chasser les déchets solides, pour que les eaux circulent normalement dans les canalisations.

A quoi sert le bac à graisse ?

Le bac à graisse, aussi appelé dégraisseur, permet de retenir la graisse dans le bac pour que l’eau dégraissée puisse poursuivre son écoulement jusqu’à la fosse septique. L’eau chargée de graisse ira dans le bac. La graisse va flotter au-dessus de l’eau car étant plus légère et va former une couche épaisse au fur et à mesure que le bac à graisse jouera son rôle. Les petits déchets quant à eux, s’entassent dans le fond de la cuve.

Certains bac à graisses possèdent un débourbeur pour éviter l’encombrement de la partie en aval de la circulation d’eau à cause des déchets. Ces derniers se transformeront en une boue visqueuse. Le réservoir de graisse possède une entrée et une sortie d’eau se trouvant à mi-hauteur de la cuve et permettant ainsi à l’eau de circuler entre la couche de graisse en hauteur et la couche de boue se trouvant dans la partie inférieure du bac.

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Pourquoi opter pour un assainissement bio à la maison ? 

Le filtre à coco est une solution écologique d’assainissement non collectif qui permet un traitement de l’eau autonome en énergie et respectueux de l’environnement.

Faisant partie des filières de traitement agréées par les pouvoirs publics, le filtre à coco est un dispositif compact qui s’installe après la fosse toutes eaux à la place du tertre d’infiltration ou du filtre à sable. Les eaux usées sont ainsi pré-traitées par la fosse septique avant d’être acheminées par absorption jusqu’au filtre, qui est composé de petits copeaux de coco.

Ce dispositif d’assainissement durable fait en effet appel à la phytoépuration, soit au fait d’utiliser des plantes abritant des bactéries épuratrices pour traiter les eaux usées. Plus précisément, ce sont les bactéries contenues dans les copeaux de coco qui vont se charger d’épurer les eaux pré-traitées avant qu’elles ne soient rejetées dans la nature ou ne s’infiltrent dans le sol, une fois débarrassées de tous leurs polluants. 

Les avantages de cette fosse septique écologique

Le filtre à coco a de nombreux atouts :

Cependant, il n’est fonctionnel que s’il y a un pré-traitement des eaux usées au préalable. De plus, il est nécessaire de disposer d’une pente de terrain d’au moins un mètre après la fosse, et de remplacer les matériaux du filtre au moins une fois tous les 10 ans.

Les experts de SARP Assainissement sont à votre disposition pour vous accompagner dans l’installation et l’entretien de cette fosse septique bio.

Quel est le fonctionnement de la fosse septique coco ?

Solution écologique d’assainissement non collectif et traitant l’ensemble des eaux usées, le fonctionnement de la fosse septique coco se décompose en deux étapes :

Ces deux étapes permettent la purification des eaux, qui par la suite vont rejoindre le sol. 

Le filtre compact peut être installé dans une habitation secondaire ( une maison occupée quelques semaines dans l’année ). Si vous souhaitez installer le filtre compact dans votre habitation principale, optez pour la micro station d’épuration. Cette solution assure le prétraitement et le traitement ( étapes énoncées plus haut ) des eaux usées en un seul dispositif.

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Les différents atouts de la fosse septique en plastique

En terme d’assainissement, la fosse septique (fosse toutes eaux) en plastique possède de sérieux atouts par rapport aux modèles en béton que ce soit sur le plan de la légèreté ou de la résistance à la corrosion et aux gaz nocifs.

Que faut-il savoir sur la fosse septique en plastique ?

La fosse toutes eaux en plastique est principalement composée de polyéthylène ou de polyuréthanne, même si elle peut bénéficier parfois d’un renforcement en fibre de verre. Ces matériaux ont pour avantage d’être bien plus légers qu’un produit en béton, d’où une plus grande facilité de manipulation et d’installation sur le terrain.

Par ailleurs, le polyéthylène et le polyuréthanne permettent de bénéficier d’une fosse résistante à la corrosion et aux gaz acides, produits naturellement par les eaux usées. L’ensemble des composants de la fosse comme les rehausses, les couvercles et le bac à graisse sont eux aussi proposés avec ces mêmes matériaux, ce qui assure une parfaite étanchéité.

Toutefois, les dimensions proposées sont un peu plus limitées puisque la taille de la fosse en plastique est généralement inférieure ou équivalente à 4000 litres.

Le fonctionnement de la fosse septique en plastique.

Contrairement à la fosse septique en béton qui est lourde et difficile à installer, la fosse septique en plastique est beaucoup plus simple à installer.Nous avons énuméré les grandes étapes du fonctionnement de la cuve en plastique :

La pose de la fosse septique toutes eaux en plastique.

Le prix d’une fosse septique en plastique à l’achat est très abordable, comme son coût de mise en place puisqu’elle ne nécessite pas d’équipements lourds lors de la pose. Pour autant, l’installation et la maintenance de la fosse sont toujours délicates à réaliser par soi-même, d’autant qu’il est nécessaire de respecter les obligations réglementaires et les diverses normes en vigueur.

C’est pourquoi il est préférable de passer par des professionnels dont c’est le cœur de métier comme les experts de SARP Assainissement pour se charger de la pose, de l’entretien et de la vidange de votre fosse en plastique.

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Les contrôles des installations d’assainissement non collectif peuvent être réalisés dans différents contextes et à différentes échéances. Ils se traduisent par la réception d’un rapport de visite ou d’un diagnostic d’assainissement non collectif lors de la vente d’un bien immobilier.

 

Les contrôles de conformité de l’assainissement

 

Tout logement qui n’est pas raccordé au réseau d’assainissement collectif, parce que ledit réseau n’existe pas dans la commune ou parce que le raccordement s’avère trop complexe sur le plan technique, doit être équipé d’une installation d’assainissement individuel. Celle-ci sera contrôlée régulièrement soit par le service public de l’assainissement non collectif (SPANC) local, soit par un diagnostiqueur immobilier agréé dans le cadre d’une délégation de service public.

 
 
 

Les différents types de contrôles des installations

 

Le diagnostic d’assainissement non collectif porte différents noms selon le contexte :

 
 
 
 
 
 

Quelle procédure  suivre à l’issue du contrôle ?

 

Dans les délais fixés au règlement du SPANC, les contrôleurs doivent remettre un rapport de visite au propriétaire de l’installation. Ce rapport doit comporter les éléments suivants : 

 
 
 
 
 
 
 

Afin que votre réseau d’assainissement soit conforme aux normes, SARP intervient au sein de vos immeubles et bâtiments. Nos experts réalisent les entretiens en assainissement non collectif, la vidange de fosse septique et toutes eaux, etc. 

Si vous souhaitez également raccorder votre logement à un réseau d’eau usée collectif des eaux usées, n’hésitez pas à prendre contact avec SARP. 

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Qu’est-ce qu’une micro-station d’épuration ?

 

La micro-station d’épuration est un système tout-en-un d’assainissement non collectif, qui assure un traitement complet des eaux usées du domicile. De quoi s’agit-il ?

 
 
 

Une micro-station d’épuration est un dispositif compact, particulièrement adapté aux petits terrains, qui réalise à la fois le pré-traitement et le traitement des eaux usées. Faisant partie des filières agréées d’assainissement non collectif, cette solution respectueuse de l’environnement a recours à des micro-organismes pour dégrader la pollution, des bactéries dont le développement est favorisé par un apport d’oxygène (via un générateur).

 

La micro-station peut avoir deux configurations :

 

Le modèle à culture fixée où les bactéries sont captives d’un support, et le modèle à culture libre où les bactéries sont placées en suspension dans l’eau.

 

Le fonctionnement d’une micro-station

 

La micro-station d’épuration individuelle est constituée d’une cuve comprenant deux compartiments ou bien de deux cuves, qui sont fabriquées en béton, en polyéthylène ou en polyuréthane. Le premier compartiment (ou cuve) assure la séparation des solides et des liquides, l’homogénéisation des polluants chimiques et organiques, et stocke les boues des eaux usées. Le second compartiment sert de micro-station biologique, dans laquelle l’eau est mise en contact avec des bactéries pour atténuer progressivement sa pollution.

 

Une fois traitées, les eaux sont ensuite rejetées dans le milieu naturel selon différents procédés : infiltration dans le sous-sol, irrigation des végétaux, ou rejet dans un cours d’eau. Le rejet direct ne peut toutefois être réalisé qu’après avoir reçu l’accord préalable du Service public d’assainissement non collectif (SPANC) local, qui va s’assurer de la conformité du dispositif.

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Un enjeu majeur de santé publique

 

L’invasion des rats et des souris dans nos villes et dans nos bâtiments est aujourd’hui un sujet majeur de santé publique. Dans une ville comme Paris, on estime qu’il y a entre 1,5 et 1,7 rat par habitant ce qui représenterait un nombre de 5 millions de rats. Dans une ville comme Montpellier on comptabilise plutôt 1 rat par habitant soit plus de 270 000 rats présents dans la ville.

 

Outre la problématique d’hygiène par les maladies qu’ils transmettent (leptospirose, salmonellose, méningite, etc.) ils s’attaquent également aux matériaux isolants, câbles, gaines, fils électriques, aux tuyaux de gaz provoquant ainsi pannes, courts-circuits et incendies. Les villes et les gestionnaires des bâtiments sont à la recherche de solutions efficaces et durables, pour assurer confort et sérénité aux habitants, aux employés et aux occupants des bâtiments.

 
 

La mise en “pause” des opérations de traitement pendant la période de confinement, l’absence du public ou la nourriture laissée dans les locaux ont pu favoriser la prolifération des nuisibles. La présence de rat peut nuire à la réputation d’un restaurateur, mettre en place un sentiment de malaise ou d’insécurité pour des salariés dans des bâtiments d’entreprise ou encore effrayer les habitants d’un immeuble ou d’un quartier. Pour permettre aux occupants de gagner en sérénité et garantir une hygiène irréprochable, privilégiez des solutions d’éradication professionnelles et réglementaires.

 
 
 

Faire appel à des professionnels pour rassurer durablement la population

 

Les pièges ou les solutions de dératisation ponctuelles et amateurs ne solutionnent pas durablement la problématique d’infestation. Il est indispensable de faire appel à une société spécialisée pour supprimer efficacement les nuisibles.

 
 

Les techniciens hygiénistes ont une connaissance fine des comportements des rongeurs et adoptent des modes opératoires spécifiques. Grâce à une traque méthodique des différentes espèces de rongeurs et une inspection minutieuse des traces de passage, ils peuvent proposer la solution la plus adaptée.

 

Afin d’évaluer le taux d’infestation, ils identifient les endroits sensibles et prennent en compte les aspects encourageant la prolifération : étanchéité des bâtiments, hygiène et nettoyage, emballage des denrées, etc. A l’issue de ce diagnostic, ils choisissent la solution la mieux adaptée à l’espèce à éradiquer.

 
 
 

Choisir des solutions en accord avec la nouvelle réglementation

 

Depuis 2018 en France, suite à l’annonce de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail), il est désormais « interdit de laisser en place en permanence des appâts rodenticides en traitement préventif ». Tous les utilisateurs sont concernés : professionnels et non professionnels, tous les produits sont concernés peu importe le dosage (30 ou 50 ppm), applicable à tous les lieux et usages. L’objectif est d’assurer un niveau de protection élevé pour l’Homme, les animaux et l’environnement en limitant la mise sur le marché aux seuls produits biocides efficaces et ne présentant pas de risques inacceptables.

 

Les boîtes d’appâtage traditionnelles contenant des produits biocides ne doivent plus être utilisées lorsque la présence de rat n’est pas avérée. En cas d’utilisation, un passage tous les 2 à 5 jours doit être programmé et les appâts doivent être retirés au bout de 35 jours. Il est donc préférable de privilégier des solutions mécaniques ou alternatives plus respectueuses de l’environnement. Veillez à ce que votre solution d’éradication réponde à la réglementation récente sur l’appâtage non permanent (Décret 2019-642 et 2019-643) sous peine de recevoir 7500€ d’amende et 6 mois d’emprisonnement.

 
 
 

Des pièges et des capteurs connectés pour éliminer efficacement les rongeurs

 

Cette nouvelle réglementation pousse les entreprises d’hygiène à mettre en place des méthodologies différentes, innovantes et moins toxiques. La dératisation mécanique et connectée est une alternative ou une solution complémentaire à la dératisation classique selon le contexte. Cette approche permet une surveillance 24H/24H et 7J/7J des installations grâce à une gamme de capteurs de détection et de pièges connectés. Grâce à ces capteurs, la solution de dératisation connectée permet d’avoir une vision globale en temps réel de la présence de rongeurs.

 

Les pièges connectés sont placés aux endroits stratégiques de passage pour une éradication plus rapide, plus efficace, durable et écologique. Cette approche permet alors d’éviter l’utilisation d’appâts biocides. Une fois les rongeurs éliminés, des capteurs sont laissés sur la zone pour prévenir de toute nouvelle présence. Le site est alors constamment sous surveillance pour un contrôle optimal et plus de sérénité pour le gestionnaire et les occupants.

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Pourquoi installer une pompe de relevage des eaux usées ?

 

La pompe de relevage pour assainissement non collectif est un outil permettant de rehausser les eaux usées provenant du logement ou de la fosse septique. Elle doit faire l’objet d’un entretien régulier pour s’assurer de son étanchéité et de son bon fonctionnement.

 

Le rôle d’une pompe de relevage pour assainissement est de relever les eaux usées lorsque le terrain du domicile ne permet pas un écoulement normal par gravité. Son installation s’impose entre autres dans les terrains accidentés, ou lorsque le dispositif de pré-traitement ou de traitement ne peut être installé que dans une zone située en hauteur par rapport à l’habitation.

 

La pompe se place selon les situations entre la fosse toutes eaux et la maison, ou entre la fosse et la filière de traitement. Le choix de la puissance de l’appareil va dépendre du débit d’eau, et donc du nombre de pièces principales dans le logement. Soit les mêmes éléments vous ayant amené à choisir le diamètre des canalisations.

 
 
 

Le fonctionnement d’une pompe de relevage sanitaire

 

La station de relevage est composée de plusieurs éléments :

 

une cuve en béton ou plastique, un clapet anti-retour, une canalisation de refoulement, une ventilation de décompression, une ou plusieurs pompes submersibles ainsi qu’une alimentation électrique pour les faire fonctionner.

 

À ce titre, plusieurs types de pompes peuvent être choisies en fonction du positionnement du point de relevage et du type d’eaux rencontrées. Entre l’habitation et la fosse, on procède à l’installation d’une pompe de relevage des eaux chargées ou d’une pompe pour eaux-vannes. Entre la fosse et le dispositif de traitement, on emploie une pompe pour eaux décantées. Enfin, entre la sortie du traitement et l’exutoire, on utilise une simple pompe pour eaux claires.

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Avec la fin du confinement, nous nous sommes tous rués vers toutes ces libertés qui nous ont tant manquées.

 

Il y a en particulier le fait de pouvoir se déplacer comme on veut, revoir nos proches mais également, pour un grand nombre d’entre nous, retourner au travail. Fini le chômage partiel/technique, il faut réintégrer son entreprise en partie en présentiel. Et après tant de temps cloîtré chez soi, difficile de reprendre son quotidien “métro-boulot-dodo” en y intégrant les gestes barrières.

 

Et si nous pensions qu’en retrouvant nos habitudes, tout retournerait à la normale rapidement, nous nous sommes tous bien fourvoyés. Voilà que la propagation du virus redevient le sujet d’actualité et il semblerait que nous n’en soyons pas débarrassés de sitôt.

 

Dans ce contexte, nous vous proposons une infographie qui rappelle comment peut se propager le Covid-19 dans vos locaux professionnels ?

 

De façon synthétique, vous y trouverez la façon dont ce virus peut se transmettre, les facteurs qui favorisent sa propagation, les mesures à prendre pour éviter le retour en masse du virus et enfin les solutions de désinfection qui peuvent considérablement aider à garder un environnement sain dans vos locaux professionnels et ainsi empêcher la multiplication des bactéries liées au Covid-19.

 
 

Les locaux professionnels sont très souvent le théâtre d’un passage permanent avec les employés de bureau, les prestataires extérieurs, les agents d’intervention terrain et les agents d’entretien, entre autres. La propagation du virus au sein de vos locaux professionnels peut aller très vite surtout quand on constate la facilité de transmission du Coronavirus entre les individus.

 

Il suffit d’une personne contaminée pour infecter l’ensemble des salariés et, dans la pire des situations, devoir fermer à nouveau votre entreprise. Pour éviter un maximum les risques de contagion et vous protéger contre un risque judiciaire, effectuer des prestations de désinfection régulières semble être la meilleure solution.

 

Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter. Partout en France, les équipes SARP se tiennent prêtes à vous répondre. En attendant, prenez bien soin de vous et de vos proches !

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Conseils

La saison estivale est lancée pour le plus grand plaisir des restaurateurs mais également des clients qui reviennent profiter des terrasses et des déjeuners au soleil. Le confinement a fait ressortir des plaisirs simples comme celui de se rassembler entre amis ou de déjeuner entre collègues. Les restaurateurs reprennent leur souffle quand ils voient leur salle se remplir.

 

Pour une reprise d’activité en toute sérénité, une attention particulière est nécessaire sur les installations des cuisines, les conduits d’évacuation et ouvrages divers qui assurent le bon fonctionnement d’un restaurant. La saison d’été encourage la prolifération des nuisibles et des moustiques. Pour faire face à cela, des solutions efficaces peuvent vous aider à vous en débarrasser définitivement.

 

Spécialiste de l’assainissement et de l’hygiène des restaurants, SARP accompagne les professionnels de la restauration dans ces problématiques du quotidien.

 
 
 

Une hygiène toujours irréprochable pour votre cuisine

 

Pour commencer, dans votre cuisine, de nombreux facteurs peuvent être générateurs d’inconfort pour vous et vos salariés. Les bacs à graisses, hottes et ventilations, sont autant d’équipements qui doivent être entretenus régulièrement afin de conserver l’efficacité optimale de votre cuisine.

 

Les graisses retenues dans votre bac peuvent finir par durcir et fermenter, ce qui entraîne des odeurs nauséabondes dans votre cuisine. Il est donc essentiel de faire vider régulièrement son ouvrage par des professionnels. Il est d’autant plus important de procéder au pompage le plus tôt possible, pour ne pas avoir à le faire en urgence, en période de forte affluence.

 

Il est également essentiel de penser à l’entretien de ses hottes et ventilations. Un bon nettoyage de ces équipements, c’est la certitude de retrouver une bonne aspiration des vapeurs de cuisine et d’éviter la surchauffe de vos équipements d’extraction. Une surchauffe pourrait déclencher un incendie dans votre cuisine, c’est pourquoi la loi impose un dégraissage régulier des installations d’extraction d’air, afin de garantir la sécurité du personnel et de l’établissement.

 
 
 

Pensez à l’entretien de vos ouvrages d’assainissement

 

Nos experts interviennent également sur vos ouvrages d’assainissement. Des canalisations bouchées, toilettes qui débordent ou encore fosse septique pleine… Autant de désagréments qu’il faut à tout prix éviter, surtout pendant les fortes affluences, ce n’est vraiment pas le moment idéal pour avoir les toilettes hors services, ou bien des odeurs qui embaument toute la salle !

 

En préventif, nous intervenons sur la vidange de votre fosse septique et le curage de vos canalisations. Ces interventions permettent d’entretenir votre réseaux d’assainissement et d’éloigner les risques d’imprévus.

 

Bon à savoir : le service d’astreinte SARP ouvert 24h/7j nous permet d’intervenir rapidement en cas d’urgence à toute heure de la journée ou de la nuit.

 
 
 

Éviter la présence de nuisibles dans votre restaurant : La dératisation mécanique

 

Quoi de pire qu’un rat qui se promène dans la cuisine et effraye les clients en terrasse ? Généralement associés à une mauvaise hygiène, ces nuisibles peuvent causer de nombreux désagréments dans votre restaurant.

 

Les rats sont porteurs de maladie, comme la leptospirose, transmise par leur urine. La présence de rat dans vos cuisines et votre restaurant peut comporter un risque de transmission de cette maladie, si les rongeurs se trouvent à proximité du garde manger par exemple.

 

Les rats présents en terrasse ou en salle peuvent aussi bien faire fuir les clients de votre restaurant, et nuire à votre réputation. Ils laisseront à vos clients l’impression d’une hygiène douteuse et non contrôlée. Or, dans le monde de la restauration plus qu’ailleurs, une mauvaise expérience vécue par le client est souvent partagée, sur internet par exemple…

 

Autant de raisons de se débarrasser au plus vite de ces nuisibles. Spécialiste de la dératisation de restaurants, SARP propose des solutions de dératisation mécanique et connectée, en accord avec la réglementation sur l’appâtage non-permanent. Notre technique innovante assure une surveillance 24H/24H et 7J/7J de vos installations grâce à des capteurs sans fil de détection et des pièges connectés, vous permettant d’éliminer les rats dans votre restaurant en toute maîtrise et sans impacter votre cœur de métier.

 
 
 

Solution de démoustication : La borne anti-moustique

 

C’est bien connu, la température douce des soirs d’été a tendance à attirer les moustiques, d’autant plus si vous vous situez à proximité d’un cours d’eau.

 

SARP propose également des solutions de démoustication pour empêcher ces insectes de nuire aux soirées d’été en terrasse.

 

Notre borne anti-moustique attire les moustiques grâce à un leurre imitant l’odeur humaine. Ceux-ci sont ensuite capturés dans un filet à l’intérieur de la borne. Nos équipes interviennent une fois par mois pour changer le filet ainsi que la bonbonne de gaz, et c’est tout. Vous n’avez plus qu’à profiter de votre tranquillité et laisser nos opérateurs se charger de la démoustication professionnelle de votre restaurant.

 

Expert en assainissement et en hygiène sanitaire, SARP accompagne les restaurants individuels et collectifs depuis de nombreuses années dans ces problématiques. Fort de son expérience et de son ancrage territorial, SARP offre des prestations sur mesure et adaptées à la situation de chaque restaurant.

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Cette période inédite a mis en lumière la nécessité de prévenir les risques de propagation du virus notamment grâce à la désinfection des locaux. Mais comment cela se passe t-il et à quelle fréquence faut il désinfecter ses locaux ?

 

Face à la crise sanitaire que nous traversons actuellement, nous nous devons d’être aussi précautionneux que possible. Port du masque, lavage régulier des mains, absence de contacts et distanciation sociale, maintien du télétravail pour éviter l’afflux trop important de personnes au travail, etc. sont autant de dispositions qui sont entrées dans notre quotidien. Les nouvelles normes d’hygiène en vigueur sont particulièrement rigoureuses.

 

Et chaque entreprise se doit d’être responsable et de les respecter scrupuleusement. C’est ainsi que pour préparer la reprise totale de votre activité mais également en vue de rassurer l’ensemble de vos collaborateurs, il est nécessaire de désinfecter ses locaux. Comment cela se passe-t-il ? Que faut-il savoir sur la désinfection et à quelle fréquence désinfecter ses locaux ?

 
 
 

Est-il obligatoire de désinfecter ses locaux pour l’entreprise ? Si non, pourquoi le faire ?

 

Dans de nombreux secteurs dans lesquels l’hygiène est un point absolument fondamental tels que dans l’agro-alimentaire ou le médical, il est obligatoire de désinfecter régulièrement les différents espaces. Mais avec l’apparition du covid et sa circulation, est il obligatoire de procéder à une désinfection régulière pour les entreprises de tous secteurs confondus ? La réponse est non.

 

En revanche, d’après le code du travail, l’entreprise est responsable de la santé et de la sécurité de ses salariés. Elle doit donc protéger ces derniers des risques de contamination. Cela passe par les différentes dispositions énoncées précédemment mais également par le fait de désinfecter ses locaux. Cela participe à rassurer l’ensemble des salariés et leur garantir un environnement sain. De surcroît, ces mesures visent également à restreindre au maximum la propagation des germes ainsi que leur multiplication.

 
 
 

Quels moyens utilisés ?

 

Désinfecter ses locaux peut s’effectuer par le biais de différentes machines. Selon l’espace à désinfecter, la pulvérisation, la nébulisation ou encore l’atomisation de virucide, bactéricide ou fongicide seront privilégiées. A noter que lorsque vous faites appel à un service de désinfection des locaux, veillez à bien protéger tout matériels sensibles tels que les ordinateurs ou téléphones, entre-autres. Effectuer cette prestation ne vous soustrait pas à l’entretien régulier de vos locaux. Par entretien, on entend le fait de nettoyer l’ensemble des sols et surfaces par votre prestataire de propreté tous les jours.

 

Attention, avec l’apparition du virus Covid 19, un grand nombre d’entreprises se sont créées dans le but de proposer des services de désinfection. Or, les produits utilisés dans ce cadre doivent impérativement respecter les directives françaises et européennes. Il est donc fortement recommandé de se renseigner avant de faire désinfecter ses locaux notamment en vérifiant l’apparition de la norme EN14476, le numéro d’AMM européenne et d’homologation dans le contrat.

 
 
 

Quand et à quelle fréquence désinfecter ses locaux ?

 

En règle générale, il est impératif de désinfecter ses locaux lorsque des cas se sont déclarés en leurs seins. Le contraire serait faire courir un danger important à vos salariés et de ce fait, un risque judiciaire à votre entreprise. Il est tout de même recommandé de le faire à titre préventif, pour limiter un maximum les risques de contamination.

 

Cela dépend du niveau de fréquentation et de passage dans vos locaux. Plus ce dernier est élevé, plus il sera nécessaire de procéder à une désinfection. Dans ce cadre, il convient de rappeler régulièrement aux salariés et autres individus de respecter les gestes barrières, de même que d’être particulièrement rigoureux en termes d’hygiène des mains. N’hésitez pas à pousser les individus à aller se faire dépister ou organiser vous-même une campagne de dépistage dans vos locaux.

 

Désinfecter ses locaux apparaît comme une solution particulièrement efficace pour préserver la santé et la sécurité de vos salariés. Dans ce contexte, SARP possède une offre de désinfection des locaux professionnels. C’est une activité qui n’a jamais eu autant de sens en cette période de crise inédite.

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La restauration collective a progressivement repris son activité dans les entreprises, les milieux scolaires et médico-sociaux après l’avoir suspendue pendant plusieurs mois. La crise sanitaire a profondément modifié les habitudes. La généralisation du télétravail ou l’alternance avec le présentiel sont devenues la norme. La restauration collective a dû adapter ses mesures sanitaires afin de rassurer ses convives pour qu’ils puissent revenir sans risques pour leur santé.

 

L’ensemble des locaux (cuisine et salles) ayant été fermé pendant plusieurs mois, des opérations de maintenance, sur les extractions de cuisine, les ouvrages et réseaux d’assainissement mais également les installations de ventilation et de climatisation sont nécessaires pour une reprise en toute sécurité pour les employés et les convives.

 
 
 

1. Désinfecter régulièrement les espaces communs

 

Après une crise sanitaire de cette ampleur, les consommateurs restent attentifs aux mesures de sécurité mises en place et ont besoin d’être rassuré pour les inciter à revenir au restaurant. La désinfection des locaux, volumes et surfaces, s’intègre dans un plan sanitaire HACCP. Cette opération reste la solution la plus efficace pour prévenir tout risque de contamination.

 
 

Les produits utilisés nécessitent des modes opératoires et du matériel adaptés, des équipements de protection individuelle spécifiques, une formation et une habilitation obligatoire pour les techniciens hygiénistes. Le protocole sanitaire HCR à destination de la profession de la restauration impose d’établir un plan de désinfection en fonction de tout objet et surface susceptible d’avoir été contaminé (en contact avec les mains). De plus, le nettoyage du linge, des serviettes, des tenues de travail doit être réalisé à une température adaptée pour éliminer le Covid-19. Celui des surfaces et des équipements doit être augmenté en fréquence

 

Il est fortement recommandé de faire intervenir une société spécialisée en désinfection professionnelle déployant des solutions adaptées au besoin de la restauration collective :

 

● Désinfection manuelle de points de contact (poignées, interrupteurs, rampes, tables).

 

● Désinfection par voies aériennes des surfaces (DVAS) à l’aide de nébuliseurs pour couvrir des grandes surfaces dans les espaces de restauration intérieurs : projection d’une brume chargée en produit virucide répondant à la norme NF14476 (pas de plantes, pas de contact alimentaire direct).

 

● Désinfection à l’aide de pulvérisateur pour des zones plus localisées.

 

● Désinfection à l’aide d’atomiseur pour les espaces de restauration extérieurs et terrasses.

 

Le conseil SARP : il est recommandé d’attendre au moins 2h avant d’accéder de nouveau aux endroits traités après diffusion d’un produit virucide, bactéricide et fongicide. Privilégiez la technique de nébulisation qui dégage de plus fines gouttelettes que la pulvérisation. La quantité de COV (composés organiques volatiles) dans l’air est moins élevée et permet une meilleure qualité d’air.

 
 
 

2. Effectuer une opération d’extraction de cuisine pour une reprise en toute sécurité

 

Le nettoyage des hottes, gaines, conduits et moteurs est une obligation au regard de la loi (arrêté du 25 juin 1980). En cas d’incendie, l’accumulation de graisses dans votre hotte alimentera le foyer et encouragera la propagation du feu dans le bâtiment. En ce sens, procéder au nettoyage de hotte est une opération qui vous permettra de protéger votre établissement et votre personnel.

 
 

Parmi les équipements pointés du doigt lors de ces drames, la hotte joue les premiers rôles, surtout si elle n’est pas nettoyée régulièrement.

 

Si vous n’entretenez pas votre système d’aspiration, les graisses s’accumulent dans le filtre. Celles-ci étant inflammables, il suffit qu’une source de chaleur s’oriente dessus pour que tout s’embrase.

 

Il est donc indispensable de faire intervenir une entreprise spécialisée pour procéder au dégraissage et au nettoyage hydrodynamique de ces hottes et assurer une sécurité optimale pour vos employés et vos convives.

 

Le conseil SARP : un nettoyage préventif des extractions de cuisine limitera les risques de départs de feu liés à des installations saturées en graisse, d’inconfort lié à une augmentation anormale de la chaleur de cuisine causée par une baisse du débit d’air extrait.

 
 
 

3. Assurer le fonctionnement de ses ouvrages d’assainissement et éviter les mauvaises odeurs

 

Les bacs à graisses permettent la captation des pollutions graisseuses issues de l’activité des métiers de la restauration, avant leur passage dans le réseau d’assainissement. Il a plusieurs fonctions : stocker les graisses, les fécules et autres déchets. La crise sanitaire ayant généré l’arrêt ou la baisse de votre activité, a favorisé la fermentation et la solidification des déchets dans vos installations. Les graisses dans votre bac se sont figées. C’est pourquoi il est d’autant plus urgent de procéder à une vidange et un nettoyage complet de votre bac à graisses et pour garantir le confort de vos clients et éviter les surcoûts non maîtrisés liés à des interventions d’urgence et les mauvaises odeurs dues à la fermentation des graisses. Les résidus graisseux ne peuvent en aucun cas être rejetés aux égouts ou mêlés aux ordures ménagères, ils doivent être collectés et traités par une entreprise spécialisée.

 

Des ouvrages n’ayant pas été contrôlés et nettoyés depuis plusieurs mois tels que les postes de relèvement, les réseaux d’assainissement, peuvent également s’obstruer et tomber en panne à tout moment générant de graves inondations et nuisances olfactives. La remise en route de vos installations requiert l’expertise d’un professionnel qui permettra d’identifier rapidement les points noirs et vous préconiser la solution la plus adaptée pour une remise en route optimale de vos installations. Ne risquez pas l’apparition d’une fuite, d’un débordement, de mauvaises odeurs ou les émanations de gaz toxique (H2S).

 

Le conseil SARP : L’entretien régulier du bac à graisses conditionne son efficacité. Si le bac à graisses n’est pas vidangé et curé régulièrement, le rendement du bac sera en forte diminution voire nul car il ne retient plus les graisses et va même parfois larguer partiellement les graisses déjà captées. Une gestion optimale suppose de réaliser une vidange par mois. Il est fortement conseillé de passer un contrat d’entretien avec une société spécialisée pour assurer une maintenance régulière du bac.

 
 
 
 

4. Assurer une qualité de l’air optimale

 

L’ARS Auvergne-Rhône Alpes a rappelé un certain nombre de recommandations pour une qualité d’air optimale et pour limiter la circulation du virus dans l’air dont « Le renouvellement régulier de l’air dans tous les espaces clos au moyen d’une aération (ouverture des fenêtres) et/ou d’une ventilation naturelle ou mécanique est nécessaire, quel que soit le contexte ».

 
 

Il est donc important de faire vérifier le bon fonctionnement des orifices d’entrée et de sortie d’air (grilles d’aération, conduits à tirage naturel…) et de l’ensemble du système de ventilation par des experts. Vos conduits ont pu s’encrasser pendant la période d’inactivité, prévoyez donc un nettoyage et un dépoussiérage de vos conduits.

 

Le conseil SARP : La reprise d’air dans les conduits peut favoriser les risques pathogènes. Evitez donc ces reprises d’air et favorisez l’air neuf pour limiter la circulation des éléments contenus dans les conduits. Les grilles d’arrivée d’air, les réseaux de VMC, la climatisation doivent être nettoyés et ou désinfectés afin d’assainir l’air respiré.

 

Enfin, la mise en “pause” des opérations de maintenance et de traitement, l’absence du public ou la nourriture laissée dans les locaux ont pu favoriser la prolifération des nuisibles (cafards, blattes, rongeurs, etc.). La présence de rat peut faire fuir les clients et nuire à votre réputation. Pour permettre à vos convives et votre personnel de gagner en sérénité et garantir une hygiène irréprochable, privilégiez des solutions d’hygiène efficaces et réglementaires.

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Conseils

Afin de protéger ses salariés et collaborateurs face au coronavirus, un employeur doit mettre en place, suivre et contrôler, toutes les mesures nécessaires pour parer la propagation et le développement du virus.

 

Pour rappel, un employeur est responsable vis à vis de la loi de la sécurité et de la santé de ses salariés lors de l’exercice de leurs fonctions. Dans cette logique, il doit tout mettre en oeuvre pour évaluer les risques liés au Covid-19 et appliquer les mesures nécessaires pour y faire face. Dans le contexte actuel, les risques de contamination viennent considérablement bouleverser les habitudes d’une organisation et les protocoles sanitaires jusqu’ici mis en place et aujourd’hui devenus insuffisants.

 
 
 

Avant toute chose, l’employeur doit passer en revue tous les cas / circonstances où un salarié pourrait potentiellement être exposé au coronavirus. Une fois cette étude réalisée, plusieurs options se présentent à lui.

 

Le ministère du travail dresse la liste suivante des premières dispositions à prendre :

 

1. Favoriser le télétravail dès que celui-ci est possible.

 

2. Repenser l’organisation du travail avec comme objectif l’application et le respect des gestes barrière et notamment les règles de distances sociales fixées à un mètre minimum. Concrètement, cela revient à espacer les bureaux et revoir leur configuration, à mettre du savon et/ou du gel hydroalcoolique à disposition des salariés et en quantité suffisante, à opter pour les visioconférences, à instaurer un système de roulement au sein des effectifs pour limiter les présences “en masse”, à interdire les regroupements du personnel dans les espaces réduits comme les salles de repos par exemple, etc.

 

3. Sécuriser les équipements et les espaces de travail. Pour satisfaire cet enjeu, plusieurs mesures peuvent être prises : attribuer du matériel pour éviter les usages par plusieurs personnes, séparer les bureaux à l’aide de parois en plexiglas, aérer les bureaux et les espaces de travail régulièrement et aussi souvent que possible, apposer une signalétique au sol pour guider et assurer les distances de sécurité, etc.

 

4. Informer les salariés, visiteurs, usagers et clients sur les nouvelles consignes sanitaires au sein de l’établissement. La communication en cette période est primordiale. Elle conditionne l’efficacité du dispositif mis en place. Affiches, vidéos de sensibilisation, communications papiers sont autant de supports pertinents pour transmettre les bons messages.

 

5. Désinfecter toutes les zones accueillants des salariés et visiteurs et toutes les surfaces / points de contact exposés au virus. Nous nous attarderons sur cette problématique quelques lignes plus bas.

 
 
 

Un cas est suspecté ou avéré au sein de l’entreprise ?

 

Dès lors qu’un cas est détecté ou suspecté au sein d’un établissement, l’employeur doit avant toute chose renvoyer le salarié à son domicile. Pour rappel, les principaux symptômes sont les suivants : toux, fièvre, essoufflement et fragilités respiratoires. Si les symptômes s’avèrent sérieux, la personne doit sans attendre contacter le 15. Un pré-diagnostic sera alors réalisé pour évaluer l’état de la personne présentant les symptômes.

 

Les autres salariés de la société avec qui cette personne a été en contact, ou aurait pu être en contact, doivent immédiatement être informés. Une campagne de désinfection est alors fortement recommandée dans l’ensemble des locaux et des espaces de travail fréquentés par la personne pour qui la contamination est avérée. A minima, il est nécessaire de procéder à la désinfection manuelle du poste occupé par le salarié concerné (désinfection du clavier, de l’écran, du bureau, du téléphone, etc.). Mais cela reste insuffisant.

 
 

En effet, la désinfection des locaux et surfaces reste la solution la plus efficace. Elle vient en complément du nettoyage classique et traditionnel pour garantir les meilleures conditions sanitaires dans un établissement accueillant du public.

 

Pour une protection renforcée et durable, la désinfection professionnelle doit s’inscrire dans la durée. En termes de désinfection, il est nécessaire de distinguer deux types d’intervention : celle manuelle et celle “mécanique”, réalisée à l’aide de nébuliseurs, pulvérisateurs ou atomiseurs.

 

La désinfection manuelle concerne principalement les points de contact c’est à dire toutes les surfaces susceptibles d’avoir été en contact avec le virus (poignées, interrupteurs, combinés de téléphones, boutons d’ascenseurs, rampes d’escaliers, boutons de distributeurs,…). Pour la désinfection manuelle, il est recommandé d’utiliser des produits à la fois bactéricides, fongicides et virucides.

 

Pour une désinfection optimale, l’action ne peut pas être uniquement manuelle.

 

Pour un traitement complet, une désinfection par nébulisation, pulvérisation ou atomisation est à prévoir. La nébulisation, via la projection d’une brume chargée en produit virucide, permet de couvrir l’ensemble d’une pièce, du sol au plafond, de manière parfaitement homogène. C’est l’unique moyen de s’assurer qu’un volume a été traité dans son intégralité.

 

En résumé, pour protéger ses salariés du coronavirus, un employeur doit avant toute chose évaluer les risques afin de mettre en place les mesures adéquates pour éviter / limiter la propagation du virus. L’objectif vise également à rassurer vos clients, s’ils sont accueillis en vos locaux.

 

Ces mesures visent essentiellement à garantir le respect des gestes barrière. En complément de ces mesures, pour une sécurité sanitaire renforcée, il est nécessaire de définir un plan de désinfection quotidien constitué d’interventions dites manuelles et d’interventions plus professionnelles comme la nébulisation. Les professionnels SARP, experts en désinfection de locaux, peuvent vous accompagner dans le renforcement de vos mesures sanitaires.

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Après cette période de confinement, nous arrivons vers une nouvelle phase. Les commerces rouvrent petit à petit, nous pouvons sortir librement dans le rues, le travail reprend pour certains d’entre-nous.

 

La sortie de déconfinement ne signifie pas la fin du Covid-19. Celui-ci est toujours présent et représente encore un risque pour chacun d’entre nous. Il faut donc réussir à concilier notre nouvelle liberté et l’application des gestes barrière, nécessaires pour rester en sécurité.

 

S’il est conseillé pour beaucoup de rester chez soi et de faire du télétravail, pour d’autres, un retour au bureau est nécessaire à l’exercice de leur activité. Mais alors, quels sont les risques encourus lors d’un retour au travail ?

 
 
 

Les risques de contamination du Coronavirus dans les transports en commun

 

Tout d’abord, la majorité des personnes retournant au travail aura besoin d’utiliser les transports en commun. Ceux-ci constituent un premier risque de contamination. En effet, de par la proximité avec les autres usagers et les différents éléments que l’on touche fréquemment, les transports en commun comportent de nombreux risques de contamination. C’est d’ailleurs pour cette raison que le port du masque est obligatoire lorsqu’on les emprunte. Cela réduit le risque de contamination par voie aérienne.

 

Pour limiter ces risques de propagation du coronavirus, une désinfection régulière des transports en commun est nécessaire. Il est d’autant plus important d’insister sur les différents points de contact tels que les barres d’appui, les boutons d’ouverture des portes, les poignées, les sièges… Ce sont des endroits manipulés par de nombreuses personnes, c’est pourquoi ils sont à privilégier. De plus, les transports en commun tels que les bus, tramway ou métro étant des espaces confinés, une désinfection par nébulisation sera efficace pour traiter l’intégralité des wagons.

 

Les bons gestes à adopter : Pensez à vous désinfecter les mains en entrant et en sortant des transports en commun. Ainsi, vous vous protégez vous même, en plus des autres usagers. Évitez également de toucher votre masque, ou votre visage.

 

Vous pouvez aussi bien utiliser d’autres moyens de transport. Si votre trajet vous le permet, privilégiez la marche ou le vélo pour vous rendre au travail.

 
 
 

Les risques de contamination sur le lieu de travail

 

Les risques liés au rapprochement social

 

Les risques encourus en retournant sur votre lieu de travail ne s’arrêtent pas au trajet. Dans ces locaux que vous fréquentez quotidiennement, vous allez entrer en contact avec d’autres personnes. Partager un même bureau, discuter à la machine à café, manger au réfectoire, le retour des réunions physiques entre collègues, les rendez-vous avec les clients… Toutes ces rencontres sont des risques potentiels de transmission du coronavirus. La transmission par voie aérienne et projection de gouttelettes est un des plus grands risques de contamination. Il est essentiel de garder vos distances avec votre entourage (au moins 1 mètre) et de porter un masque.

 

Les risques de contamination indirecte

 

Vos locaux, par eux-mêmes, peuvent aussi comporter un risque de contamination. Si ceux-ci ne sont pas désinfectés régulièrement, le virus peut être présent après le passage d’une personne infectée. En effet, le coronavirus à une durée de vie pouvant aller de 24h à 72h sur les surfaces solides et non poreuses comme le plastique par exemple. La contamination indirecte est donc possible sur différents éléments comme une poignée de porte, une machine à café ou encore une photocopieuse. Il est donc conseillé pour la sécurité des salariés d’avoir recours à une désinfection des locaux avant la reprise, mais aussi par la suite de façon régulière.

 

Afin de vous protéger ainsi que vos collègues, lavez-vous les mains régulièrement et évitez d’emprunter du matériel à votre entourage, ce qui pourrait favoriser la propagation du virus covid-19.

 

La désinfection intérieure pour prévenir des risques d’infection

 

Pour faire face à ces différents risques, SARP propose tout un panel de solutions de désinfection intérieure. Notre équipe d’experts effectue une analyse de vos locaux puis procède à une désinfection adaptée afin de limiter au maximum les risques de contamination.

 

Celle-ci, accompagnée de l’application des gestes barrières et d’un comportement responsable de chaque individu, permet de réduire considérablement les risques de transmission du coronavirus.

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La survie du SARS-CoV-2 (COVID) dans l’environnement peut être de quelques heures à plusieurs jours, selon le type de support, l’humidité résiduelle ou encore la température. La transmission des coronavirus à partir de surfaces contaminées n’a pas été prouvée même si elle ne peut être exclue.

 

Les opérations de désinfection à l’intérieur des bâtiments, dans les entreprises ou les écoles, comme à l’extérieur sur les voiries ou le mobilier urbain, se multiplient. Pour limiter la propagation du virus, il est conseillé d’utiliser des produits virucides suivant la norme NF EN 14476 et d’effectuer la désinfection des espaces régulièrement.

 

Déployées en intérieur ou en extérieur, quels sont les impacts de ces opérations de désinfection sur la santé et sur l’environnement ?

 
 
 

La désinfection intérieure, quels impacts sur notre santé ?

 

Des mesures strictes mises en place avant, pendant et après l’opération de désinfection

 

Les employeurs ont pour obligation légale de « prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et la santé des salariés” rappelle le ministère du Travail. Les crèches et les écoles doivent également respecter de nombreuses règles sanitaires. La plupart des opérations de désinfection sont effectuées par des sociétés spécialisées en hygiène sanitaire qui sont formées et habilitées pour désinfecter efficacement ces espaces intérieurs.

 

Pour limiter la propagation du virus, des produits virucides (norme NF EN 14476 juillet 2019) sont utilisés car ils permettent de détruire les pathogènes nuisibles éventuellement présents sur la surface traitée mais n’ont aucune action préventive. Une surface désinfectée peut être contaminée après le traitement si les règles d’hygiène ne sont pas suffisantes. Pour une efficacité optimale, les professionnels de l’hygiène sanitaire élaborent un plan de désinfection, adapté à l’espace concerné, qui déterminera la fréquence des interventions à prévoir. Des modes opératoires spécifiques sont mis en oeuvre par des opérateurs formés.

 

Chez SARP, spécialiste de la désinfection, tous nos techniciens hygiénistes portent des équipements de protection individuels (EPI) renforcés adaptés à la prestation et aux produits utilisés : combinaison cat 3, masque complet ABP3, gants jetables, bottes.

 

Un suivi en temps réel de la qualité de l’air pour prévenir les risques pour la santé

 

La désinfection des locaux s’effectue soit manuellement avec des chiffons ou lingettes inhibés de désinfectant, soit par pulvérisation ou nébulisation sous forme de jet ou de brouillard. L’opération doit donc être effectuée en l’absence de public et un temps d’attente conforme aux prescriptions des produits utilisés doit être respecté avant accès.

 

La ventilation et l’aération des lieux de travail jouent un rôle essentiel pour limiter la concentration de l’ensemble des vapeurs et composés organiques volatils (COV) dans l’air ambiant. Les évacuer des locaux permet de respecter les valeurs limites d’exposition et éviter ainsi les conséquences sur la santé des travailleurs. “En l’absence de contact direct, les effets secondaires sont très limités dès lors que les produits sont appliqués en l’absence de public » explique Jérôme Langrand, chef de service au centre anti-poison de Paris.

 

Entre les opérations de désinfection, il est essentiel de s’assurer du maintien d’une bonne qualité de l’air intérieur. Des solutions de suivi en temps réel existent pour contrôler les concentrations de particules fines, de composés organiques volatils, et le confinement (CO2) qui sont les indicateurs clés d’un bon renouvellement d’air.

 

La solution AIR Control de Veolia par exemple permet un suivi en continu de la qualité de l’air dans les bâtiments. Outre les aspects sanitaires, la bonne qualité de l’air intérieur augmente la productivité pour les salariés.

 

Exemple de suivi des COVt après pulvérisation de désinfectant :

 
 

Pour en savoir plus : www.ofis.veolia.com

 
 
 

La désinfection des espaces intérieurs est-elle risquée pour l’environnement ?

 

Un dosage maîtrisé et adapté pour protéger l’environnement

Chez SARP, spécialiste de l’hygiène sanitaire et environnementale, les opérateurs hygiénistes effectuant l’opération de désinfection, hors hopitaux, utilisent des produits virucides avec un niveau de concentration très faible allant de 1 à 3%, mais suffisant pour éliminer toute trace de virus sans porter atteinte à la santé des occupants. Des modes opératoires spécifiques formalisés sont appliqués et les équipes sont formées pour limiter les risques pour la santé et l’environnement.

 

Il n’y a aucun déchet liquide issu des opérations de désinfection étant donné que les liquides sont appliqués, pulvérisés ou diffusés. Les vapeurs, restées en suspension dans l’air, sont évacuées grâce à l’aération des pièces et aux systèmes de ventilation. La dose de virucide, qui se retrouve ventilée vers l’extérieur, est trop faible pour avoir un quelconque effet néfaste sur la santé ou l’environnement.

 

Les autres déchets comme les équipements de protection individuels (EPI) à usage unique, les gants, les lingettes, les papiers absorbants, les bandeaux de lavage, sont isolés dans un sac poubelle fermé hermétiquement puis jetés dans le respect des réglementations applicables et selon le protocole national de déconfinement publiée le 3 mai 2020 pour le ministère du travail.

 
 
 

La désinfection extérieure, quels impacts sur notre santé ?

 

Cibler la désinfection à proximité des secteurs très fréquentés

 

Certains pays comme la Chine et la Corée du Sud ont déjà mis en oeuvre un nettoyage et une désinfection des espaces extérieurs à base de javel et utilisent pour cela des camions de nettoyage sous pression. C’est une pratique désormais courante même si elle ne permet pas d’éliminer complètement le coronavirus a averti l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Certaines villes préfèrent donc se concentrer sur la désinfection du mobilier urbain dans les espaces les plus fréquentés pour réduire les risques de contamination.

 

Le HSCP (Haut Conseil de la santé publique) recommande de continuer d’assurer le nettoyage habituel des voiries et d’assurer le nettoyage et la désinfection à une fréquence plus régulière du mobilier urbain : bancs publics, rampes, abribus, poubelles, à proximité de secteurs très fréquentés comme des centres de soins, hôpitaux, pharmacies, commerces alimentaires, transports en commun. La persistance du SARS-CoV-2 sur les surfaces du mobilier urbain est possible et étroitement dépendante des conditions climatiques (température, humidité résiduelle, UV), de présence de liquide biologique et la charge virale est décroissante au cours du temps.

 
 
 

La désinfection des extérieurs est-elle risquée pour l’environnement ?

 

Une évaluation des risques indispensable avant toute opération

 

Le risque environnemental d’une substance dépend de la toxicité de la substance et de l’exposition des milieux naturels à celle-ci. Pour évaluer le risque environnemental de la désinfection extérieure, il faudrait construire un scénario d’exposition quantitatif qui nécessiterait de croiser plusieurs éléments qui ne sont pas toujours connus : la quantité de produit appliquée, la connaissance détaillée de la structure des réseaux d’eaux usées et pluviales dans lesquels serait rejeté le produit et les informations sur la proximité des zones traitées avec une rivière ou un rivage marin. Si un tel traitement de la voirie était appliqué, il conviendrait de ne pas l’appliquer aux abords immédiats de ports, de rivières ou autres milieux aquatiques si le ruissellement peut se faire directement dans le milieu sans traitement préalable.

 

Le type de produits utilisés a également son importance : des produits répondant à la norme virucide (NF EN 14476 juillet 2019) sont à privilégier par rapport à d’autres produits comme l’hypochlorite de sodium (eau de Javel). C’est un désinfectant facile à utiliser et peu coûteux mais à éviter à cause de ses effets toxique et corrosif. De plus, l’usage régulier de l’eau de javel favorise les bactéries résistantes et la diminution de l’immunité.

 

Le HCSP précise qu’un risque environnemental existe, même s’il serait « faible, voire très faible », et qu’il est « difficile d’estimer les risques liés à la dispersion de sous-produits de la chloration ». Si de l’hypochlorite de sodium (eau de javel) ou un autre agent libérant du chlore actif libre à des doses non excessives et non agressives est appliqué sur les rues et passe par un réseau d’eau pluviale, il est quasiment impossible que le produit arrive en tant que substance active dans le milieu naturel pour peu que le réseau soit long. S’il passe par un réseau d’égout, il aura été neutralisé avant d’arriver à la station d’épuration.

 

Que ce soit en intérieur ou en extérieur, la manipulation de produits virucides et leur diffusion nécessite l’intervention de personnes formées, sensibilisées aux risques et habilitées à effectuer une opération de désinfection. Une désinfection professionnelle, en accord avec les instances représentatives de la santé publique et respectueuse de l’environnement, doit donc se faire par des professionnels de l’hygiène sanitaire. Ils sont habilités à appliquer des modes opératoires stricts et respectant une charte environnementale adaptée à ces opérations délicates.

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Conseils

Le déconfinement tant attendu a enfin eu lieu; les clients devraient se faire plus nombreux dans vos entreprises au cours des prochaines semaines. Afin de les rassurer et de les accueillir dans les meilleures conditions, certaines mesures de protection anti-coronavirus sont essentielles.

 
 
 

Réaliser une désinfection générale des locaux avant ouverture au public

 

Avant d’accueillir à nouveaux vos clients, il est essentiel de réaliser une désinfection totale de votre point de vente. Pour cela, plusieurs méthodes existent en fonction de la nature du local. Après analyse de la configuration de celui-ci, un professionnel élaborera un plan de désinfection qui déterminera quelle stratégie adopter pour éliminer tout risque d’infection Covid-19.

 

La méthode par pulvérisation est préconisée pour les établissements nécessitant d’appliquer le produit avec précision ; c’est le cas des commerces présentant des produits sur des étalages.

 

La désinfection par nébulisation se montre très efficace pour traiter les grands volumes : entrepôts, concessions et même transports publics…

 

Enfin la méthode manuelle permet de désinfecter un à un les points de contact et permet une application minutieuse y compris sur le matériel électronique : banques d’accueil, bureaux, fauteuils, paniers, matériel informatique, caisses, bornes de commandes…

 
 
 

Protéger ses salariés du Coronavirus, un geste qui rassure également ses clients

 

Equiper ses salariés de masques, de gants, de surblouses ou encore de visières rassure votre clientèle et renforce la mobilisation de vos salariés. Cela protège à la fois vos salariés et votre clientèle du risque de contamination.

 

Mettre du gel hydroalcoolique à disposition au niveau de l’entrée et de la caisse est un geste fortement apprécié. De même, installer un plexiglas transparent est une excellente mesure pour protéger les personnes de part et d’autre du guichet sans pour autant perdre le lien social.

 
 
 

Mettre en place des gestes barrières et une signalétique dédiée au Covid-19

 

Nombreux sont les magasins à instaurer une limitation du nombre de personnes à l’intérieur. Cette solution idéale, vous permet de maîtriser les éléments touchés ou essayés par le client et de les désinfecter à la fin de sa visite. Cela vous aide également à vous consacrer pleinement à un client et à le conseiller.

 

Installez des repères afin de respecter la distanciation d’un mètre minimum dans la file d’attente. Certaines zones peuvent également être restreintes d’accès aux visiteurs; vous pouvez proposer d’aller chercher un produit à sa place.

 

Selon la configuration de votre espace de vente, un sens de circulation peut-être tracé au sol afin d’éviter que les clients ne se croisent. L’instauration d’un parcours de visite est une excellente façon d’optimiser l’expérience client.

 
 
 

Désinfecter régulièrement les espaces recevant les clients et insister sur le points de contact à l’aide d’une solution virucide

 

En fin de journée, un nettoyage complet du site est nécessaire. Si vous avez fait appel à un professionnel de la désinfection, celui-ci s’occupera pour vous de cette tâche et vous indiquera à quelle fréquence réitérer l’opération. En effet, le virus peut rester actif et transmissible jusqu’à plusieurs jours sur certaines surfaces telles que le plastique ou le métal.

 

Les points de contacts tels que les écrans tactiles, chariots, tapis de caisse, terminaux bancaires doivent quant à eux être désinfectés le plus souvent possible, si ce n’est entre chaque client.

 

Ces démarches de prévention des risques liés au coronavirus seront extrêmement bien perçues par vos clients qui mesureront les efforts réalisés pour préserver leur santé. Les 140 agences SARP se portent à votre disposition pour vous aider à désinfecter vos locaux professionnels et s’adaptent à vos contraintes grâce à un service disponible 24h/24, 7j/7.

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Conseils

En cette période de crise sanitaire et pour limiter la propagation du Coronavirus (Covid-19), la désinfection des bureaux, des locaux et de toutes surfaces exposées se présente comme une réelle priorité pour les entreprises de manière générale et les gestionnaires de bâtiments institutionnels, communaux, etc.

 
 
 

Derrière la lutte contre la propagation du coronavirus se cache un enjeu de taille : permettre aux salariés d’une entreprise ou aux usagers d’un site accueillant du public (les écoles par exemple) de reprendre en toute sécurité et de se rendre sereinement sur le lieu d’accueil. Sont bien évidemment aussi concernés les grandes surfaces alimentaires, les magasins, les administrations, les transports en commun, les professionnels du BTP (cabanes de chantier), etc…

 

Tous étant désireux d’accueillir leurs salariés / clients / usagers dans les meilleurs conditions sanitaires. À noter que les solutions ci-dessous ne s’appliquent pas aux industries agroalimentaires produisant des denrées. Vous l’aurez compris, les produits virucides utilisés ne doivent pas être en contact avec un produit alimentaire, quel qu’il soit.

 

Dans le cas d’un maintien d’activité où un site est occupé :

 

Pour protéger et permettre à ses salariés de travailler dans les meilleures conditions sanitaires possibles, plusieurs solutions techniques sont envisageables pour une entreprise ou une administration :

 

1) Traitement de volumes par nébulisation :

 

Cette solution est idéale pour traiter les grands volumes et peut se faire par le biais d’un nébuliseur (aussi appelé nébulisateur) ou d’un atomiseur (pour les très grands volumes). Nous entendons par grands volumes les locaux, les bureaux de type open space, les vestiaires, les entrepôts, les hangars, les ateliers, les gymnases, les salles de spectacles, etc…

 

La nébulisation est une technique qui consiste à projeter un produit virucide sous forme de brouillard via un nébuliseur ou un atomiseur. On distingue donc deux types de désinfection par nébulisation :

 

● La nébulisation à partir d’un point : cette technique vise à diffuser dans un espace clos d’une brume se déposant sur toutes les surfaces et parois. Les techniciens intervenants quadrillent les zones à traiter puis installent le nébuliseur dans un des coins inférieurs du fond vers la sortie. Une fois l’opération terminée, il faut respecter un délai de 2h minimum avant de permettre au public et au personnel de réinvestir les lieux.

 

● La nébulisation à partir d’un nébuliseur portatif ou l’atomisation à partir d’un atomiseur embarqué : cette autre technique repose sur l’utilisation d’un matériel dorsal qui permet de pulvériser un produit virucide également sous la forme d’un brouillard plus ou moins dense. La pièce ou le site à désinfecter est alors parcourue dans sa totalité par le technicien intervenant.

 

2) Traitement de surfaces par pulvérisation :

 

Le traitement par pulvérisation permet de désinfecter toutes les surfaces susceptibles d’avoir été touchées par différentes personnes en projetant un virucide à l’aide de pulvérisateurs tels que ceux utilisés dans le cadre d’entretien d’espaces verts. Les surfaces “à risque” ou points de contact sont ciblées, aspergées et ainsi désinfectées.

 

3) Désinfection manuelle des points de contact :

 

Cette étape vient en complément des opérations de traitement par nébulisation et/ou pulvérisation. Elle permet le nettoyage et la désinfection localisée des surfaces de contacts à l’aide d’un bandeau de nettoyage à usage unique et d’un produit virucide. Peuvent-être identifiées comme “points de contact” les surfaces suivantes : vitres, toilettes, poignées de porte, interrupteurs, combinés de téléphone, interphones, rampes d’accès, rambardes, etc.

 

Vous l’aurez compris, c’est sur la nature des sites et l’étendue des surfaces à désinfecter que repose le choix de la solution de désinfection professionnelle. Découvrir la prestation de désinfection SARP.

 
 
 

Dans le cas d’une reprise d’activité où un site était innocupé depuis plus de 7 jours (durée de vie maximale du virus selon le haut conseil scientifique) :

 

Il peut effectivement sembler peu utile de désinfecter un lieu inoccupé pendant toute la période du confinement. Bien que cela peut avoir un effet rassurant sur le personnel, les visiteurs et occupants.

 

Néanmoins, une fois l’activité de nouveau lancée, il est important de prévoir des opérations de désinfection régulières, unique barrière face au virus avec l’application des gestes barrières et le port d’équipements spécifiques tels que les masques (difficiles à supporter toute une journée). Ainsi, pour préparer la reprise d’une activité, quelle qu’elle soit et dans les meilleures conditions sanitaires possibles, il est essentiel pour une entreprise ou un organisme de prévoir dans son plan de reprise d’activité des campagnes de désinfection professionnelle. Elles permettront de protéger et de rassurer le personnel et les personnes sur site, les usagers des transports en commun par exemple ou encore les visiteurs d’un magasin.

 
 
 

Coronavirus : Quel produit choisir pour désinfecter efficacement vos locaux ?

 

En termes de produit, seul un produit virucide permet de détruire le coronavirus et d’éviter toute propagation. Hormis la javel, produit corrosif et déconseillé à forte dose, les produits désinfectants accessibles en commerce et en grande surface ne sont pas assez puissants. Ils éliminent les microbes mais pas les virus. Il est donc nécessaire de privilégier les produits professionnels bactéricides (qui tuent les bactéries), fongicides (qui détruisent les moisissures, les spores ou les champignons) et surtout virucides (qui tuent les virus). Ces produits doivent impérativement être conformes à la norme NF EN 14476.

 

En conclusion, pour une désinfection efficace, il est essentiel de faire appel à un professionnel spécialisé qui se chargera de définir avec vous le plan de désinfection le plus pertinent, c’est à dire le plus adapté à la configuration et à la fréquentation de vos locaux. Par ailleurs, seul les produits virucides peuvent lutter efficacement contre le coronavirus. Ce n’est pas le cas de la grande majorité des produits accessibles dans les grandes surfaces.

 

Enfin, les professionnels de la désinfection utilisent un matériel performant et dédié à cette activité : nébuliseurs, atomiseurs, pulvérisateurs, etc. Pour une désinfection de vos locaux et surfaces dans le plus strict respect de la réglementation en vigueur, faites appel au savoir-faire de vos agences de proximité SARP. Nous sommes à votre écoute pour étudier avec vous la mise en place d’opérations de désinfection au sein de vos locaux professionnels, industriels ou administratifs.

 
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Conseils

A l’heure de la reprise d’activité et du déconfinement imminent, les entreprises sont nombreuses à envisager des solutions pour préserver la santé de leurs collaborateurs sur le lieu de travail.

 

Zoom sur la désinfection de locaux, un moyen sûr pour décontaminer les surfaces et volumes avant de réintégrer ses locaux.

 

Confinement et reprise d’activité : comment protéger ses salariés du Coronavirus ?

 

Avant d’envisager toute reprise d’activité, il est essentiel de mettre en place des mesures de protection pour ses salariés. La désinfection des locaux est l’une des premières solutions à appliquer afin de permettre à vos salariés une reprise sereine. Vos collaborateurs seront rassurés de réintégrer une entreprise qui aura mis en oeuvre tous les moyens nécessaires pour lutter contre le Covid-19.

 
 
 

Pourquoi faut-il désinfection ses locaux professionnels durant la Pandémie de Covid-19

 

La durée de vie du virus sur une surface dure non poreuse (acier, plastique) est de 24 à 72 heures. En milieu aqueux, il peut conserver son infectiosité jusqu’à 6 jours (Source : M.Boyer – G.Dagorn – Mars 2020 – Coronavirus : combien de temps reste-t-il infectieux sur des surfaces ? Consulté sur https://www.lemonde.fr/). La transmission pouvant également se faire par l’intermédiaire d’un objet, il est impératif de veiller à la désinfection des points de contact au quotidien : poignées de portes, bureaux, plans de travail, machines, outillage, véhicules… Découvrir les solutions de désinfection de SARP.

 
 
 

Faut-il désinfecter ses locaux avant la reprise d’activité prévue lors du déconfinement ?

 

Si votre établissement est fermé depuis plusieurs semaines, le risque d’y contracter le Coronavirus en y retournant au moment de la reprise d’activité est quasi nul. En effet, comme évoqué ci-dessus, le virus ne peut conserver son infectiosité au delà de 6 jours. Cependant, nombreux sont les français craintifs à l’idée de reprendre le travail dans un environnement clos : une campagne de désinfection du Covid-19 associée à des gestes barrières et équipements de protection (masques, gel hydroalcoolique…) les rassureront.

 
 
 

Pendant combien de temps la désinfection Covid-19 des locaux professionnels et bureaux est-elle efficace ?

 

Les bureaux et locaux désinfectés sont sains jusqu’à ce qu’une personne contaminée s’y présente. Seulement une surface ou un volume désinfecté peut être re-contaminé après le traitement si les règles d’hygiène de base ne sont pas appliquées par le personnel.

 
 

À quelle fréquence faut-il désinfecter les locaux professionnels en période de crise du coronavirus ?

 

Idéalement, il faudrait désinfecter ses locaux à chaque fin de journée, or cette opération prend du temps et peut se révéler coûteuse si elle est répétée trop souvent. Votre prestataire en désinfection Covid-19 élaborera un plan de désinfection, adapté à votre entreprise, qui déterminera la fréquence des interventions à prévoir.

 

Si votre établissement reçoit du public, il faudra envisager des campagnes de désinfection plus fréquentes; peu de personnes ayant été dépistées, il est préférable de désinfecter ses locaux régulièrement pour éliminer tout risque d’infection. L’objectif de ce protocole n’est pas de supprimer durablement tout risque d’infection par le virus COVID 19, mais de le réduire en désinfectant régulièrement les zones susceptibles d’avoir été contaminés par des personnes porteuses.

 
 
 

Qui est concerné par la désinfection de locaux covid-19 ?

 

Tout site ou habitacle dans lequel différentes personnes et publics se côtoient : bureaux, commerces, usines, transports en communs, bâtiments publics, écoles…

 
 
 

Quelle est la solution de désinfection adaptée à mon entreprise ?

 

Les besoins diffèrent en fonction du type de local à traiter : pour un entrepôt ou une usine, la désinfection par nébulisation sera la plus adaptée, elle permet de traiter de grands volumes en peu de temps. Un opérateur équipé de matériel de protection et d’un nébuliseur quadrille la zone en diffusant une brume de produit virucide.

 

Les surfaces plus petites, nécessitant de la minutie, telles que les commerces, bureaux, lieux publics ou encore véhicules, doivent être traitées par pulvérisation. Cette méthode permet de cibler de façon précise les zones à désinfecter afin de ne pas endommager les équipements (informatique, électronique…). Les points de contacts tels que les poignées de portes, rampes d’escaliers, interrupteurs devront quant à eux être désinfectés manuellement.

 

À ce sujet, voir notre article Quelle est la meilleure solution de désinfection contre le Covid-19 ?

 

Afin de préparer la reprise de votre activité dans les meilleures conditions sanitaires, le Groupe SARP vous accompagne dans la désinfection professionnelle de vos espaces intérieurs et extérieurs. Nos métiers, jugés essentiels par les pouvoirs publics, n’ont jamais eu autant de sens en cette période de crise inédite. Contactez votre agence locale pour élaborer un plan de désinfection sur-mesure pour la tranquillité de vos salariés.

 
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Conseils

Face à cette crise sanitaire sans précédent, les comportements et les modes de consommation des français évoluent et bouleversent l’utilisation des installations essentielles.

 

L’émergence des lingettes pour désinfecter son domicile puis jetées dans les toilettes, sont des véritables problématiques de maintenance pour les exploitants des réseaux d’assainissement sans compter l’impact environnemental qu’elles engendrent.

 

Lingettes et réseaux ne font pas bon ménage

 

Chaque seconde, 233 lingettes sont utilisées dans les foyers français (source : http://www.graie.org/eaumelimelo/). Le plus souvent jetées dans les toilettes, elles s’accumulent et provoquent des débordements chez les particuliers et sur la voie publique, obstruent les canalisations et bouchent les ouvrages d’assainissement (postes de relèvement, filtres de stations d’épuration).

 

Le débordement d’eaux usées provenant des ouvrages et réseaux d’assainissement peut engendrer des risques sanitaires additionnels, un sujet particulièrement sensible en ces temps de confinement. Cette situation peut provoquer un phénomène de fermentation et de dégagement de gaz toxiques comme du sulfure d’hydrogène par exemple.

 

Composées de plastique, de produits chimiques, pour un usage de quelques secondes, les lingettes sont jetées dans des incinérateurs ou dans des centres d’enfouissement avec les problèmes environnementaux que cela génère. En dépit des idées reçues, elles ne sont pas biodégradables et de nombreuses communes en ont déjà fait la coûteuse expérience.

 
 

Prévenir le pannes et les débordements éventuels

 

Pour répondre aux conséquences néfastes des lingettes jetées le plus souvent dans les toilettes, les exploitants de réseaux font intervenir dans l’urgence des sociétés pour rétablir l’écoulement dans les canalisations. Ces interventions de dernière minute ont un coût significatif : x1,5 à x2 plus élevé en fonction de la complexité d’intervention par rapport à une prestation classique. L’investissement peut être minimisé par des actions préventives et programmées en amont. Le personnel réquisitionné pour les urgences pourra donc se concentrer sur les opérations programmées et ainsi assurer la continuité des services essentiels d’eau et d’assainissement.

 

Des méthodes de diagnostic par caméra ou par drone sont très efficaces pour prévenir débordements. Ces robots se faufilent dans les réseaux et parcourent plusieurs kilomètres pour filmer l’intérieur des canalisations et prendre des photographies. Suite à l’analyse des données collectées, un rapport met en lumière les tronçons les plus critiques du réseau où l’accumulation de matières, des fissures, cassures ou effondrement pourrait provoquer des obstructions et débordements.

 
 

Les opérations de curage de réseau sont par la suite programmées seulement sur les endroits identifiés comme critiques. Cette méthode consiste à nettoyer les canalisations à l’aide d’eau sous haute pression afin d’extraire les sables, les boues et objets encombrants. Un réseau régulièrement entretenu permet d’éviter les mesures correctives comme le débouchage en urgence et réduire les nuisances olfactives, sujet particulièrement sensible en ces temps de confinement.

 
 
 

Quelles pratiques adopter pour ses canalisations ?

 

Le confinement a pour conséquence la concentration de la population dans les “zones de vie” (résidences, maisons individuelles, …) et donc l’augmentation de la densité du volume d’eaux usées, la modification des concentrations, les eaux se chargent en graisse et les réseaux saturent plus rapidement. Quels comportements adopter face à ce phénomène ?

 

De nombreuses initiatives, vidéos de sensibilisation et bonnes pratiques mises à disposition par des médias, entreprises spécialisées ou internautes ont émergé suite à l’utilisation accrue de lingettes ces dernières semaines.

 

Beaucoup de foyers ont pu trouver une alternative pour désinfecter leur sol, meubles et objets :

 

● Vidéo : quelles alternative à la lingette

 

● Vidéo : les lingettes, c’est dans la poubelle

 

Étant confinés depuis déjà quelques semaines, les fosses septiques ou autres ouvrages d’assainissement non collectif sont plus utilisés que d’ordinaire. Pensez à vérifier la date d’entretien de cet ouvrage voire anticiper la vidange de la fosse afin d’éviter tout désagrément. L’entretien régulier d’une fosse septique est une obligation sanitaire, la fréquence d’intervention est préconisée tous les 4 ans.

 

Vous constatez que l’écoulement se fait difficilement ? L’entretien des canalisations passe par des réflexes simples à adopter au quotidien : ne rien jeter dans les toilettes autres que du papier toilette, enlever les cheveux coincés dans la bouche d’évacuation, éviter de déverser les huiles (elles se figent avec le froid et créent des bouchons gras), poser une grille sur le trou de l’évier, etc.

 

L’utilisation des produits chimiques pour déboucher vos tuyaux est fortement déconseillée, en plus d’être dangereux pour la santé, ces produits sont corrosifs et peuvent attaquer les canalisations. Ces produits sont également difficiles à traiter dans les stations d’épuration. Il est conseillé de faire appel à un professionnel si les méthodes manuelles n’ont pas fonctionné (ventouse, furet, eau chaude dans les canalisations).

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Conseils

Pour assurer le bon fonctionnement de votre appareil, il est essentiel de procéder à un nettoyage de la cuve à fioul à intervalles réguliers, avec l’aide de professionnels.

 

Pourquoi faut-il nettoyer sa cuve à fioul ?

 

Le nettoyage de la cuve à fioul est indispensable pour maintenir le rendement et prolonger la durée de vie de cet équipement.

 

En effet, en l’absence d’entretien, la cuve s’oxyde progressivement en raison de l’accumulation d’eau par condensation. Un autre problème courant est le dépôt de résidus de fioul au fond de la cuve, qui se transforment, au fil du temps, en boues hydrocarburées et altèrent le fonctionnement de l’appareil.

 

De plus, lorsque le fioul contient une part importante d’huile végétale, des bactéries tendent à proliférer au contact de l’eau issue de la condensation, puis à se mélanger avec les boues existantes.

 

Par conséquent, il est recommandé aux particuliers de procéder à un entretien de la cuve à fioul, tous les cinq à dix ans environ selon le niveau d’utilisation et de consommation.

 
 
 

Comment réaliser un nettoyage de cuve à fioul ?

 

Il est indispensable de contacter des professionnels pour réaliser le nettoyage de la cuve à fioul, qui requiert un matériel adapté et un savoir-faire particulier pour des raisons de sécurité.

 

L’entreprise choisie va alors procéder à un pompage du fioul contenu dans la cuve, à un vidage des boues éventuelles, à un curage de ses parois internes ainsi qu’à une inspection physique (via le trou d’homme) pour vérifier qu’il n’y a aucune trace de corrosion susceptible de causer des fuites de carburant. Une fois l’opération terminée, la société va également se charger de transporter les résidus de fioul jusqu’à un centre de traitement.

 

N’hésitez pas à contacter les experts de SARP Assainissement pour tout entretien, nettoyage et curage de votre cuve à fioul.

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Conseils

Pour optimiser le fonctionnement de votre chaudière, un nettoyage régulier de la cuve à fioul s’impose. la complexité de la tâche et le besoin de matériel professionnel incitent à faire appel à une entreprise spécialisée.

 

Pourquoi nettoyer sa cuve à fioul ?

 

Le fioul domestique utilisé comme combustible pour vos appareils de chauffage contient des sédiments. Ces derniers se déposent par gravité au fond des cuves, et forment alors ce que l’on appelle « les boues » . Sans un nettoyage efficace, votre cuve à fioul accumule ces boues, et les dysfonctionnements commencent à apparaître.

 

Les performances de votre chaudière sont alors plus limitées, et votre consommation de fioul augmente. Au-delà de l’aspect économique, sachez également que la loi vous impose l’entretien régulier de votre installation. La réglementation en vigueur dans ce secteur vise notamment à éviter tout épandage de produit.

 

Faites votre devis en ligne !

 
 
 

Quand et comment nettoyer sa cuve à fioul ?

 

L’été est sans aucun doute la meilleure période pour faire nettoyer votre cuve à fioul. À cette époque de l’année, la cuve à fioul est, dans une grande majorité des cas, vide, ou très peu pleine. Une cuve à fioul nettoyée en été vous apporte ainsi la garantie de passer l’hiver dans les meilleures conditions. À condition toutefois d’avoir opté pour un nettoyage professionnel.

 

Le nettoyage d’une cuve à fioul nécessite en effet du matériel professionnel, et une certaine expertise. Il implique notamment le fait de démonter le trou d’homme et des canalisations, de pomper le fioul restant et les boues, de nettoyer la cuve, etc. Pour votre sécurité et pour le bon fonctionnement de votre installation, n’envisagez donc pas de nettoyer vous-même votre cuve à fioul.

 

Spécialisée dans les activités d’assainissement et d’hygiène, l’entreprise SARP Assainissement possède le savoir-faire nécessaire pour cette opération, notamment pour le pompage du fioul restant. Grâce à son expérience, elle dispose en plus d’un procédé innovant pour le nettoyage de cuve d’accès difficile.

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Conseils

L’entretien de votre fosse septique (ou de votre fosse toutes eaux) fait partie de vos obligations légales. En tant que particulier, vous êtes en effet tenu(e) de vidanger régulièrement l’installation d’assainissement non collectif de votre maison.

 

Pourquoi et quand vidanger sa fosse septique ?

 

Au quotidien, votre installation d’assainissement non collectif collecte les eaux usées de votre maison. Celles-ci font ensuite l’objet d’un prétraitement à l’intérieur de la fosse toutes eaux, puis s’infiltrent dans le sol. L’entretien d’une fosse septique permet de prévenir les risques de dysfonctionnement de ce circuit d’évacuation des eaux usées.

 

Il prolonge simultanément la durée de vie de votre équipement. Dans la théorie, la fréquence de vidange dépend de la hauteur des boues. Conformément à la loi, celle-ci doit toujours être inférieure à 50% du volume utile. En règle générale, il est recommandé de vider sa fosse septique tous les quatre ans.

 
 
 
 

Comment vidanger sa fosse septique ?

 

La vidange d’une fosse toutes eaux est une opération technique particulière. Pour votre sécurité et pour le bon fonctionnement de votre fosse septique, elle doit être réalisée par un vidangeur agréé. Ce dernier sera en effet le mieux placé pour procéder à la vérification de plusieurs points de contrôle, comme la remise en eau de la fosse septique, la quantité de boue restante au fond de la fosse toutes eaux, etc.

 

Expert dans les activités d’assainissement et d’hygiène, l’entreprise SARP Assainissement effectue la vidange de votre fosse septique de A à Z. Nous assurons, entre autres, le pompage, le nettoyage et le contrôle du bon fonctionnement de votre installation. Nous acheminons les matières de vidange vers un centre de traitement autorisé, et sommes à votre disposition pour répondre à toutes vos sollicitations en matière de vidange de fosse septique.

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Le service public d’assainissement non collectif (SPANC) est l’organisme chargé de réaliser les contrôles des installations d’assainissement qui ne sont pas raccordées au réseau public de collecte des eaux usées, et d’imposer des travaux de mise en conformité si besoin est. Selon la Loi sur l’eau du 3 janvier 1992, chaque collectivité locale est tenue de mettre en place un service public de l’assainissement non collectif. En tant qu’usager, il est obligatoire de se soumettre à son contrôle pour toute installation d’assainissement non collectif existante.

Présentation du service public d’assainissement non collectif

Le SPANC est une organisation administrative dédiée à l’assainissement non collectif (ANC). Il

s’occupe de la collecte, du traitement, de l’épuration, et du rejet des eaux usées ménagères non

affiliées à la commune ou à la coopération communale.Le rôle du SPANC est multiple :

Il est aussi responsable de la délivrance des autorisations nécessaires pour la mise en place des filières d’assainissement. Il peut imposer la réalisation d’une étude de sol en cas de demande de permis de construire.

 

Les principales missions du Spanc

 

Le SPANC intervient à la demande du propriétaire d’un bien pour s’assurer du bon fonctionnement et du bon entretien de l’installation d’assainissement individuel. Le service public remplit aussi une mission d’accompagnement auprès des particuliers lors de la mise en place d’une installation. Dans ce cas, la visite peut avoir lieu en amont d’un projet de travaux pour conseiller le propriétaire, comme en aval pour veiller à la bonne exécution des travaux ayant été préconisés dans le rapport de visite. Le service public d’assainissement non collectif est financé principalement par une redevance facturée au propriétaire ou au titulaire de l’abonnement d’eau.

Le SPANC joue également un rôle crucial d’information et de sensibilisation des usagers sur les enjeux de l’assainissement non collectif. Ce service public fournit des informations claires et précises sur les réglementations en vigueur, guide les usagers dans le choix des équipements appropriés et les conseille sur les bonnes pratiques à adopter. Il offre également une assistance technique lors de la conception et la réalisation des travaux de réhabilitation ou d’installation d’assainissement chez les particuliers, et fournit des conseils qui concernent l’entretien et le bon fonctionnement de leurs installations.

Quand intervient le Service Public d’assainissement

non collectif ?

Contrôle initial de la fosse septique

Dans le cadre de la mise en place d’une fosse septique, le SPANC réalise un vérification initiale pour s’assurer de la conformité de l’installation. Ce contrôle se déroule en plusieurs étapes :

Ce contrôle initial est essentiel pour garantir le bon fonctionnement de la fosse septique et minimiser son impact sur l’environnement.

Contrôle périodique des installations existantes

Le contrôle périodique par le SPANC permet de s’assurer du bon fonctionnement et de la conformité réglementaire des installations existantes. Il intervient selon une périodicité ne pouvant excéder 8 ans. Il procède à une série de vérifications techniques visant à identifier d’éventuels problèmes liés à l’évacuation ou au traitement des eaux usées.

Il est essentiel que le propriétaire facilite l’accès aux installations, en particulier l’ouverture des regards de visite. Le technicien du service public établit alors un rapport de visite, document technique précieux pour l’usager. Ce rapport peut notamment être demandé lors d’une promesse de vente pour prouver la conformité de l’installation.

Le contrôle périodique est obligatoire et son non-respect peut entraîner des sanctions. Le montant de la redevance pour ce service varie en fonction des collectivités. 

Afin que vos installations soient conformes, confiez vos travaux aux experts de la SARP.

 
 
 

Qui effectue le contrôle de l’installation ?

 

Le contrôle des assainissements non collectifs est délégué aux communes depuis 1992. De ce fait, le SPANC est un service public local qui est souvent effectué en régie à l’échelle municipale ou intercommunale. En dehors de la vente d’un logement, le contrôle peut parfois faire l’objet d’une délégation de service public et être alors assuré par un diagnostiqueur immobilier.

Comment passe-t-on le contrôle du SPANC ?

Préparation du dossier

Si vous envisagez de réaliser des travaux sur votre installation, il est également nécessaire d’obtenir l’accord préalable du SPANC. Pour cela, un formulaire de contrôle de conception d’une installation d’assainissement non collectif doit être rempli. Ces formulaires sont généralement disponibles auprès des services publics d’assainissement non collectif. Vous pouvez aussi les télécharger sur les sites des banques partenaires.

Pour prendre contact avec le SPANC, plusieurs options s’offrent à vous. En premier lieu, vous pouvez vous adresser à votre mairie qui dispose des coordonnées de ce dispositif local. Vous pouvez également consulter le zonage d’assainissement en mairie qui délimite les zones d’assainissement collectif et non collectif.

 
 
 

Le cas de la vente d’un bien immobilier

 

Lors de la vente d’un bien immobilier, le SPANC est le seul service habilité à fournir le diagnostic d’assainissement non collectif, un document qui doit toujours être fourni durant la signature d’une promesse de vente ou d’un contrat de vente définitif d’un bien immobilier à usage d’habitation. Ce diagnostic précise si l’installation est dysfonctionnelle et si elle nécessite une réhabilitation.

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Conseils

Lorsqu’une installation est incomplète ou qu’elle présente un risque avéré de pollution pour l’environnement ou de danger pour la santé publique, une mise aux normes de l’assainissement non collectif s’impose pour supprimer les dysfonctionnements. Dans cette article, SARP aborde le sujet de la mise en conformité obligatoire des installations d’assainissement non collectif.

 

La mise aux normes de l’assainissement non collectif

 

Les travaux nécessaires pour rendre une installation conforme aux normes de l’assainissement individuel sont précisés dans le rapport établi par le service public de l’assainissement non collectif (SPANC) après une visite de contrôle. Les travaux doivent être réalisés dans un délai de quatre ans après la réception du diagnostic assainissement.

 

Si la visite de contrôle est effectuée dans le cadre d’une vente d’un bien immobilier, le délai de la mise en conformité est réduit à un an après la signature de l’acte authentique de vente. Des aides financières sont accordées sous conditions pour aider le propriétaire dans la démarche : subventions ANAH, prêt à taux zéro, taux réduit de TVA, etc.

 
 
 

Les sanctions prévues en cas de non-respect

 

Une contre-visite sera effectuée après coup pour s’assurer que les travaux ont bien été effectués. En cas de non-respect, le propriétaire est soumis au paiement d’une somme au moins équivalente à la redevance qu’il aurait payée au SPANC pouvant être majorée par la commune. Si le non-respect de la mise en conformité cause une pollution de l’eau, la sanction peut prendre la forme d’une amende allant jusqu’à 75 000 € et d’une peine d’emprisonnement allant jusqu’à deux ans. Un dispositif autonome demande donc une vigilance toute particulière.

 
 
 

L’obligation de raccordement au tout-à-l’égout

 

En application du Code de la santé publique, le maire de la commune peut obliger un propriétaire à procéder au raccordement d’un bien immobilier au réseau d’assainissement collectif dans un délai de deux ans après la mise en place d’un tel réseau. Dans ce cas, les installations individuelles sont mises hors de service afin de ne pas créer des nuisances à l’avenir. Un certificat peut être délivré à cet effet.

SARP vous propose des travaux de qualité et conforme à la réglementation. Pour toute demande d’intervention, contactez nos experts. Ils prennent en charges toutes les installations d’assainissement chez les particuliers, les professionnels et collectivités, telles que la vidange de fosses septiques chez les particuliers et tous les travaux de pompage d’assainissement pour les professionnels.

Si vous souhaitez obtenir de l’aide pour vérifier les nouvelles lois et normes pour votre logement, rapprochez vous de votre agence de proximité qui vous orientera vers les solutions à adopter.

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Conseils

Vous vous chauffez au fioul et vous souhaitez changer de mode de chauffage ? C’est tout à fait possible. Néanmoins, vous devez pour cela respecter certaines obligations, notamment celles de neutralisation des cuves à fioul, en particulier si votre cuve est enterrée et que vous ne la faites pas enlever.

 

Pourquoi neutraliser sa cuve à fioul ?

 

Neutraliser sa cuve à fioul est tout d’abord nécessaire pour se mettre en conformité avec la loi. En effet, en vertu de l’article 28 de l’arrêté du 24 juillet 2004 qui fixe les règles de sécurité applicables au stockage de produits pétroliers, l’abandon d’une cuve doit respecter certaines obligations règlementaires. L’objectif est de dépolluer la cuve afin de s’assurer qu’elle ne présente aucun risque. Neutraliser une cuve à fioul est l’affaire de professionnels.

 
 
 

Neutralisation des cuves à fioul

 

La neutralisation des cuves à fioul consiste à les rendre inertes. Pour cela, il faut tout d’abord procéder à la vidange et au nettoyage de la cuve.

 

● Cette première étape consiste à neutraliser les tuyaux sur la cuve puis à la vider. Elle est ensuite dégazée par un procédé de ventilation. Puis, il faut descendre à l’intérieur de la cuve (en passant par le trou d’homme) afin d’effectuer un nettoyage approfondi.

 

● La deuxième étape est le comblement de la cuve. Il s’agit de la remplir avec un solide inerte : du sable, du béton ou de la perlite (une roche volcanique siliceuse de couleur blanche ayant l’aspect de granulés de litière pour chat).

 

● La troisième phase consiste à évacuer les déchets hydrocarburés afin qu’ils soient pris en charge par un centre de traitement agréé.

 

● Enfin, la quatrième et dernière étape est la remise des documents, dont un exemplaire du Bordereau de Suivi de Déchets (après traitement) et un certificat de neutralisation qui atteste que vous êtes en conformité avec la loi. Il est également possible de procéder à la découpe et à l’enlèvement pur et simple de la cuve

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L’assainissement non collectif (ANC) est le dispositif non collectif (individuel) de traitement des eaux domestiques. Les usagers d’un service public d’assainissement non collectif (SPANC) sont soumis à certaines obligations. Néanmoins, ces obligations permettent également de bénéficier de subventions liées à l’assainissement non collectif.

 

Qu’est-ce que l’assainissement non collectif ?

 

L’assainissement non collectif (ANC) est un système d’installation qui concerne les logements qui ne bénéficient pas du réseau public pour la collecte de leurs eaux usées (eaux des toilettes, lavabos, lave-vaisselle, lave-linge, douche, etc.) et qui doivent donc procéder eux-mêmes à leurs traitements. Ainsi, tous les logements qui ne sont pas raccordés à un réseau collectif sont gérés par le service public d’assainissement non collectif (SPANC). Cet organisme est chargé de conseiller et d’accompagner les particuliers dans la mise en place de leur installation d’ANC puis de les contrôler.

 
 
 

Redevance liée à l’assainissement non collectif

 

Les personnes qui utilisent une installation d’assainissement non collectif doivent s’acquitter d’une redevance destinée à financer les charges supportées par le SPANC. Toutefois, si le SPANC juge qu’il est nécessaire de procéder à une réhabilitation des installations, des subventions liées à l’assainissement non collectif peuvent être allouées.

 
 
 

Quelles subventions pour l’assainissement non collectif ?

 

Les propriétaires qui réalisent des travaux pour mettre en place ou réhabiliter leur système d’assainissement non collectif (9 000 € en moyenne) peuvent obtenir des aides financières. Les subventions pour l’assainissement non collectif proviennent (si les conditions sont remplies) de l’Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat (ANAH), de prêts de la Caisse d’Allocation Familiale ou d’une caisse de retraite.

 

Par ailleurs, les travaux peuvent donner droit à un taux de TVA réduit à 10 %. De plus, certains propriétaires remplissant les conditions d’éligibilité peuvent également bénéficier de l’éco-prêt à taux zéro à hauteur de 10 000 € si le dispositif d’assainissement non collectif ne consomme pas d’énergie.

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L’entretien et le nettoyage de votre cuve à fioul sont nécessaires pour optimiser son fonctionnement et ainsi réduire votre consommation. Deux techniques existent pour réaliser ce nettoyage

 

Pourquoi procéder à un nettoyage de sa cuve à fioul ?

 

Il est nécessaire de procéder au nettoyage de sa cuve à fioul car, avec le temps, les sédiments présents dans le fioul domestique finissent par se déposer et former des boues. Cela risque d’entraîner des dysfonctionnements et une surconsommation qu’un nettoyage permettra de résoudre.

 
 
 

Deux techniques de nettoyage de cuve à fioul

 

Deux techniques de nettoyage de cuve à fioul peuvent être proposées. Le nettoyage traditionnel consiste à pomper les boues présentes au fond de la cuve à fioul. Pour éviter qu’il ne reste des traces d’eau, il faut ensuite procéder à un essuyage. La deuxième solution est le procédé cuve-service spécialement mis au point afin de réaliser un nettoyage en profondeur de votre cuve, même en cas d’accès difficile.

 

La technique consiste là encore à pomper les boues au fond de la cuve mais cette fois-ci de réaliser un nettoyage à haute pression à l’aide du fioul préalablement stocké dans une cuve annexe. Cette méthode est plus intéressante puisqu’elle n’implique pas la période de séchage indispensable avec la technique classique.

 

Découvrez les étapes de l’entretien et du nettoyage d’une cuve à fioul

 
 
 

Les autres travaux d’entretien de la cuve à fioul nécessaires

 

Le nettoyage n’est pas le seul entretien dont peut avoir besoin votre cuve. En effet, il faut également procéder régulièrement à un dégazage de la cuve à fioul. Le dégazage consiste à nettoyer la cuve puis à la dégraisser avant de la rincer et de pomper les produits issus de ce dégazage. Pour la rénovation d’une cuve percée, on applique dans le réservoir un revêtement en plastiques renforcés ou une enveloppe souple.

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Dans certains cas, il peut arriver que les installations d’assainissement non collectif doivent être raccordées au réseau collectif. Lorsque cela arrive, que devient l’ancienne installation d’assainissement non collectif inutilisée ?

 

Dans quels cas l’installation d’assainissement non collectif est-elle raccordée au réseau d’assainissement collectif ?

 

La loi indique que les installations d’assainissement non collectif doivent être raccordées au réseau collectif proche dans les deux ans qui suivent sa mise en service (5 millions de logements en France restent en dehors d’une zone de raccordement à un système d’assainissement collectif). A noter que chaque commune détermine, après enquête publique, les zones qui relèvent de l’assainissement collectif et celles qui relèvent de l’assainissement individuel.

 

Le raccordement au nouveau réseau public de collecte au niveau de la voie publique peut être exécuté d’office par la commune qui peut ensuite exiger un remboursement partiel ou total des dépenses que ces travaux ont généré.

 
 
 

Que devient l’ancienne installation ?

 

L’article L.1331-5 du Code de la santé publique stipule que « dès l’établissement du branchement [c’est-à-dire du raccordement au réseau d’assainissement collecti], les fosses et autres installations de même nature sont mises hors d’état de servir ou de créer des nuisances à venir, par les soins et aux frais du propriétaire ».

 

Le traitement consiste à vidanger, désinfecter puis combler ou démolir les dispositifs de traitement et d’accumulation ainsi que les fosses mises hors service. Si le propriétaire ne respecte pas cette obligation, la commune peut décider de procéder d’office aux travaux aux frais du propriétaire.

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L’installation d’une fosse septique (toutes eaux) nécessite de bien choisir ses dimensions et son emplacement, avant de procéder au creusement et au coffrage puis à la mise en place d’une ventilationobligatoire pour évacuer les gaz de fermentation.

 

Déterminer les dimensions et l’emplacement

 

Le dimensionnement de la fosse septique doit correspondre aux habitudes de consommation du domicile, exprimées en nombre d’équivalents-habitants. La fosse doit avoir un volume minimal de 3 m³ qui est suffisant pour 4 à 5 personnes (plus 1 m³ pour chaque personne additionnelle) et une hauteur minimale de 1 m.

 

Une fois cette étape réalisée, il est temps de se concentrer sur le choix de l’emplacement qui doit respecter une distance minimale d’au moins 5 m avec l’habitation, et d’au moins 3 m avec les limites de la propriété et les arbres. L’emplacement doit aussi être situé à plus de 35 m des puits, des sources et des captages d’eau destinés à la consommation humaine.

 
 
 

L’installation de la fosse septique (toutes eaux)

 

L’installation de la fosse toutes eaux devant être réalisée conformément aux normes sous peine d’amende, il est préférable de contacter un professionnel comme SARP Assainissement pour s’assurer que les règles de l’art sont bien respectées.

 

La fouille (le trou) doit notamment être réalisée de manière à ce que son fond soit plat en posant un lit de sable ou une dalle de béton, et la fosse doit être positionnée au centre sans être en contact avec les parois. Le remblaiement des espaces latéraux se fait avec un matériau sablonneux jusqu’en haut de la fosse, et avec de la terre par-dessus.

 

De leur côté, les canalisations entre l’habitation et la fosse doivent être posées avec une pente comprise entre 2 % et 4 %, tandis que la ventilation est composée d’un circuit primaire en amont de la fosse et d’un circuit secondaire en aval.

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La pose d’une ventilation de fosse septique (fosse toutes eaux) est imposée par la réglementation compte tenu des risques que représentent les gaz de fermentation (corrosion, mauvaises odeurs).

 

Pourquoi faut-il installer un système de ventilation ?

 

La ventilation de fosse toutes eaux est un dispositif qui permet d’évacuer les gaz toxiques issus de la fermentation des eaux usées. Son installation est obligatoire depuis 1996, car ces gaz contiennent du sulfure d’hydrogène qui produit des mauvaises odeurs (de type œuf pourri) et provoque la corrosion de la fosse et des canalisations ainsi que l’émiettement accéléré de la dalle de béton.

 

Par ailleurs, la ventilation de fosse septique a également pour avantage d’amener de l’air frais en quantité suffisante pour réduire les variations de pression dans les colonnes de chutes d’eau. Les équipes de SARP Assainissement sont à votre disposition pour vous accompagner dans le choix de l’emplacement et dans les travaux d’installation.

 
 
 

Le fonctionnement de la ventilation de fosse septique

 

Le dispositif est constitué de deux circuits distincts : une ventilation primaire pour bien ventiler la fosse toutes eaux, et une ventilation secondaire pour évacuer les gaz de fermentation. La ventilation primaire est assurée, en amont de la fosse au niveau de la chute des eaux usées, en prolongeant la canalisation jusqu’à l’air libre sur le toit par une conduite d’au moins 10 cm de diamètre.

 

La ventilation secondaire quant à elle est réalisée en aval de la fosse avec une canalisation dédiée, faisant elle aussi 10 cm de diamètre. Munie d’un éolien statique ou mobile, celle-ci doit déboucher à plus de 40 cm au-dessus du faîtage du toit et à plus de 1 m de toute autre ventilation. Lors de l’installation, il est indispensable de veiller à la parfaite étanchéité des conduites. Fréquence de vidange, obligation d’entretien… découvrez les conseils de Fosseseptique.net

 

Pour vos petits travaux d’assainissement et la réalisation de la vidange de votre fosse septique, les experts de SARP se tiennent prêts. Demandez un devis gratuit que vous recevrez rapidement en cliquant sur notre formulaire de contact.

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Comme son nom l’indique, la fosse toutes eaux collecte l’ensemble des eaux usées de la maison pour en assurer le prétraitement. De son côté, la micro-station d’épuration est une solution tout-en-un qui va assurer en supplément le traitement des eaux dans un réacteur biologique.

 

Les raisons de choisir une fosse toutes eaux

 

La fosse toutes eaux a pour avantage d’être écologique et de pouvoir être utilisée en permanence grâce à son fonctionnement sans électricité, qui contribue à réduire son coût d’exploitation au fil du temps. De plus, elle fait appel à des bactéries présentes naturellement dans les effluents pour opérer le prétraitement des eaux usées.

 

Toutefois, ce type de produit nécessite une certaine superficie de terrain et empêche la plantation d’arbres à proximité de la fosse. Qui plus est, elle doit être entretenue régulièrement au travers d’une vidange tous les 1 à 3 ans, opérée par un professionnel agréé comme SARP Assainissement.

 
 
 

Dans quel cas recourir à une micro-station d’épuration ?

 

La micro-station d’épuration est généralement préférée dans les petits terrains du fait de son encombrement réduit et de son installation facilitée, permettant une réduction de l’ampleur des travaux de terrassement.

 

Pour autant, elle inclut un générateur d’air consommant de l’électricité qui va dès lors générer un surcoût sur le long terme tout en la rendant dépendante de l’alimentation électrique sans laquelle elle ne peut fonctionner. Par ailleurs, elle ne peut pas être laissée inutilisée pendant des périodes prolongées sous peine de réduire son efficacité.

 

De ce fait, elle est déconseillée dans les logements secondaires ou les meublés loués qui sont inoccupés la majeure partie de l’année. Comme la fosse toutes eaux, la micro-station d’épuration doit être vidangée régulièrement (environ une fois par an) pour évacuer les boues.

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La fosse septique (toutes eaux) en béton offre de nombreux avantages par rapport aux modèles concurrents en plastique (polyester ou polyéthylène). Elle est toujours associée à un couvercle et à un tampon de visite, eux aussi en béton.

 

Les avantages de la fosse septique en béton

 

Ayant un poids plus important, la fosse toutes eaux en béton dispose d’une meilleure stabilité dans le sol et d’une meilleure résistance aux mouvements de terrain ainsi que d’une meilleure résistance à la pression et à l’écrasement, en comparaison d’un modèle plastique.

 

C’est pourquoi ce produit est particulièrement recommandé dans les zones pentues ou frappées par des remontées d’eau fréquentes. Elle offre également plus de possibilités en termes de taille avec des modèles de grandes dimensions pour les familles nombreuses par exemple.

 

Enfin, le prix de la fosse septique en béton est ordinairement un peu moins onéreux que celui de la fosse plastique, tandis que le coût des travaux est similaire.

 
 
 

L’installation d’une fosse toutes eaux en béton

 

Si la fosse toutes eaux en béton est davantage sensible à la corrosion provoquée par les gaz de fermentation issus des eaux usées, cela ne constitue un problème que si la ventilation de la fosse est défectueuse ou a été mal dimensionnée lors de la pose du produit.

 

Pour éviter ce type de désagrément, il est conseillé de contacter des spécialistes du secteur tels que les professionnels SARP Assainissement pour procéder à l’installation ou à la réparation de votre fosse en béton. D’autant que cela vous permettra de bénéficier d’une garantie à la suite de l’installation, et d’avoir l’assurance de disposer d’un dispositif conforme aux normes en vigueur et au certificat de compatibilité délivré par le SPANC (Service Public d’Assainissement Non Collectif).

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Le raccordement à l’assainissement collectif est obligatoire à partir du moment où le réseau public est disponible à proximité du logement, pour les biens neufs et pour les habitations existantes.

 

Les délais pour se conformer au raccordement obligatoire

 

Les immeubles qui ne sont pas desservis par le réseau public d’assainissement collectif ou ceux qui se heurtent à des problèmes techniques spécifiques ne sont pas soumis à l’obligation de raccordement, à condition de bénéficier d’une installation d’assainissement autonome (fosse toutes eaux, micro-station).

 

Mais dès lors que la commune entreprend des travaux d’extension du réseau public à proximité d’une habitation existante, le propriétaire dispose d’un délai de 2 ans pour effectuer son raccordement à l’assainissement collectif. Toutefois, il lui est possible de bénéficier d’une prolongation préfectorale de 10 ans maximum s’il est non imposable, ou lorsque le système autonome vient juste d’être installé et qu’il n’est pas encore amorti.

 

En revanche, un logement construit après la mise en place du réseau public doit être raccordé immédiatement.

 
 
 

Comment se raccorder à l’assainissement collectif ?

 

Le prix du raccordement au tout-à-l’égout est assumé en totalité ou partiellement par le propriétaire selon les cas : la partie placée sous la voie publique est réalisée par la commune ou l’agglomération, tandis que la partie placée sous la parcelle privée est réalisée par une entreprise agréée comme SARP Assainissement.

 

Il est nécessaire de déposer une demande de raccordement à l’assainissement collectif auprès de la collectivité locale ou de la société gestionnaire en cas de délégation de service public. L’instruction du dossier prenant parfois plusieurs mois, il faut s’y prendre à l’avance pour respecter les délais cités plus haut. Un plan de situation et un plan de masse doivent généralement être fournis avec la demande.

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Le dimensionnement de la fosse septique

 

Pour calculer la capacité d’une fosse septique, il faut prendre en compte le nombre d’occupants du logement ainsi que les obligations légales qui imposent des règles particulières.

 

Les dimensions de la fosse septique sont réglementées par la législation française qui précise que la taille de l’installation doit être exprimée en nombre d’équivalents-habitants, et être égale au nombre de pièces principales du logement. Par « pièce principale », il faut comprendre et inclure toutes les chambres à coucher plus le séjour.

 

Ce mode de calcul a été choisi parce qu’il correspond dans la plupart des situations au nombre réel d’occupants du bien immobilier. En outre, le volume minimal de la fosse est fixé à 3m³ pour un logement comprenant jusqu’à 5 pièces principales, c’est-à-dire une maison avec un salon et quatre chambres. Pour tout logement plus grand, il faut ajouter 1m³ pour chaque chambre supplémentaire.

 
 
 

Taille de fosse septique : les cas particuliers

 

Il existe deux exceptions notables à la règle citée plus haut :

 

Les maisons individuelles où le nombre de pièces principales est manifestement supérieur aux habitants réguliers (une maison occupée par un couple après le départ des enfants par exemple), et les établissements recevant du public.

 

Dans ces deux cas de figure, le dimensionnement de la fosse septique peut être réalisé sur la base du nombre d’utilisateurs réels au quotidien pour les particuliers, ou la capacité d’accueil maximale pour les gîtes et les chambres d’hôtes. Afin de vous aider à choisir la bonne taille de fosse septique, vous pouvez demander conseil à des professionnels du secteur.

 

Par ailleurs, les équipes de SARP Assainissement sont à votre disposition pour s’occuper de la maintenance et de la vidange de votre fosse après son installation.

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Pourquoi une station de relevage des eaux usées ?

 

Sur les terrains difficiles et mal configurés, l’élévation des eaux usées peut être effectuée à l’aide d’une pompe qui sera installée à l’intérieur d’un poste de relevage en plastique ou en béton.

 

Le poste de relevage est un appareil qui permet d’installer un assainissement non collectif sur des terrains où l’écoulement des eaux usées n’est pas envisageable par la seule gravité, à cause d’une configuration problématique. C’est notamment le cas lorsque le terrain de la fosse toutes eaux est situé en hauteur par rapport au logement, ou lorsque la fosse est enterrée trop en profondeur par rapport au dispositif d’évacuation de l’eau.

 

L’objectif de ce poste de relèvement est de forcer l’évacuation des eaux usées pour permettre au dispositif d’assainissement de fonctionner normalement malgré ces conditions difficiles.

 
 
 

Comment bien choisir le poste de relevage ?

 

Il est nécessaire de choisir la station de relevage des eaux usées la plus adéquate en fonction de l’endroit où elle doit être positionnée.

 

● Si elle est placée entre l’habitation et la fosse septique, il faut opter pour une pompe eaux-vannes.

 

● Si elle est placée entre la fosse et le centre de traitement, il faut choisir une pompe pour eaux décantées.

 

● Si elle est placée après le dispositif de traitement, une simple pompe pour eaux claires est suffisante.

 

Protégé par une cuve en béton ou en plastique, le poste de relevage est toujours équipé d’un clapet anti-retour ainsi que d’une canalisation de refoulement. Il est souvent associé à un tertre d’infiltration, et peut être doté d’une alarme en cas de panne.

 

Il convient de vérifier régulièrement le bon fonctionnement de la pompe, une démarche que vous pouvez confier à un prestataire spécialisé comme SARP Assainissement.

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Une fois que votre logement est raccordé au tout à l’égout, se pose la question de savoir quoi faire de votre vieille fosse septique qui ne sert plus rien ? Non utilisée et non comblée, votre fosse peut s’avérer dangereuse en rendant notamment votre terrain instable.

 

Avant de la condamner définitivement, il faut prendre connaissance des obligations légales et de la marche à suivre localement.

 
 
 

Pourquoi faut-il condamner ou désinstaller une fosse septique ?

 

Lorsque votre logement est raccordé au système d’assainissement collectif, vous avez l’obligation de vider puis de condamner votre fosse septique par mesure de sécurité. Le but est d’éviter l’écroulement de la fosse qui est susceptible d’être provoqué par la baisse de pression dans la cuve en l’absence d’eau, et de causer des mouvements de terrain.

 

Avant de vous lancer dans les travaux, prenez le temps de vous renseigner auprès de la mairie de votre commune pour connaître les procédures requises en la matière, car des démarches spécifiques peuvent être imposées au niveau local.

 

Pensez également à demander conseil à des experts du métier comme SARP Assainissement pour obtenir de l’aide et avoir l’esprit tranquille. En quelques minutes, nos agents sont en mesure de vous communiquer le prix de la désinstallation ou du comblement d’une fosse septique.

 

Demander un devis gratuit

 

Les étapes à suivre pour combler une fosse septique

 

Cette opération nécessite un matériel adéquat et certains réflexes à adopter mais vous pourriez également décider de vous en charger seul (mais pas complètement).

 

Dans ce cas, il faudra décomposer l’opération en deux temps :

 

● Tout d’abord, il s’agira de vidanger la fosse septique, ceci afin d’éviter la prolifération des bactéries et les désagréments olfactifs. Pour la vidange de la fosse, vous devrez faire appel à un professionnel de l’assainissement, équipé d’un véhicule adapté et d’opérateurs formés.

 

● Ensuite, après avoir obtenu les autorisations nécessaires, achetez ou louez dans le commerce une pompe à eau qui vous permettra de retirer l’eau stagnante présente dans la fosse. Ensuite, percez le fond de la fosse pour permettre aux eaux de pluie de pouvoir s’écouler normalement dans le sol, avant de remplir le réservoir avec du sable ou du gravier fin jusqu’en haut de la cuve pour éviter un éventuel effondrement du terrain.

 

Attention toutefois : le comblement de la fosse septique ne doit jamais être réalisé par temps de gel, attendez le retour des beaux jours. Pour terminer, vous pouvez recouvrir les derniers centimètres avec du terreau pour y faire pousser de la pelouse ou des plantes décoratives.

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Avez-vous le droit de ne pas enterrer la fosse ?

 

Dans certains cas de figure, il est envisageable d’installer une fosse septique hors sol chez soi, si les conditions ne permettent pas de placer la fosse sous terre.

 

Une fosse toutes eaux doit a priori être enterrée dans le sol, afin que les couches de sable et de terre la recouvrant puissent faire office de barrage et de filtration en cas de fuite, et ainsi réduire les risques de pollution et de contamination. C’est d’ailleurs pour cette raison que certaines collectivités locales interdisent la pose d’une fosse septique non enterrée.

 

Toutefois, il est possible que votre commune ou agglomération autorise la mise en place d’un tel dispositif d’assainissement non collectif sous certaines conditions, si jamais la configuration de votre terrain venait à poser des difficultés. Rendez-vous auprès de votre mairie pour vous renseigner et connaître le détail de la réglementation concernant votre terrain.

 
 
 

Comment installer une fosse septique hors sol ?

 

Les communes qui autorisent les particuliers à installer une fosse septique hors sol imposent souvent des contre-parties, telles que la mise en place d’une micro-station d’épuration ou d’un mur de rétention autour de la fosse.

 

Dans tous les cas, la solution retenue doit évidemment être conforme aux normes actuelles et à une utilisation hors sol, et être réalisée par un prestataire agréé comme SARP Assainissement. Par ailleurs, il vous faudra préciser la nature de l’installation dans votre demande préalable auprès du service public d’assainissement non collectif (SPANC). Ce dossier devra contenir notamment une étude des sols et un plan complet de la fosse septique, et préciser l’emplacement de la pompe de relevage si nécessaire ou du bac dégraisseur si la fosse se trouve à plus de 10 mètres de la sortie de la maison.

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Pourquoi un curage de canalisation ?

 

Le curage de canalisation fait partie intégrante de l’entretien d’une fosse septique au même titre que la vidange ou le remplacement des filtres.

 

Que faut-il savoir sur le sujet ?

 

Le curage de canalisation doit être distingué du curage de fosse septique, car il ne concerne que les canalisations situées entre l’habitation et la fosse ou les canalisations situées après la fosse, et non pas la fosse toutes eaux en elle-même. Cette opération de nettoyage est recommandée car elle participe au bon fonctionnement de l’assainissement non collectif, et permet de renforcer sa longévité sur le long terme.

 

Elle est même indispensable en cas de canalisations entartrées ou bouchées, car l’absence d’intervention risquerait d’entraîner une dégradation des canalisations en fonte ou en béton, une détérioration des joints ainsi qu’une émission d’odeurs nauséabondes à votre domicile.

 
 
 

Comment procéder au curage de canalisation ?

 

Pour réaliser un curage localisé ou un nettoyage complet des canalisations, il est préférable de demander l’intervention d’une entreprise spécialisée comme SARP Assainissement possédant un matériel adapté et les connaissances appropriées.

 

Les professionnels contactés vont réaliser à votre demande un curage technique faisant appel à des caméras étanches pour déterminer la zone à traiter, avant de procéder au nettoyage avec de l’eau sous pression. Ils peuvent aussi recourir à un traitement biologique fonctionnant au moyen d’un activateur naturel : des bactéries seront alors ensemencées dans les parois des canalisations avec de l’azote et du phosphore. Il peut être intéressant de profiter de l’occasion pour demander à l’entreprise de procéder à un pompage de la fosse et à la vidange du bac à graisse, afin d’opérer plusieurs interventions en une seule fois.

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Qu’est-ce qu’une étude de sol pour assainissement individuel ?

 

L’étude de sol pour assainissement individuel est une étape préalable à l’installation de la fosse, qui permet de choisir la filière de traitement la plus appropriée. Elle peut aussi être associée à un diagnostic pour un assainissement non collectif existant, dans le cas d’un remplacement.

 

L’étude de sol pour assainissement non collectif a pour objectif d’analyser les caractéristiques du sol et du sous-sol du terrain. Ce document contient plusieurs éléments distincts tels qu’une étude de la texture du sol pour l’assainissement (sol sableux, sol argileux ou autre) et une étude de la perméabilité du sol qui s’attache à mesurer la vitesse d’évacuation de l’eau usée et le temps d’infiltration de l’eau dans le sol.

 

Le document fournit également une attestation de la présence ou absence d’une nappe phréatique, et une attestation de la présence ou non d’eau permanente dans le sol. En complément, l’étude est jointe avec un relevé topographique spécifiant la pente et les limites du terrain, et la présence éventuelle d’arbres et de puits aux alentours.

 
 
 

Demander une étude de sol pour assainissement non collectif

 

L’étude de sol pour assainissement individuel ne peut être réalisée que par un bureau d’études spécialisé dans ce domaine qu’il s’agisse du service public d’assainissement non collectif (SPANC) local ou d’un prestataire privé.

 

Le coût d’une étude de sol est en moyenne de quelques centaines d’euros, et varie en fonction du terrain et de son étendue.

 

Si l’étude de sol inclut des recommandations sur les filières de traitement ou un dimensionnement de la fosse toutes eaux, il est préférable de demander un devis détaillé. Par ailleurs, en cas de remplacement d’un dispositif de traitement existant, les bureaux d’études proposent souvent un diagnostic pour assainissement individuel en plus de l’étude de sol.

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Le fonctionne du filtre à sable pour fosse toutes eaux

 

Fréquemment utilisé en assainissement non collectif, le lit filtrant ou filtre à sable pour fosse septique fait partie des filières de traitement traditionnelles en France. Il peut être installé sur un dispositif existant ou être intégré dans une micro-station d’épuration.

 

Parfois appelé lit filtrant, le filtre à sable pour fosse toutes eaux est un dispositif de traitement des eaux usées qui s’installe en aval de la fosse. Il propose une épuration de l’eau pré-traitée par des micro-organismes qui sont fixés sur le sable.

 

A la fin du processus, l’eau est épurée de ses polluants et peut être relâchée dans le milieu naturel.

 

En fonction des configurations et caractéristiques du terrain, le filtre à sable pour assainissement non collectif peut être horizontal ou vertical, le plus souvent drainé. Une pose hors-sol non drainée est également envisageable, dans ce cas le filtre à sable prend le nom de tertre d’infiltration.

 
 
 

L’installation du filtre à sable pour fosse septique

 

Le filtre à sable pour assainissement individuel est surtout utilisé lorsque le sol rend impossible l’infiltration des eaux ou lorsqu’une nappe phréatique est située à proximité.

 

Il permet aussi de résoudre le manque de surface d’épandage puisque le sol existant est remplacé par un sol reconstitué composé de sable et de graviers, recouvert par 20 à 30 cm de terre végétale.

 

L’installation d’un filtre à sable demande une expertise particulière, c’est pourquoi il est nécessaire de faire appel à des professionnels. Le coût du filtre à sable global (achat + installation) est compris entre 5 000 et 10 000 € selon le terrain et le nombre de personnes dans le foyer. Une étude de sol préalable est indispensable pour pouvoir choisir le modèle et son dimensionnement.

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Conseils

Quelles mesures pouvez-vous prendre pour les éliminer ?

 

Les mauvaises odeurs de canalisations créent un fort désagrément pour les propriétaires des installations et occupants du logement, et peuvent être causées par de multiples éléments.

 
 
 

D’où provient une mauvaise odeur de canalisation ?

 

En temps normal, une fosse toutes eaux élimine les gaz malodorants grâce à des ventilations qui sont intégrées au dispositif. Toutefois, il arrive qu’un mauvais fonctionnement de l’assainissement non collectif puisse provoquer une remontée d’odeur de canalisation.

 

Ce type de désagrément peut avoir diverses origines :

 

Un encombrement de la ventilation primaire ou secondaire, un défaut d’étanchéité des joints, une absence des siphons ou un manque d’eau dans les siphons, un mauvais dimensionnement des canalisations ou de la ventilation, ou bien un ralentissement de l’activité microbienne suite à une absence prolongée. Il est également possible que les mauvaises odeurs des canalisations soient tout simplement un signe indicateur que la fosse doit être vidangée ou que le bac à graisse doit être vidé…

 

Comment éliminer les mauvaises odeurs de canalisations ?

 

Pour remédier à une mauvaise odeur de canalisation, le propriétaire ou le locataire du logement peut régler certains dysfonctionnements par lui-même en nettoyant le bac à graisse ou le pré-filtre par exemple.

 

Cependant, certaines causes des odeurs qui remontent d’une canalisation ne peuvent être détectées que par l’intervention d’un spécialiste, qui déterminera l’origine du problème et apportera la solution qui s’impose. A ce titre, sachez que les experts de SARP Assainissement se tiennent à votre disposition pour effectuer à votre demande un diagnostic ou une vidange de la fosse septique, ou pour nettoyer les canalisations de votre installation.

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Conseils

« Mes WC sont bouchés, que faire ? »

 

Il peut s’agir d’un objet tombé dans les toilettes, d’une charge trop importante de papier toilette lorsque la chasse d’eau est tirée, ou encore de l’introduction de produits comme des produits hygiéniques ou des cotons dans la canalisation. Lorsque la situation se présente, ce n’est jamais le bon moment. Plus vous attendrez avant de solutionner ce problème, plus la situation risque de s’aggraver.

Heureusement, des méthodes existent pour rétablir le bon fonctionnement de vos WC. Quels conseils pour déboucher des toilettes encombrées ou des canalisations obstruées ?

 
 
 

Comment déboucher des toilettes ?

 

En cas de WC bouché, il existe plusieurs méthodes pour régler le problème sans nécessairement faire intervenir quelqu’un de l’extérieur.

 

Le plus souvent, le bouchon se situe au niveau du siphon des toilettes. Dans ce cas, la solution consiste à utiliser une ventouse classique Si l’utilisation d’une ventouse classique est insuffisante, une ventouse sous pression devrait faire l’affaire. Pour utiliser correctement une ventouse classique, il faut que les dimensions soient adaptées, c’est-à-dire qu’il faut que la taille de la ventouse corresponde à la taille de la bouche d’évacuation. Après avoir positionné la ventouse correctement, il faut effectuer des va-et-vient avec l’outil afin de créer une alternance entre aspiration et pression qui permettra le débouchage de la canalisation.

 

Lorsque le bouchon se situe un peu plus loin, c’est-à-dire au tout début de la canalisation des eaux usées, il est nécessaire d’employer un furet coudé. 

Un furet est un outil qui pénètre facilement la canalisation jusqu’au bouchon de part sa flexibilité. L’outil présente une extrémité en forme de spirale qui permet de facilement casser l’obstruction, en forçant légèrement dessus. Il vous est également possible d’avoir recours à un dégorgeoir pour obtenir un résultat positif, en évitant si possible de rayer la faïence des toilettes au passage…

Si vous ne possédez pas ces outils, vous pouvez également tenter un débouchage de WC à l’aide de produits ménagers, ou bien plus simplement encore. Vous avez tout d’abord la possibilité de faire bouillir de l’eau dans une casserole par exemple. Ensuite, versez l’eau bouillante dans le drain obstrué. Elle permettra de dissoudre le bouchon. Si ce dernier provient de graisses, le débouchage sera encore plus efficace. 

Ensuite, vous pouvez également utiliser du vinaigre blanc. Vous pouvez verser le vinaigre blanc dans la canalisation puis attendre une trentaine de minute. Il est recommandé de rincer abondamment à l’eau chaude, voire bouillante, afin d’éliminer au mieux le bouchon.

Pour une efficacité optimale, vous pouvez ajouter  du bicarbonate de soude, puis du vinaigre blanc. Ce mélange crée une mousse chaude qui s’attaque au bouchon. Comme pour le vinaigre blanc, laissez reposer puis rincez à l’eau chaude.

Pour finir, il est possible de se procurer des produits chimiques, trouvables sur le marché. Nous ne vous recommandons pas d’en utiliser si d’autres options s’offrent à vous. Pour rappel, ces produits sont toxiques pour l’environnement, pour vos canalisations, ainsi que pour votre santé. De plus, avoir recours à l’utilisation de ces produits chimiques rend l’intervention de professionnels plus délicate.

 

Quel prestataire pour le débouchage de WC ?

 

Si malgré vos efforts vous ne parvenez pas à débloquer la situation, il est probable que le bouchon soit trop épais ou qu’il se situe trop loin dans la canalisation pour être supprimé par ces méthodes classiques.

 

Dès lors, il est nécessaire de faire appel à un spécialiste pour effectuer le dépannage de vos toilettes bouchées.

Tout d’abord, les experts seront en mesure de réaliser un diagnostic précis à l’aide de caméras. Ces caméras étanches permettent de déterminer en premier lieu l’emplacement du bouchon dans la canalisation, puis dans un second temps, la nature du bouchon. 

Une fois ces éléments identifiés, ils pourront sélectionner la solution la plus adaptée. Parmi elles, l’hydrocurage est sûrement la méthode la plus efficace. Il s’agit de la projection de jets d’eau à haute pression afin de désengorger la canalisation. Plus généralement, cette technique permet de nettoyer la canalisation et de venir à bout des mauvaises odeurs provenant du drain. 

Ils peuvent également utiliser un furet mécanique, qui a un fonctionnement similaire au furet de plomberie classique. Cette opération s’effectue impérativement de l’amont vers l’aval.

Si le cas se présente, n’hésitez pas à contacter SARP Assainissement dont les professionnels disposent de l’expertise ainsi que du matériel nécessaire pour réaliser l’entretien de votre installation. Nous sommes disponibles pour les petits dépannages comme les gros travaux !